3 octobre 2011

Mobilisation du 11 octobre: Les lycéens de l’UNL appellent à manifester

Info de l’UNL

"Classes à 35 élèves, professeurs non remplacés, centaines voire milliers d’élèves sans-affectation faute de place dans les lycées, professeurs mal formés... Voilà, pour l’Union Nationale des Lycéens, la réalité à laquelle sont confrontés deux-millions et demi de lycéens en cette rentrée. À cela s’ajoutent les conséquences de la formation des enseignants.

Le syndicat lycéen conteste et réfute l’optimisme du ministre de l’Éducation et refuse "de le voir continuer sa politique dogmatique de suppressions de postes. Ils lui demandent d’entamer un plan de recrutement pluriannuel dans l’éducation nationale, une nouvelle réforme de la formation des enseignants et des avancées rapides et progressistes en termes de rythmes scolaires."
Refusant de "payer une crise pour laquelle les lycéens ne sont pour rien", l’UNL les appelle à s’organiser au sein des lycées, à tenir des Assemblées Générales et à rejoindre les cortèges de la journée de mobilisation du 11 octobre prochain.

30 septembre 2011

Une étape de plus dans le plan de fermeture de PSA Aulnay

Communiqué de presse de la CGT PSA Aulnay du 26/09/2011

CCE extraordinaire du 22 septembre 2011 : l'emploi attaqué

415 suppressions d’emplois programmées : Une étape de plus dans le plan de fermeture d’Aulnay
Suite aux déclarations de Varin dans la Presse, la direction a réuni le 22 septembre à Paris le Comité Central d’Entreprise (CCE). Denis MARTIN, DRH du groupe, a clairement annoncé qu’il allait continuer à s’en prendre aux salariés par du chômage, par des suppressions d’emplois et des licenciements.
Cette nouvelle étape de l'application du plan de fermeture de l'usine confirme les propos de M. Varin affirmant qu'il n'y aura plus de production après janvier 2014 à Aulnay.
La direction veut s’en prendre à nous un par un. Battons-nous tous ensemble pour défendre notre emploi, qu’on soit intérimaires, CDD ou CDI.



Eric Besson, ministre de l'Industrie recevra jeudi prochain des représentants CGT de Renault, PSA et de la Fonderie du Poitou, précise la CGT.

Toute l'actualité en image Jeudi 06 octobre, le ministre de l'Industrie Eric Besson doit rencontrer les représentants CGT de Renault, PSA Aulnay-sous-Bois et la Fonderie du Poitou, indique le syndicat. Au menu de cette rencontre, le climat social difficile dans le secteur automobile. La Fonderie du Poitou, sous-traitant des constructeurs français, est en grève depuis le début du mois de septembre.

Les salariés de PSA Aulnay accusent eux le coup: 415 suppressions de postes (115 emplois en CDI et 300 contrats d'intérimaires) ont été annoncées en fin de semaine dernière. Pour le syndicat CGT, ces suppressions de postes ne sont qu'un préalable à la fermeture de l'usine dans les prochaines années.
Accord tripartite
Et face à Eric Besson, la CGT veut des actes. Le représentant PSA Aulnay demandera des garanties pour sauver l'usine de Seine-Saint-Denis. La CGT souhaite signer avec le ministre et avec la direction du groupe un engagement écrit sur la sauvegarde du site, "la meilleure garantie contre la fermeture" selon Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT à PSA Aulnay.

Vendredi 30 septembre, la CGT rencontrera le maire PS d'Aulnay Gérard Ségura pour évoquer la situation de l'usine PSA.

Les Cheminots, Jacky et Jérôme relaxés

Déclaration de l’UD-CGT de l’Allier et du Comité Régional CGT Auvergne et de la Fédération CGT des Cheminots.

Le rendu du jugement de la Cour d’Appel de Riom prononcé ce 28 septembre est sans équivoque : Jacky Belin et Jérôme Gallois sont totalement innocentés du délit d’outrage qui leur était reproché, et la partie civile (la policière) est déboutée de toutes ses demandes.
Le jugement en première instance bâti par un juge ancien commissaire de police, est totalement rejeté.
L’issue favorable du processus judiciaire démontre, s’il en était besoin, que les 2 militants CGT de Moulins ont bien été victimes d’une machination policière dans le but de criminaliser l’action syndicale, d’effrayer les militants syndicaux et les salariés dans un contexte d’attaques anti-sociales sans précédent de la part du gouvernement. Le mécontentement du Monde du Travail est profond et va continuer à s’exprimer fortement par des mobilisations larges et rassembleuses, à l’image du puissant mouvement des enseignants du 27 septembre.
A Riom, justice a été rendue.
La défense de Jacky et Jérôme a nécessité une implication très forte de la CGT, avec ses organisations, ses militants, tant au niveau de la profession cheminots que dans les 4 départements d’Auvergne, de la Nièvre et aussi de la Loire.
L’unité syndicale a été également importante, car ce sont les libertés syndicales qui étaient en cause, mais aussi les libertés publiques. La présence à Riom le 7 septembre de nombreuses associations et partis politiques était à ce sujet emblématique.
L’affaire Belin-Gallois était politique, comme s’est attaché à le démontrer avec pugnacité et conviction l’avocat de la CGT.
Le syndicalisme, les organisations progressistes ne doivent cependant pas baisser les bras car malheureusement la criminalisation de l’action syndicale en France n’est pas terminée. Ainsi, hier, un jugement inique à été prononcé à Roanne contre 5 militants CGT, qui ont immédiatement fait appel. Les organisations qui se sont mobilisées pour les 2 militants moulinois sont totalement solidaires des 5 de Roanne et forment le voeu qu’en appel justice leur sera rendue.
L’UD-CGT de l’Allier, le Comité Régional CGT Auvergne, la Fédération des Cheminots remercient toutes celles et ceux qui se sont rassemblés dans la lutte solidaire pour Jacky et Jérôme et donnent rendez-vous aux salariés, retraités, et privés d’emploi dans l’action par la grève et les manifestations le 6 octobre pour les retraités et le 11 octobre pour l’ensemble du Monde du Travail.
Le 28 septembre 2011

27 septembre 2011

LyondellBasell annonce un projet de fermeture de sa raffinerie de Berre



INFO : AFP

MARSEILLE — La compagnie pétrochimique américaine LyondellBasell, qui n'a pas trouvé de repreneur pour sa raffinerie de Berre (Bouches-du-Rhône), envisage désormais la "fermeture" du site, a-t-elle annoncé mardi dans un communiqué.
"Malgré les efforts des salariés et de la direction, la raffinerie continue de subir de lourdes pertes et ne parvient pas à devenir rentable", a expliqué Jean Gadbois, directeur général du site de Berre, cité dans le communiqué.
"Sans réelle perspective de rachat, nous avons donc l'intention d'engager une procédure de consultation sur un projet de fermeture de la raffinerie", a-t-il ajouté. Selon la direction, "370 emplois seraient concernés".
L'intersyndicale (CGT, CFDT, CFE-CGC, FO, CFTC), qui tient une assemblée générale à 12H00, a menacé d'"une grève de grande ampleur".
Aucune offre de reprise n'ayant été faite à LyondellBasell, "la Compagnie Pétrochimique de Berre S.A.S. (CPB), qui exploite la raffinerie, va mettre en oeuvre, conformément à la réglementation française, une procédure d'information et de consultation des représentants du personnel sur un projet de fermeture de la raffinerie", précise le communiqué.
Cette procédure devrait débuter en octobre.
D'une capacité de 105.000 barils de pétrole par jour, la raffinerie avait été mise en vente en mai, les résultats s'étant "révélés inférieurs aux projections économiques faites à l'époque de l'acquisition" au géant anglo-néerlandais Shell en 2008, avait alors indiqué LyondellBasell, qui souhaite se concentrer sur les activités pétrochimiques.
La raffinerie est adossée à un complexe comptant environ 1.250 salariés.
Cette annonce fait suite à l'arrêt l'an dernier par Total de sa raffinerie des Flandres, près de Dunkerque, et la fermeture en juin par le groupe suisse Petroplus de son site de Reichstett (Bas-Rhin).
Les groupes pétroliers cherchent de plus en plus à réduire leur présence sur le Vieux Continent, où la demande de pétrole est en baisse et la rentabilité faible.
La France métropolitaine, qui comptait 23 raffineries à la fin des années 70, n'en recense plus que 11 encore en activité aujourd'hui.

Grève des enseignants: 28,9% en primaire, 22,3% dans le secondaire, selon le ministère

INFO : AFP

PARIS — Près de 29% (28,89%) des enseignants du primaire et 22,3% des professeurs du secondaire étaient en grève mardi contre les 16.000 suppressions de postes de la rentrée et les 14.000 à venir en 2012, selon une estimation du ministère de l'Education nationale diffusée dans la matinée.
Signe d'un profond malaise dans l'Education nationale, un front uni des syndicats du public et, fait exceptionnel, du privé, appelle à la grève pour dénoncer la "dégradation" de l'école, l'un des enjeux de la présidentielle de 2012.
Dans le second degré, les grévistes sont, selon le ministère, 25,57% dans les collèges, 23,29% dans les lycées professionnels et 17,80% dans les lycées généraux et technologiques.
Dans le primaire, l'estimation du ministère est supérieure à celle diffusée vendredi après-midi (20,5%): les enseignants des écoles maternelles et élémentaires devant se déclarer grévistes au moins 48 heures à l'avance, ils avaient donc jusqu'à samedi soir pour le faire.
Côté syndicats, le SNUipp-FSU prévoit 53,75% de grévistes dans le primaire, tandis que le Snes-FSU, principal syndicat des collèges et lycées, annoncera son estimation pour le second degré plus tard dans la matinée.
Les organisations syndicales veulent peser sur le projet de budget 2012 qui passe mercredi en conseil des ministres et prévoit 14.000 suppressions de postes dans l'Education nationale (80.000 au total entre 2007 et 2012), alors que les effectifs des élèves augmentent.

Nouvelle victoire contre le travail du dimanche. Magasin ED de Créteil

Communiqué de la fédération CGT du Commerce et des Services

Le tribunal des prud’hommes de Créteil à condamné l’entreprise ED qui avait licencié injustement en 2009 quatre salariés ayant refusé de travailler les dimanches matins.
C’est une nouvelle victoire contre le travail du dimanche ainsi que pour la reconnaissance d’un véritable volontariat. Le droit de préserver sa vie familiale est ainsi reconnue aux salariés de ED à Créteil injustement licenciés pour motif « d’insubordination » alors qu’ils refusaient les modifications de leur contrat de travail. Ed devra verser à chacun d’eux 40 000 euros de dommages et intérêts.
Après Auchan Perpignan, Cora à Ales et la lutte des salariés ED à Albertville qui en sera à son 100ème dimanche de grève, la CGT réaffirme son opposition au travail du dimanche imposé.
La Loi Maillé et les dérives qu’elle entraine n’a fait que rajouter des dérogations aux dérogations déjà existantes et à ouvert la voie aux commerces de la grande distribution pour enfreindre la Loi.
Deux ans après le vote de la Loi maillé aucun véritable bilan n’a été tiré des conséquences de son application. La fédération CGT commerce et services demande l’ouverture d’un débat national sur le travail du dimanche et l’ouverture de négociations salariales dans les branches.
La CGT commerce et services appelle les salariés à se mobiliser le 11 octobre journée nationale d’action interprofessionnelle.

23 septembre 2011

aujourd'hui l'Union Locale des Syndicats CGT de Coulommiers et sa Région inaugure leurs nouveaux locaux



l'union locale, Invite leurs militants et sympathisants à l'inauguration de leurs nouveaux locaux

En profitant de cette occasion pour nous rencontrer autour d’un verre fraternel

Espérant vivement te compter parmi nous

Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !  La CGT Action Logement vous convie à une petite pause rev...