5 septembre 2011

Fermeture de l'usine Fralib (Unilever): des salariés occupent l'usine

(Info :AFP)

MARSEILLE — Des salariés de Fralib (Unilever) occupent depuis vendredi après-midi leur usine de Gémenos (Bouches-du-Rhône), dont la fermeture a été annoncée et le plan de sauvegarde de l'emploi validé le 21 juillet par la justice marseillaise, ont indiqué la direction et les salariés occupant les lieux.

La direction ayant "procédé au licenciement de 134 salariés depuis mercredi 31 août" et puisqu'elle "a affiché son intention de démantèlement de notre usine", "une centaine de salariés de Fralib réunis aujourd'hui en assemblée générale ont décidé l'occupation de l'usine tant que notre projet alternatif ne sera pas appliqué", a indiqué par téléphone à l'AFP Gérard Cazorla, secrétaire CGT du CE de Fralib faisant parti des occupants de l'usine. Des rotations pour assurer une présence 24H/24 vont être organisées, a-t-il dit.

Les salariés menacés se battent pour pérenniser le site et réclament que la marque Elephant, les machines et le savoir-faire leur soient cédés.

Pour la direction, il s'agit "d'un groupuscule d'environ 20 personnes" sur les 182 salariés du site, qui ont fermé les grilles de l'usine en début d'après-midi, empêchant les autres salariés, les prestataires et la direction de pénétrer dans l'enceinte du site.

"Cela représente à peine 10% des effectifs sachant qu'il y avait des gens qui ne sont pas du personnel, alors qu'aujourd'hui 57 personnes, soit plus de 30 % des effectifs ont déjà manifesté leur volonté de débuter leur congé de reclassement et 17 autres ont déjà retrouvé un emploi", a indiqué à l'AFP Sophie Jayet, directrice de la communication de Fralib.

Le géant anglo-néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques veut fermer l'usine de Gémenos, la seule en France à fabriquer les thés Lipton et infusions Eléphant, au motif d'une compétitivité insuffisante.

La cour d'appel d'Aix doit se prononcer le 19 octobre sur un jugement du tribunal administratif de Marseille qui a validé en juillet le plan de sauvegarde de l'emploi proposé par Unilever pour fermer Fralib.


Fermeture de l'usine Fralib (Unilever): des salariés occupent l'usine


(Info :AFP)

MARSEILLE — Des salariés de Fralib (Unilever) occupent depuis vendredi après-midi leur usine de Gémenos (Bouches-du-Rhône), dont la fermeture a été annoncée et le plan de sauvegarde de l'emploi validé le 21 juillet par la justice marseillaise, ont indiqué la direction et les salariés occupant les lieux.

La direction ayant "procédé au licenciement de 134 salariés depuis mercredi 31 août" et puisqu'elle "a affiché son intention de démantèlement de notre usine", "une centaine de salariés de Fralib réunis aujourd'hui en assemblée générale ont décidé l'occupation de l'usine tant que notre projet alternatif ne sera pas appliqué", a indiqué par téléphone à l'AFP Gérard Cazorla, secrétaire CGT du CE de Fralib faisant parti des occupants de l'usine. Des rotations pour assurer une présence 24H/24 vont être organisées, a-t-il dit.

Les salariés menacés se battent pour pérenniser le site et réclament que la marque Elephant, les machines et le savoir-faire leur soient cédés.

Pour la direction, il s'agit "d'un groupuscule d'environ 20 personnes" sur les 182 salariés du site, qui ont fermé les grilles de l'usine en début d'après-midi, empêchant les autres salariés, les prestataires et la direction de pénétrer dans l'enceinte du site.

"Cela représente à peine 10% des effectifs sachant qu'il y avait des gens qui ne sont pas du personnel, alors qu'aujourd'hui 57 personnes, soit plus de 30 % des effectifs ont déjà manifesté leur volonté de débuter leur congé de reclassement et 17 autres ont déjà retrouvé un emploi", a indiqué à l'AFP Sophie Jayet, directrice de la communication de Fralib.

Le géant anglo-néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques veut fermer l'usine de Gémenos, la seule en France à fabriquer les thés Lipton et infusions Eléphant, au motif d'une compétitivité insuffisante.

La cour d'appel d'Aix doit se prononcer le 19 octobre sur un jugement du tribunal administratif de Marseille qui a validé en juillet le plan de sauvegarde de l'emploi proposé par Unilever pour fermer Fralib.















Chômeurs: Bertrand prêt à discuter de droits rechargeables avec les syndicats


(Info :AFP)

PARIS — Xavier Bertrand, ministre du Travail, a affirmé dimanche qu'il souhaitait discuter avec les syndicats, qu'il va recevoir à partir du 13 septembre, de la possibilité pour les chômeurs de maintenir des droits à indemnisation non utilisés en cas de reprise du travail.

"Le vrai problème, c'est que notre système d'indemnisation n'encourage pas forcément le retour à l'emploi", a déclaré le ministre lors du "Grand Rendez-Vous" Europe 1/Aujourd'hui en France-Le Parisien/iTélé.

"Je souhaite mettre à l'ordre du jour avec les partenaires sociaux, que je vais recevoir individuellement à partir du 13 (...) un sujet que la CFDT a mis en avant et qui est celui des droits rechargeables" des chômeurs, a-t-il déclaré.

"Aujourd'hui, il faut travailler quatre mois pour être indemnisé, mais si vous reprenez un emploi pour deux mois, ça s'arrête", a expliqué Xavier Bertrand.

"La tentation peut être d'aller au bout de son chômage indemnisé avant de reprendre un emploi", a-t-il ajouté.

"Ce que je propose, c'est un compte avec des droits à indemnisation qui, même si on reprend une activité de courte durée, soient préservés", a déclaré le ministre en disant vouloir "en finir avec tout ce qui éloigne de la reprise d'activité".

Interrogé sur la polémique suscitée par les déclarations de Bruno Le Maire, en charge du programme de l'UMP pour 2012 et favorable à une baisse des indemnisations chômage les plus élevées, Xavier Bertrand a répondu que la priorité dans la lutte contre le chômage était autre: "il faut mettre davantage l'accent sur le retour à l'emploi et sur la formation plutôt que sur la seule question de l'indemnisation".

Selon lui, "il ne faut pas confondre les hautes rémunérations extravagantes et la situation de cadres".

Au sujet du plafond de 6.600 euros bruts, touché par un millier de cadres au chômage, le ministre a fait valoir que les cadres "cotisent également, et s'ils cotisent il y a la prestation".

Enfin, sur la question des chômeurs arrivant à 60 ans en fin de droits et qui ne vont pas pouvoir toucher de pension immédiatement du fait de la réforme des retraites, Xavier Bertrand a assuré vouloir agir.

"Nous allons dessiner avec les syndicats des solutions pour ces personnes", a-t-il dit.


Journalistes surveillés: la Presse Judicaire et le SNJ parties civiles aux côtés du Monde


(Info :AFP)

PARIS — L'Association de la Presse judiciaire (APJ) et le Syndicat national des journalistes (SNJ) ont annoncé vendredi qu'ils se constituaient parties civiles dans la plainte du journal Le Monde dont l'un des reporters a vu ses relevés téléphoniques examinés par le contre-espionnage français.

L'APJ, qui regroupe plus de 150 journalistes couvrant l'actualité judiciaire, "considère que ces méthodes, qu'elle avait dénoncées en son temps, portent atteinte au secret des sources et causent un préjudice collectif aux journalistes couvrant les affaires de justice".

"Les membres de la Presse judiciaire ne peuvent en effet tolérer que sur des dossiers sensibles le pouvoir en place cherche à identifier leurs informateurs afin, à terme, de tarir leurs sources et de tuer la liberté d'informer", selon l'APJ.

Le SNJ, première organisation de la profession, a annoncé lui aussi dans un communiqué son intention de se porter partie civile aux côtés du Monde et de ses confrères.

"Oui, la loi du 4 janvier 2010 sur la protection du secret de leurs sources a bien été violée et par ceux-là mêmes qui en sont les garants jusqu'au plus haut niveau", écrit le syndicat.

Le SNJ juge "accablant le bilan de la liberté d'information sous ce quinquennat". "Rien qu'en 2010, plus d'une dizaine d'affaires très graves qui, toutes, visaient des journalistes, sont restées impunies à ce jour: écoutes, saisies de fadettes, cambriolages, menaces de mort, insultes, diffamations et poursuites en justice, chaque fois ce qui était rapporté ne plaisait pas", dénonce le SNJ.

Le contre-espionnage a bien examiné, selon Le Monde, les appels d'un de ses journalistes pour identifier ses sources dans l'affaire Bettencourt, une pratique illégale que le ministre de l'Intérieur a confirmée et qui pourrait entraîner des mises en examen de responsables place Beauvau.

L'APJ "s'insurge que la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) ait eu recours dans cette affaire à des méthodes indignes d'un Etat de droit".

De son côté le syndicat national des journalistes CGT a appelé "la profession à réagir et à être solidaire des journalistes victimes d'un pouvoir qui viole la loi". "C'est la démocratie qui trinque quand on espionne et menace les journalistes", a estimé le syndicat.

3 septembre 2011

Alors que le pays a besoin de valeur ajoutée,le gouvernement augmente la taxe sur le sucre ajoutée !

Si le discours du premier ministre peut satisfaire quelques uns, pour la CGT il n’était pas à la hauteur de la gravité de la situation. Une nouvelle hausse du chômage pour le mois de juillet, la baisse de la consommation au deuxième trimestre, la stagnation de l’économie (croissance zéro) au deuxième trimestre ainsi qu’un PIB en deçà de son niveau d’il y a trois ans sont autant de points occulté dans son discours. Il faut rappeler que la production industrielle est 10% en deçà de son niveau de 2008 et ce point de vue, l’absence du ministre de l’industrie à la conférence de presse du premier ministre n’est pas anodine. Concernant les heures supplémentaires, Selon le gouvernement, cette mesure rapporterait 600 millions d’euros aux caisses de la Sécurité sociale. Deux remarques : 1°) Ce chiffre doit être comparé avec les 31,5 milliards d’exonérations Fillon dont profitent les entreprises ainsi que l’ensemble des aides et exonérations accordées aux entreprises par l’État et les collectivités territoriales qui est de l’ordre de 170 milliards d’euros. 2°) Au deuxième trimestre, il y a eu 186 millions d’heures supplémentaires. C’est l’équivalent de 100 000 emplois annuels. Les heures supplémentaires défiscalisées équivalent donc à 400 000 emplois par an. Supprimer cette mesure permettrait de réduire le chômage et de créer quelques centaines de milliers d’emploi. En annonçant quelques mesures apparemment radicales, le premier ministre cherche en fait à justifier la politique désastreuse du gouvernement qui a provoqué des dégâts considérables pour les salariés, les privés d’emploi et les retraités. Pour finir, le gouvernement augmente la taxe sur le sucre ajoutée alors que le pays a besoin de valeur ajoutée,! Dans ces conditions, l’union locales des syndicats CGT de Coulommiers considère que la conférence de presse du premier ministre n’est qu’une opération de communication.

P/ la CGT
Patrick ARNOULD
Secrétaire de l’union locale de Coulommiers

2 septembre 2011

Journée nationale d’action interprofessionnelle le mardi 11 octobre 2011

Intersyndicale

Communiqué CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires

Montreuil, jeudi 1er septembre 2011

Le gouvernement a annoncé le 24 août des mesures censées réduire « le déficit de la France ». Les organisations syndicales CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires en dénoncent le caractère injuste et inéquitable. La facture est principalement supportée par les salariés et les consommateurs. Le gouvernement ne remet pas en cause les niches fiscales dont on sait qu’elles n’ont aucune efficacité économique et sociale. La contribution des plus hauts revenus reste symbolique et n’est pas de nature à réduire les inégalités.

Pour relancer la croissance, en respectant les impératifs de développement durable, réduire les inégalités et maîtriser les déficits, une politique visant une autre répartition des richesses et favorisant le développement économique et social est incontournable.

Cela suppose des réformes structurelles importantes comme une réforme globale de la fiscalité intégrant une plus grande progressivité, une politique industrielle coordonnée au niveau européen, des services publics de qualité.

Cela appelle aussi des mesures urgentes :

• Abandonner la taxation des complémentaires santé ; supprimer les exonérations et la défiscalisation des heures supplémentaires ; conditionner toute aide publique à son efficacité sociale et économique, aux politiques sociales dans les entreprises.

• Mettre en œuvre la taxe sur les transactions financières.

• Faire de l’emploi, en particulier celui des jeunes, une priorité. Stopper les suppressions d’emplois dans la Fonction publique.

• Soutenir le pouvoir d’achat notamment des plus bas revenus et réouvrir les négociations salariales dans les entreprises et la Fonction publique pour réduire les inégalités notamment entre les femmes et les hommes.

Les organisations syndicales estiment indispensable l’intervention des salariés pour peser sur le gouvernement, le patronat, les débats parlementaires en cours et à venir.

Elles décident d’une journée nationale d’action interprofessionnelle le mardi 11 octobre 2011. Partout, le débat sur le contexte, les enjeux et les modalités (manifestations, rassemblements, arrêts de travail, etc.) est nécessaire pour construire cette journée. Les organisations se retrouveront le 15 septembre 2011.


Bernard Thibault sur France Info
Pour écouter cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.cgt.fr/Bernard-Thibault-sur-la.html


Le Mardi 11 octobre manifestons ensemble à Paris

L'UNION LOCALE C.G.T de COULOMMIERS
mettra autant de Bus qu'il conviendra

Le départ du car se fera sur le Parking de l’Aître face à l'UL CGT de Coulommiers

Nous vous invitons à prendre contact auprès :
de vos ELUS, et de votre UNION LOCALE CGT

Si vous le désirez, vous pouvez être des nôtres pour manifester à Paris.
Réservez vos places le plus tôt possible
Inscription par tél:
A l'Union Locale, les mardis et les jeudis de 13h45 à 18h15.
FIXE : 01 64 03 54 85 ou le : 09 65 04 53 58

fax : 01 64 20 97 84
Inscription par MAIL:
ulcgtcoulommiers77@wanadou.fr/
OU LES MOBILES
06 73 34 65 02 (Patrick)
06 31 53 89 33 (Michel)
06 18 85 64 71 (Alain)
06 30 70 17 39 (Patrice)

Plus que jamais l’heure est à la mobilisation des salariés






31 août 2011

Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, dénonce un changement de l'assiette de cotisation, de la CSG'et la CRDS


Le plan de rigueur ne manque pas de surprises. Dans cette série de mesures annoncées mercredi 24 août par le gouvernement, on découvre 'encore', en les 'décortiquant', des dispositions qui étaient passées inaperçues mais qui pèsent sur 'l'ensemble des salariés'.

Ce reproche est signé Bernard Thibault, le secrétaire général de la CGT. Le leader syndical cite comme exemple 'une augmentation de la CSG', la contribution sociale généralisée, qui est effectivement inclue dans le train de mesures annoncé. Mais qui, comme le soulignent aussi des socialistes, n'a pas fait l'objet d'une grande publicité de la part du gouvernement ou des médias, contrairement à la contribution exceptionnelle demandée aux hauts revenus, par exemple.

De quoi s'agit-il ? 'On change l'assiette de cotisation, la base de cotisation pour la CSG', a dénoncé Bernard Thibault, vendredi, sur RTL. Jusqu'ici, la CSG et la CRDS, contribution pour le remboursement de la dette sociale, deux taxes instaurées par Michel Rocard puis Alain Juppé, étaient en effet calculées sur 97 % des revenus, en vertu d'un abattement de 3 % accordé au titre des frais professionnels.

Or, la semaine dernière, le gouvernement a décidé de réduire discrètement cet abattement à 2 % des revenus. Gain estimé : 550 millions d'euros. Une somme prélevée sur les revenus en général, la CSG et la CRDS n'étant pas progressives comme l'impôt sur le revenu, mais proportionnels.
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Une augmentation de la CSG en catimini. Le gouvernement veut discrètement réévaluer cet impôt proportionnel qui touche tous les salariés.

Comment mieux faire avaler la pilule de la rigueur aux Français ? Le gouvernement a trouvé la bonne méthode : maquiller une augmentation de la contribution sociale généralisée (CSG) et de la contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS) en mesure technique. Parmi les multiples annonces de François Fillon figure en effet "la réduction de l'abattement forfaitaire pour frais professionnels de 3 % à 2 %".

Une "réduction" qui revient à élargir l'assiette des revenus sur laquelle sont calculées la CSG et la CRDS, ces impôts proportionnels - contrairement à l'impôt sur le revenu dont le taux augmente avec le revenu - sur les salaires. Ce faisant, François Fillon évite tout simplement d'afficher une hausse des taux, alors que le gouvernement dit refuser toute augmentation générale des impôts.

Explications. Jusqu'à présent, pour tenir compte des frais professionnels des salariés, la CSG et la CRDS étaient calculées sur 97 % des revenus brut du salarié, et non pas 100 % (dans la limite de 141 408 euros brut de salaire annuel en 2011). Avec le plan Fillon, ce chiffre passe à 98 %. Le gouvernement attend de cette légère hausse 550 millions d'euros supplémentaires pour les comptes de la Sécurité sociale. Soit une augmentation d'un peu plus d'un euro de CSG et de CRDS pour un salaire brut de 1 500 euros 13.5% de la population vit sous le seuil de pauvreté avec moins de 954 euros. (Insee) /

Selon une étude de l’Insee publiée ce mardi 30 août, quelques 8.2 millions de personnes vivaient en 2009 sous le seuil de pauvreté en raison de la crise. "L’augmentation du nombre de personnes pauvres peut être rapprochée de la hausse du chômage induite par la crise" déclenchée en 2008, commente l’Insee qui confirme aussi que les inégalités se creusent entre les Français les plus modestes et les plus aisés. Ainsi, "le niveau de vie des 10% des personnes les plus modestes (premier décile) est inférieur à 10.410 euros annuels, en baisse de 1,1% par rapport à 2008".

Pire, "alors que l’évolution moyenne annuelle relevée entre 2005 et 2008 pour chacun des quatre premiers déciles était d’environ +2%, la tendance s’inverse entre 2008 et 2009 : en euros constants, les quatre premiers déciles diminuent", poursuit l’étude. Qui plus est, les personnes pauvres le sont encore plus qu’en 2008 : l’intensité de la pauvreté (l’écart entre le niveau de vie médian des personnes pauvres et le seuil de pauvreté) passe de 18,5 à 19%, note encore l’Insee.

Quant aux 10% les plus aisés, dont le revenu est supérieur à 35.840 euros annuels, ils ont vu leur revenu croître de 0,7% de plus qu’en 2008, marquant néanmoins "un ralentissement dans la progression".

"Au total, commente l’Insee, le contexte de crise économique se répercute sur l’ensemble des ménages, mais ce sont les plus modestes qui sont les plus touchés". Les privés d’emploi sont ainsi en 2009 plus représentés dans les couches les plus modestes.

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Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !  La CGT Action Logement vous convie à une petite pause rev...