Le patronat a eu beau réclamer les prolongations jusqu'à la rentrée, l'État a décidé de réduire sa prise en charge du chômage partiel. À partir du 1er juin, les entreprises devront payer 15 % de l'indemnisation mise en place pour éviter une explosion des licenciements due au confinement. La prise en charge de l'activité partielle par l'État (deux tiers) et l'Unédic (un tiers) passera de 100 à 85 % de l'indemnité versée au salarié, dans la limite inchangée de 4,5 Smic.
ICI