14 août 2011



l'union locale des syndicats CGT de Coulommiers et sa Région


Invite leurs militants et sympathisants à l'inauguration de leurs nouveaux locaux

En profitant de cette occasion pour nous rencontrer autour d’un verre fraternel


Merci de nous faire savoir votre venue parmi-nous le plus rapidement possible pour nos préparatifs

Espérant vivement te compter parmi nous,

Nous contacter
E-MAIL: ulcgtcoulommiers77@wanadoo.fr

TEL: 01 64 03 54 85 - 09 65 04 53 58 les mardis et jeudis de 14h00 à 18h00.
FAX : 01 64 20 97 84 / Mobile : 06 73 34 65 02

Espérant vivement te compter parmi nous,

PS : site de l'UL de Coulommiers =http://ulcgt-coulommiers.blogspot.com/



Plan ci-dessous en photos pour se rendre à l'UL CGT
cliquez sur les photos pour agrandir





























13 août 2011

AUCHAN PERPIGNAN CONDAMNE EN REFERE. UNE GRANDE VICTOIRE POUR LE REPOS DOMINICAL DES SALARIES DU COMMERCE DE PERPIGNAN

COMMUNIQUE DE L’UD CGT DE PERPIGNAN

Après avoir tenté d’ouvrir de force en toute illégalité le dimanche 31 juillet 2011 et en annonçant une ouverture de tous les dimanches matin jusqu’au 11 septembre, l’hypermarché AUCHAN de PERPIGNAN se croyait au dessus des lois !!!

Les salariés, avec la CGT 66 ne l’ont pas laissé faire. En intersyndicale (CGT-CFDT-FO-CFE CGC-CFTC), nous étions près de 100 le 31 juillet au matin devant les accès du magasin à distribuer des tracts et à dissuader les clients de cautionner ce coup de force.

Dés le début de la semaine, l’intersyndicale a assigné en référé la SA AUCHAN.

Le tribunal lui a donné raison sur toute la ligne en déclarant : « la SA AUCHAN……a violé et entend continuer à violer son obligation légale de fermeture dominicale en portant ainsi lourdement préjudice aux droits des salariés » « condamne la SA AUCHAN à maintenir fermé son magasin,…..sous peine d’une astreinte de 100.000 euros »

Ce combat syndical et cette décision de justice sont une grande victoire pour tous les salariés du commerce et des services. Le repos dominical est et doit rester la règle dans le commerce comme dans tous les secteurs d’activité.

Pour lire le REFERE : cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.lacgt66.fr/IMG/pdf/refere_Auchan.pdf


12 août 2011

POUR UN IMPÔT PLUS JUSTE ET EFFICACE



À quoi sert l’impôt ?

Vous avez certainement le sentiment de payer trop d’impôts. Mais, avez-vous vraiment intérêt à ce que vos prélèvements obligatoires baissent ? Ce n’est pas aussi évident qu’il peut y paraître.
L’impôt permet entre autres de financer l’éducation, la santé, les transports publics, les routes, la recherche... Si l’on met de coté la dimension collective de la fiscalité qui consiste à redistribuer les richesses et donc à garantir la cohésion de la société, a-t-on individuellement intérêt à payer moins d’impôts ? Pour la minorité des Français les plus aisés, certainement. Mais, la majorité d’entre nous a tout à y perdre !
Sans impôt, ça pourrait nous coûter cher !
Ce qu’il nous faudrait payer pour une année de scolarité dans l’enseignement supérieur si ce dernier n’était pas financé par l’impôt. À noter, le coût de l’enseignement en France n’est pas si élevé qu’on essaye de nous le faire croire.

Les fortunés plombent les dépenses publiques

Le Gouvernement mène une chasse impitoyable aux dépenses publiques. Pourtant les dépenses ne sont pas des boulets que nous trainons. Au contraire, ce sont des biens redistribués dans l’intérêt de toute la société.
Certes, il convient de garantir qu’aucun euro n’est gaspillé et que les recettes sont utilisées à bon escient dans l’intérêt du plus grand nombre.
D’ailleurs, contrairement aux idées reçues, les dépenses n’ont pas flambé ces dernières années. Elles ne sont donc pas plus responsables de la dégradation des finances publiques.
C’est la chute des recettes orchestrée par nos dirigeants, et pas simplement une baisse liée à la crise, qui est à l’origine du déficit budgétaire de l’État. La baisse de ces recettes est due à des choix politiques orientés en faveur des plus riches. Et c’est le plus grand nombre qui se retrouve pénalisé !

Quelques chiffres

136,5 milliards d’euros : C’est le déficit public de la France en 2010.

150 milliards d’euros : C’est le coût estimé des niches fiscales, par la Cour des Comptes.

30 à 40 milliards d’euros : C’est le montant de la fraude fiscale en France selon le Conseil des prélèvements obligatoires.

2543 : C’est le nombre d’emplois qui seront supprimés, en 2011, à la Direction générale des finances publiques.

2,4 millions : C’est, en nombre d’années de Smic, la fortune de Bernard Arnault, PDG de LVMH, selon le magazine Forbes.

1500 euros : 50 % des Francais touchent moins que ce salaire chaque mois.

750 euros : 6,5 millions de travailleurs touchent moins de cette somme chaque mois en France

Comprendre la dette publique (en quelques minutes)


Comprendre la dette publique: Apprenez en quelques minutes ce qu'est la monnaie fiduciaire, la monnaie scripturale, le système des réserves fractionnaires, et l'article 123 du traité de Lisbonne... sans lesquels il est impossible de comprendre l'origine des dettes publiques qui ravagent l'ensemble des pays développés.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour comprendre (Vidéo)
http://www.youtube.com/watch?v=fIyPMzaK_Cc&feature=share

8 août 2011

Il faut en finir avec la dictature des marchés financiers




Info CGT

Economie

Les marchés financiers sont de nouveau secoués. Cette fois-ci la cause en est la dégradation de la note par l’agence de notation Standard & Poor’s des obligations émises par l’Etat américain.

Après les mêmes pratiques récentes sur des Etats européens, une agence de notation se permet de risquer de fortes secousses avec des conséquences qui peuvent être lourdes sur l’économie réelle, la croissance, l’emploi, les salaires …

Une fois de plus, des officines privées se permettent de juger et de tenter de changer, par pressions des marchés financiers, la politique économique de pays (dont aujourd’hui celle des Etats-Unis, première économie mondiale) vers toujours plus d’austérité. Elles s’arrogent un rôle qui doit être celui des Etats sous contrôle démocratique de leurs citoyens. Pour le moment tétanisés par leur incapacité à réguler la finance, les Etats s’y soumettent, au lieu de s’appuyer sur les exigences des peuples.

Ce nouvel épisode met en évidence le bien-fondé d’une exigence forte qui prend partout dans le monde : il faut mettre fin à la dictature des marchés financiers pour dynamiser l’économie, créer des emplois stables, augmenter les salaires et soutenir l’investissement productif. Valérie Pécresse, ministre du Budget, annonce : « La France sera au rendez-vous de la réduction de son déficit cette année et l’année prochaine ».

De tels propos, visant à donner des gages aux marchés financiers, témoignent du fait que nos responsables politiques ne veulent pas admettre que les politiques de sauvetage des marchés financiers, mises en place depuis trois ans, sont contre-productives et en opposition à l’intérêt général.

Les programmes d’austérité exigés par les marchés financiers conduisent à la hausse du chômage et de la précarité, pèsent sur les salaires, les pensions et les minima sociaux, donc sur le pouvoir d’achat, et affaiblissent le potentiel de croissance économique.

On ne peut pas sortir de cette crise en donnant encore et toujours plus de gages aux marchés financiers : les « plans de sauvetage » se multiplient et à chaque fois la somme d’argent nécessaire pour sauver les financiers augmente. Cet argent aurait pu, et doit, être mobilisé au service de l’emploi et de l’investissement productif.

Pour sortir de cette crise, il faut remonter à la source : il faut revaloriser le travail.

Il faut créer des emplois qualifiés et stables, augmenter les salaires, dynamiser l’investissement productif.

Il faut mettre fin aux programmes d’austérité. Au lieu de réduire les moyens des services publics et geler les traitements dans la fonction publique, ce que fait le gouvernement, il faut augmenter les dépenses utiles comme celles de l’éducation, de la santé et des infrastructures.

Il faut en revanche supprimer les niches fiscales et sociales inutiles, augmenter l’impôt sur les hauts revenus et taxer les transactions financières.

Il faut, enfin, stopper les capacités de manœuvre et de nuisances de la sphère financière et spéculative au profit d’une capacité de décisions de l’économie réelle sous contrôle démocratique.

La CGT porte ces exigences et appelle à porter d’autres choix pour une autre répartition des richesses par la mobilisation des salariés, retraités et privés d’emploi notamment par une journée d’action interprofessionnelle à la rentrée.

Montreuil, le 8 août 2011

Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !  La CGT Action Logement vous convie à une petite pause rev...