8 juin 2011

Papeterie Crèvecoeur à Jouy-sur-Morin ou s'est tenue l'intersyndicale CGT du groupe Arjo Wiggins


Info, CGT

INTERSYNDICALE FILPAC CGT du groupe ArjoWiggins
les usine : Wizernes, Bessé-sur-Braye, Arches, Rives, Charavines, le Bourray, Crèvecoeur, Apprieu, Palada



FERMETURE DU SITE DE RIVES :

DEMAIN, A QUI LE TOUR ?



S’il existe une entreprise où les mots « respect » et « dignité » doivent être réhabilités, c’est bien ARJOWIGGINS RIVES SAS(Isère), dirigée par un fossoyeur, Daniel Triouleyre.
Malgré les restructurations permanentes depuis plus de quinze ans, les salariés de cette entreprise ont toujours travaillé avec professionnalisme et abnégation : changement de rythme de travail, heures supplémentaires, fermeture d’une machine ; tout cela même à une surintensification du travail. Pour arriver à quoi ? La fermeture du site de Rives !
Les salariés, qui par leur travail ont gavé les actionnaires de dividendes depuis toujours, sont jetés comme de vulgaire kleenex et livrés en pâture à Pole Emploi.

Le démantèlement du groupe Arjo continue, avec toutes les conséquences tragiques que cela engendre : chômage, précarité, bassin d’emploi sinistré, mort annoncée de villages, de villes et même de régions avec la disparition de tous les emplois induits.
Après Cardiff (Pays-de-Galles),Ettlingen (Allemagne), Sainte Marie (seine & Marne), Crèvecoeur Seine & Marne), Guérimand (Isère), Douvres (Belgique), Nivelles (Belgique), Fort-William (Écosse).,Faya (Ardèche), Dettingen (Allemagne), Canson Moulin du Roy (Ardèche), Arches (Vosges), Bernard Dumas (Dordogne)…, ce sont les salariés de Rives( Isère) qui vont subir la loi de Pascal Lebard : faire du fric à tout va sans aucun scrupule et aucune considération pour les salariés qui ont produit sa richesse.

Les raisons avancées par Lebard pour femer le site de Rives sont : la réduction des coûts fixes et de la surcapacité dans la branche Papiers de création. Alors que le syndicat CGT est porteur d’un projet alternatif, qui vise à la sauvegarde des emplois, sans coût supplémentaire par rapport au projet de Sequana, en regroupant les deux machines sur un site, Rives !
Cela permettrait de réduire les coûts fixes, de sauver un maximum d’emplois, de pérenniser la Société Arjo sur la région…Sachant que l’usine d’Annonay (Canson) est vendue au groupe Hamelin dans le même temps.
La fermeture de Rives, amènera à plus ou moins long terme, la mort de Charavines. Les investissements proposés pour le projet Lebard ne peuvent suffire à rassurer les salariés sur leur avenir.

Salariés d’ArjoWiggins, comment pouvons nous croire à la parole de nos dirigeants qui veulent nous démontrer que la seule alternative pour l’avenir des salariés de Rives/Charavines est la fermeture du site de Rives, et le maintien d’une seule machine à papier dans l’entreprise, alors que depuis plus de quinze ans, ceux-ci ferment systématiquement les sites n’ayant qu’une machine !

Nous tous, employés par le groupe ArjoWiggins, nous sommes tous des salariés précaires. Chacun d’entre nous peut, à tout moment, être sacrifié sur l’autel des profits pour satisfaire quelques nantis qui ne connaissent aucun des visages de ceux qui les enrichissent.

Quarante-sept salariés risquent de perdre leur emploi, si la direction générale, pilotée par le seigneur Lebard, fait la sourde oreille et s’entête à mener à terme son projet destructeur.

C’est pourquoi, l’intersyndicale CGT réunie à Crèvecoeur les 24, 25 et 26 Mai, appelle l’ensemble des salariés du groupe ArjoWiggins à se mobiliser à partir du 07 Juin.
La bataille sera peut-être longue, mais nous ne lâcherons pas !

L’intersyndicale CGT du groupe ArjoWiggins

Les salariés d'Arjowiggins s'invitent sur le Critérium pour dénoncer la fermeture de l'usine de Rives. cliquez ci-dessous pour voir la vidéo
http://alpes.france3.fr/info/rives-38--arjo-wiggins-ferme-le-site-68552848.html?onglet=videos&id-video=monalisa_GREN_1435149_070620110928_F3_811_07062011175745_F3


Lutter est devenu un acte de civisme.
Préserver les emplois pour les générations à venir,
un acte de citoyenneté
!

4 juin 2011

Pourquoi les pauvres payent plus d’împôt que les riches ?

Info : CGT

Comment se répartissent les impôts ? L’impôt sur le revenu représente à peine plus de 20 % des recettes de l’État. En effet, aux trois quart les impôts et taxes sont collectés injustement de manière proportionnelle donc en ne tenant pas compte des revenus (impôts indirects). Les impôts indirects passent souvent « inaperçus ». Il est en effet difficile de voir la part de Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) payée à la pompe à essence ou encore la part de TVA payée sur chacun de ses achats.

Et pourtant, ces impôts sont loin d’être indolores. Car, moins on est riche et plus ils pèsent lourd dans le budget. Donc, en diminuant l’impôt sur le revenu, en réalité on répartit différemment l’imposition en la faisant peser plus lourdement et injustement sur les ménages les moins aisés.

Cliquez sur la photo pour agrandir

DEFENDONS UN SERVICE PUBLIC FERROVIAIRE POUR TOUS

Info : CGT

Les choix de libéralisation des services publics et notamment du transport ferroviaire à l'échelle européenne prennent leur source dans une volonté dogmatique de privatisation, au détriment de la réponse aux besoins des populations et de l’intérêt général.
Les privatisations du secteur de l'eau, d’emblée / GDF de France Télécom, de La Poste ont été payées au prix fort par les usagers et les salariés, afin d'enrichir encore et toujours les actionnaires.
Dans le même temps, la qualité de service a fortement baissé et les tarifs ont explosé.
Pour exemple : + 35% pour l'électricité + 60% sur le gaz, le prix du m3 d'eau a été multiplié par 3,5 voire 10 dans certaines villes !

LE TRANSPORT DE VOYEURS
Le sénateur UMP, Francis GRIGNON, a produit, sur demande du gouvernement, un rapport relatif à l'ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de voyageurs et notamment concernant les Trains Express Régionaux.
Ce rapport préconise l'ouverture totale du transport régional de voyageurs avec comme premières étapes des expérimentations sur certaines lignes. Il prévoit aussi l'abaissement des conditions sociale des salariés et la mise à disposition des infrastructures et des ateliers de la SNCF financés par l'argent public pour des entreprises privées qui se positionneraient sur appels d'offres.
La SNCF, entreprise publique de service public, et les cheminots ont largement démontré leur capacité à répondre aux besoins croissants de transport des populations malgré le désengagement de l’État, que ce soit au plan du territoire national (TGV, Corail, TEOZ, Lunéa, Fret) ou au niveau régional via les autorités organisatrices de transport pour le TER et le RER.
L’objectif étant de livrer aux appétits du privé des lignes dites rentables pour ne laisser à l'opérateur public SNCF que les lignes qualifiées de déficitaires.

TRANSPORT DE MARCHANDISES ;
La SNCF a présenté en septembre 2009 un « schéma directeur » qui fixe les axes de développement du transport de marchandises pour les années à venir, alors que cette branche est fortement déficitaire.
Ce plan de réorganisation du fret comprend notamment l'abandon de 60% de l'activité de messagerie ferroviaire ( wagon isolé ), qui irrigue l'ensemble du territoire en assemblant des wagons de marchandises de chargeurs différents et notamment des PME/PMI.
L'ouverture à la concurrence dans le fret ferroviaire pas augmenté la part modale du transport de marchandises par fer, bien au contraire.
En 2000, la SNCF transportait 55 milliards de tonnes/km, dix ans après, elle en transporte à peine 20 milliards. La Direction de la SNCF a abandonné aux entreprises ferroviaires privées les trafics jugés non rentables, entraînant aussi un transfert sur les routes. En 3 années, ce sont 2,5 millions de camions en plus sur les routes françaises !
La Direction SNCF pousse les feux encore plus loin de la déstructuration du Fret, en abandonnant les gros triages. Cette logique installe la SNCF dans une position de repli sur le Fret et s'avère être en opposition avec les décisions du « Grenelle de l'environnement».

L'INFRASTRUCTURE FERROVIAIRE
Depuis 1997 et la séparation de la SNCF en deux établissements publics (SNCF et RFF), RFF a en charge l'infrastructure ferroviaire. La création de cette entité aura conduit à une répartition de la dette ferroviaire entre les deux établissements, sans régler le problème du système ferroviaire national et son financement.
Le désengagement de l'État et les orientations de RFF et de la SNCF qui consistent à rechercher l'autofinancement, conduisent à réduire le volume global de moyens financiers nécessaires. L'impact est de plus en plus négatif sur l'état du réseau, essentiel à une bonne qualité de service.
L'endettement du système ferroviaire, la structuration par activités autonomes à la SNCF, la case de l'emploi, sont les ingrédients du Gouvernement et de la Direction de la SNCF pour démanteler le service public ferroviaire.

USAGERS, CHEMINOTS, MARCHONS ENSEMBLE..
Si pour les cheminots, la libéralisation se traduit par une dégradation des conditions de vie et de travail, pour le quotidien des usagers, cela va se concrétiser par une piètre qualité de service et par des choix allant à l'encontre des besoins ( fermetures de gares, de lignes et des guichets, hausse des tarifs, déshumanisation des gares, suppressions et retards de trains...)

LE 16 JUIN 2011,
ASSOCIATIONS D'USAGERS, ÉLUS,
ONG ENVIRONNEMENTALES, CITOYENS,
LES CHEMINOTS VOUS INVITENT
À MANIFESTER ENSEMBLE À PARIS,
pour la défense et le développement
du Service Public SNCF
de voyageurs et de marchandises.
Rendez-­‐vous à 13h00 Place Iéna (Métro Iéna)

Les services publics
appartiennent à la Nation.
ENSEMBLE,
NE NOUS LAISSONS PAS DÉPOSSÉDER
DE CES BIENS COMMUNS.


Montreuil, le 19 mai 2011

3 juin 2011

Les luttes dans le Département du 77

Info : CGT

NOVOFERM/LUTERMAX : CHANTAGE A L’EMPLOI
Alors que les salariés de NOVOFERM / LUTERMAX (Vaux le Pénil) sont en lutte pour obtenir la réouverture des NOE (négociations obligatoires à l’entreprise)revendiquant 100 EUR d’augmentation généralel’embauche des intérimaires et l’amélioration des conditions de travaill’employeur menace de délocaliser une perte de la production.

Le 6 juin se tiendra une CE extraordinaire avec à l’ordre du jour la délocalisation de la nouvelle ligne de production qui a coûté 1 million d’euros.

Le coût de transfert et la perte de production occasionnée permettant de couvrir la revendication salariale.

C’est inacceptable !

L’USTM CGT 77 invite les syndicats à soutenir leur lutte en allant à la rencontre des grévistes :
Chaque jour de 12H à 14H, 530 avenue Georges Clémenceau 77000 Vaux le Pénil

Une solidarité financière est mise en place sur le piquet. Contact A. Roth 06.64.84.48.40.



PEUGEOT : EN LUTTE POUR L’EMPLOI
Les salariés ont débrayé à l’appel de la CGT et de la CFDT les 30 mai et 1er juin.

Ils exigent l’amélioration des conditions de départ pour ceux qui le souhaitent et le maintien d’une activité industrielle dans le cadre de PSA sur le site.

En assemblée générale des actionnairesPSA a réaffirmé qu’il n’y aurait pas de licenciements (départs volontaires déjà mis en œuvre).

Une manifestation est mise en débat dans l’usine, préparons la mobilisation.

Contact Patrick Patault 06.73.06.82.55.



PEIGNEN EXIGE LA REOUVERTURE DES NOE
Les salariés et la CGT exigent la réouverture des NOE.
Une rencontre avec l’employeur le 7 juin est actée, les salariés se disent prêts à l’action.

30 mai 2011

Dialogue social : Le patronat refuse toujours de négocier sur le partage des richesses !

INFO : CGT

Le 27 mai matin s’est tenue une nouvelle réunion de la délibération nationale interprofessionnelle sur la « modernisation du dialogue social ».
En préliminaire, la délégation de la CGT a demandé au MEDEF de clarifier sa position suite à ses prises de position ambiguës.
Depuis l’ouverture de ce cycle de discussions, en mai 2009, il s’oppose avec les autres organisations patronales aux demandes d’ouverture d’une négociation nationale sur le partage des richesses créées dans les entreprises. Il n’a accepté de traiter cette question que sous l’angle des droits d’information et de consultation des institutions représentatives du personnel, qui a fait l’un des deux thèmes de la délibération en cours.
Mais dans ses dernières déclarations publiques, il a demandé au gouvernement de renoncer à l’instauration de la prime obligatoire dans les entreprises qui augmente les dividendes, au motif que la négociation nationale interprofessionnelle sur le partage des richesses serait en cours.
La CGT s’est donc à nouveau déclarée prête à l’ouverture immédiate d’une véritable négociation sur le partage des richesses, soit sous la forme de l’ajout d’un thème aux discussions en cours, soit sous la forme d’une négociation spécifique. Elle a proposé qu’elle se déroule en plusieurs étapes :
Examen des évolutions comparées sur les deux dernières décennies des salaires des différentes catégories de salariés, des salaires des dirigeants des entreprises, des dividendes et autres formes rémunération des propriétaires des entreprises ;
Étude de la diversité des situations des entreprises ;
Mise en place de critères de justice sociale dans les négociations annuelles obligatoires des entreprises et des groupes.
Les organisations patronales ont confirmé qu’elles refusaient de s’engager dans une telle négociation tout en acceptant de poursuivre la délibération sur la modernisation du dialogue social sur les thèmes convenus.
La CGT poursuivra sa démarche de recherche de convergences intersyndicales visant l’amélioration de la transparence et de la lisibilité des informations dues aux élus du personnel, ainsi de la prise en compte effective des avis des élus dans les procédures de consultation.
Concernant la répartition des richesses et les revendications salariales, la CGT considère que le patronat ne pourra pas fuir le débat éternellement dans un contexte où le pouvoir d’achat est une des premières priorités des Français. La confirmation de son refus d’en discuter appelle au développement des actions revendicatives afin que les salariés se fassent entendre dans les entreprises.

Montreuil, le 27 mai 2011

29 mai 2011

Chiffres du chômage

INFO : CGT

Pour une véritable politique de l’emploi

« Pour le gouvernement, le sous-emploi est une valeur sûre pour la baisse du chômage ! »


Arrêtons de parler de sortie de crise ! Une fois de plus, le gouvernement veut nous faire croire à la baisse du chômage. En avril 2011, le nombre de chômeurs de catégorie A, (les personnes sans emploi et tenues d’en chercher un activement), a en effet baissé le chiffre d’avril (-0,4% sur un mois), pour la quatrième fois consécutive. A l’inverse, personne ne parle des victimes de la crise, qui s’enlisent aujourd’hui dans le chômage de longue durée (+20,8% sur la seule année 2010).

Il se garde bien d’évoquer le nombre de chômeurs en catégorie B, (personnes ayant exercé une activité réduite de 78 heures maximum par mois), qui lui, ne cesse de s’accroître : + 6 000 pour le mois d’avril (+0,9% sur un mois).

En effet, de quels types d’embauches nous parle-t-on ? Des embauches à durée déterminée qui se généralisent et qui recouvrent des contrats de travail de plus en plus courts (9 jours en moyenne en 2010) ? En France, les « miettes d’emploi » deviennent une réalité, l’emploi durable une exception.

Enfin, silence sur les 48 000 radiations !

Les chiffres publiés depuis plusieurs mois montrent que les chômeurs passent d’une recherche d’emploi à un emploi précaire !

Par ailleurs, le chômage des plus de 50 ans continue son inlassable progression. Qu’en est-il du maintien dans l’emploi des seniors ? En dépit des annonces, cette catégorie de chômeurs connaît de plus en plus l’exclusion du marché du travail, la précarité et la pauvreté. Et le recul de l’âge de départ à la retraite ne fera qu’accentuer ce phénomène.

Une part croissante de la population se fragilise et les chômeurs sont naturellement les premiers à tomber durablement dans les trappes de la pauvreté.

La CGT réitère avec force le besoin d’une politique qui permette réellement de créer de l’emploi. Elle suggère de supprimer les heures supplémentaires défiscalisées qui sont un frein à l’embauche. De même, il s’agit de conditionner les milliards d’aides publiques à l’obligation de créer de l’emploi durable. Assez d’exonérations ou d’aides aux patrons sans contrepartie !

Enfin, la CGT continue de penser que revaloriser les salaires permettra de soutenir la consommation, donc l’emploi.

Montreuil, le 25 mai 2011

21 mai 2011

Rassemblement le 26 mai 2011, pour agir tous ensemble à une justice prud'homale de qualité

Chaque année, de nombreux salariés sollicitent les conseils de prud’homme. Environ 200 000 personnes saisissent la juridiction prud’homale pour faire valoir leurs droits, défendre leurs conditions de vie et de travail, leur contrat de travail.
Cette situation est parfois insupportable pour un patronat, qui préfère gérer l’entreprise sans entrave, sans les « contraintes du code du travail ».
Pour faire écho à cette préoccupation en 2008 et 2009, malgré l’opposition de nombreuses organisations syndicales, malgré la mobilisation des conseillers, avocats, salariés, le gouvernement s’est attaqué violemment à la justice prud’homale :
• En supprimant 62 conseils de prud’hommes ;
• En refusant de prendre en compte la nécessité d’embaucher du personnel de greffe.
• En réduisant l’indemnisation de l’activité des conseillers prud’homaux (5 heures pour le temps de rédaction)
• Dans cette situation, les personnels des tribunaux, les conseillers prud’homaux voient la situation se dégrader un peu plus chaque jour. !
• De leurs côtés, les salariés subissent aussi les conséquences de cette situation
et voient l’accès à la justice prud’homale remis en cause ! En effet, les délais pour une affaire prud’homale sont de plus en plus long, les procédures prennent parfois un ou deux ans, bref, de plus en plus de salariés se détournent de la justice prud’homale.
Lors du Conseil supérieur de la prud’homie (16 mars), la CGT a relayé le mécontentement des personnels et des juges. Ce qui a conduit les pouvoirs publics à proposer qu’un groupe de travail soit mis en place pour faire un « état des lieux » et apporter des réponses aux problèmes
soulevés.

Tous ensemble exigeons :

# L’ouverture immédiate de négociations avec les pouvoirs publics ;
# Des moyens pour un fonctionnement efficace des conseils (personnels de greffe, juges dé-partiteurs, locaux daptés, etc.) ;
# L’abrogation des décrets limitant les indemnisations des conseillers ;

Tous ensemble ! Agissons !

Rassemblement régional
devant la Direction Générale du Travail
(jour de la tenue du Conseil Supérieur de la Prud’homie)
Jeudi 26 mai à partir de 13 heures
13 avenue Emile Zola
Métro Javel – André Citroën
Venez nombreux (dépôts motions et pétitions…)










Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !  La CGT Action Logement vous convie à une petite pause rev...