16 février 2012

29 FEVRIER 2012 MANIFESTATION CONTRE LES PLANS DE RIGUEUR


MERCREDI 29 FEVRIER 2012

MANIFESTATION A L’APPEL DE LA

CONFEDERATION EUROPEENNE DES SYNDICATS ( CES)

ET EN FRANCE DE LA CGT

(la CFDT et FO sont pourtant membres de la CES)

L'UNION LOCALE C.G.T de COULOMMIERS et de MEAUX
METTRA UN BUS A VOTRE DISPOSITION
DEPART A 11H45 DEVANT LE CREDIT AGRICOLE DE COULOMMIERS
DEPART A 12H30 DEVANT LE TRIBUNAL DE MEAUX
Pour la Manifestation de BASTILLE à NATION

Si vous le désirez, vous pouvez être des nôtres pour manifester à Paris.
Réservez vos places le plus tôt possible Inscription par tél:
A l'Union Locale, les mardis et les jeudis de 13h45 à 18h15.
FIXE : 01 64 03 54 85 ou le : 09 65 04 53 58 fax : 01 64 20 97 84
Inscription par MAIL: ulcgtcoulommiers77@wanadou.fr/
OU LES MOBILES : 06 73 34 65 02 (Patrick) 06 31 53 89 33(Michel)
06 18 85 64 71 (Alain) 06 30 70 17 39 (Patrice)


Le 29 février, des manifestations seront organisées pour protester contre les plans de « rigueur » imposés par les gouvernements européens, censés solutionner la crise mais aussi pour l’emploi et la justice sociale.

Aujourd’hui la Grèce, demain la France ?

Standard ans Poor’s nous a dégradé, Moody’s nous menace de le faire, devons-nous baisser nos salaires nous aussi de 20 à 50% pour sauver on ne sait quoi (pas nos familles ni nos vies en tout cas).

Alors, si vous n’êtes pas dupes, dites le à Paris à 14 H
TROP, C’EST TROP !

Les citrons en ont marre d’être pressés !
On veut de l’emploi, des salaires justes et une protection sociale de qualité.
C’est nous qu’il faut sauver de la crise !

Plus que jamais l’heure est à la mobilisation des salariés

Toutes les organisations professionnelles et départementales de la CGT appellent
donc les salariés, à se mobiliser dans l’unité syndicale la plus large, à décider de
la grève sur les lieux de travail le 29 février 2012 et à participer aux manifestations
interprofessionnelles qui seront organisées sur tout le territoire.


Sauver l’Europe en coulant les peuples ?

Écoles, hôpitaux, hébergement d’urgence, retraites, chômage, culture, environnement… nous vivons tous au quotidien l’austérité budgétaire et le pire est à venir. « Nous vivons au-dessus de nos moyens », telle est la rengaine que l’on nous ressasse dans les grands médias. « On n’a pas le choix, il faut rassurer les marchés financiers ».

Nous refusons ces discours culpabilisateurs. Nous ne voulons pas assister en spectateurs à la remise en cause de tout ce qui rendait encore vivables nos sociétés, en France et en Europe



Lettre ouverte Aux Maires des cantons De Coulommiers, Rebais, La ferté Gaucher,


Union Locale des Syndicats CGT de Coulommiers et sa région


Mesdames et Messieurs les maires,

Le Centre Hospitalier de Coulommiers couvre en matière de risque sanitaire un vaste territoire à la population essentiellement rurale.

Officiellement, le bloc opératoire central du Centre Hospitalier de Coulommiers devrait certainement fermer courant mars 2012, la nuit et les week-ends.

Nous sommes bien évidemment conscients que les responsables locaux de cette évolution notamment la Directrice Générale du groupement de coopération sanitaire des hôpitaux de Coulommiers-Meaux- Lagny S/ Marne, le Directeur Délégué du Centre Hospitalier de Coulommiers, voire certains praticiens, mettent en œuvre sous la contrainte les objectifs de l'agence régionale de santé (ARS).

Nous dénonçons cette mesure administrative imposée et conçue au détriment de l'intéré général, qui aura des conséquences graves pour l'activité future de l'hôpital et qui remet en cause la sécurité sanitaire indispensable pour notre bassin de vie.

Nous dénonçons ces méthodes de gestion, au mépris de toute éthique, qui dévalorisent la république et provoquent la colère de ceux qui tiennent à un service public de santé de qualité et
de proximité.

Nous savons tous qu'il s'agit là des répercutions d'une politique nationale de destruction des services publics de santé, alors qu'il est question de décès potentiels faute de structure opérationnelle 24H/24.

Au-delà de vos convictions, politiques, philosophiques, syndicales...nous vous demandons que cette question soit mise à l'ordre du jour d'un prochain Conseil Municipal, d'intervenir par tous les moyens (médias-courriers à l'ARS...) et nous faire connaître les suites que vous donnerez à notre requête.

A noter par ailleurs, que la CGT du Centre Hospitalier de Coulommiers a du faire une action à l'hôpital pour faire savoir ce projet dangereux à la population par le biais de la presse locale.

Restant à votre disposition et vous remerciant par avance de l'attention personnelle et collective que vous porterez à notre demande, nous vous prions d'agréer, Madame, Monsieur le Maire, l'expression de nos salutations respectueuses.


Pour l'union locale CGT
Patrick Arnould-
Secrétaire général

12 février 2012

CONTRE LA FREMETURE DE CITROEN AULNAY ( PSA)




SAMEDI 18 FEVRIER 2012
TOUS A LA MANIFESTATION
A 13H30 GARE R.E.R AULNAY

contre la menace de la fermeture de Citroën Aulnay

Ce que nous vivons à Citroën Aulnay, des centaines de milliers de salariés le vivent tous les jours en France. Presque tous les jours les médias annoncent des plans de licenciements ou des fermetures d'usines (Sea-France, Lejaby, Pétroplus,...).

En plus de tous les licenciements, c'est la précarité qui explose. Combien d'entre nous sont obligés de se contenter de missions d'intérim ou de CDD.

Ces attaques des patrons contre nos emplois ne peuvent plus durer. Nous devons tous réagir.

A Citroën Aulnay, le plan de PSA prévoit la fermeture d’Aulnay en 2014, avant même la fin de la fabrication de la C3 prévue en 2016. La production des C3 d’Aulnay seraient entièrement transférées vers les usines de Poissy et Mulhouse où les postes sont déjà surchargés.

L'usine qui comptait 7200 salariés en 2002, n’en compte plus que 3300 aujourd’hui, intérimaires compris. Et la direction du site fait tout pour que nous soyons chaque jour encore moins nombreux : elle vient d'annoncer un nouveau plan de 200 suppressions d'emplois.

SI L'USINE DEVAIT FERMER
CE SERAIT UNE VERITABLE CATASTROPHE SOCIALE
POUR LA VILLE D'AULNAY ET LE DEPARTEMENT

En plus des 3 300 licenciements cela voudrait dire :

Des milliers de missions d’intérim de longue durée en moins pour les jeunes dans un département déjà ravagé par le chômage

Des budgets réduits pour les municipalités

Des clients en moins pour les petits commerçants

Où les jeunes iraient trouver un emploi dans un département où le chômage touche déjà 40 % des jeunes des quartiers populaires ?

Nous avons tous intérêt à nous opposer à ce projet.

Voilà pourquoi tous les syndicats de PSA Aulnay :

SIA, CGT, SUD, CFDT, CFTC, FO et CGC
appellent la population à manifester sa solidarité
et son refus que PSA ferme l'usine de Citroën Aulnay.

L'AIDE PUBLIQUE A P.S.A VA SERVIR A FERMER L'USINE D'AULNAY
Le gouvernement a déversé des milliards d'aides publiques (prêts de 3 milliards à taux réduit, crédit impôt recherche, dégrèvement fiscaux, allègements de cotisations sociales, prime à la casse,...).
.

Référendum sur les chômeurs: "méprisant" pour les syndicats


(Info : AFP)

Les syndicats ne mâchent pas leurs mots

PARIS — La CGT, FO et la CFE-CGC ont dénoncé vendredi la proposition de Nicolas Sarkozy de soumettre à référendum une réforme durcissant les conditions d'indemnisation des chômeurs, l'organisation patronale CGPME jugeant pour sa part "peu réaliste" la faisabilité du nouveau système proposé.

Avec cette annonce, il veut "diviser le pays", "livrer en pâture les chômeurs" pour "détourner les regards sur les vraies raisons de la crise", juge Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, premier syndicat français.

"Avec ce genre d'annonce, on est dans le gadget pré-électoral", avance-t-il.

Pour la CFE-CGC, l'idée d'un référendum traduit "une volonté simplificatrice, réductrice pour traiter de problèmes complexes".

Syndicats et patronat travaillent "d'arrache-pied tout au long de l'année" avec l'Etat et les pouvoirs publics et "ce type d'annonces est assez méprisante vis-à-vis des partenaires sociaux", regrette le leader du syndicat des cadres, Bernard Van Craeynest.

Dans une interview à paraître samedi dans le Figaro magazine, Nicolas Sarkozy propose d'obliger les chômeurs à se former aux métiers en tension et accepter "la première offre d?emploi correspondant au métier pour lequel il aura été formé".

Une réforme, qui, si elle n'est pas validée par les acteurs sociaux, fera "sans doute" l'objet d'un référendum, explique le chef de l'Etat, toujours pas officiellement candidat.

"Sarkozy continue à stigmatiser les plus démunis", estime de son côté la CGT chômeurs.

"Vouloir exiger que les chômeurs acceptent, à l'issue d'une formation, la première proposition qui leur sera faite, c'est les rendre responsables de leur situation et c'est inacceptable", estime pour sa part Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force Ouvrière.

Même la CGPME juge la proposition "peu réaliste".

"Il convient de souligner que tout demandeur d'emploi est aujourd'hui, en théorie, tenu d'accepter une deuxième offre raisonnable d'emploi et qu'à défaut, il s'expose à être radié", indique la Confédération générale des petites et moyennes entreprises.

"Mais, dans la réalité, cette mesure est peu appliquée en raison notamment des difficultés d'interprétation de la définition d'une offre raisonnable d'emploi, "il paraît donc peu réaliste d'envisager que le chômeur soit tenu d'accepter la première offre d'emploi", prévient la CGPME.

La principale organisation patronale, le Medef, n'avait pour sa part toujours pas réagi vendredi après-midi.

8 février 2012

L'Etat condamné pour ne pas avoir assuré les moyens nécessaires au bon fonctionnement de la justice prud'homale








Info UD CGT 77




Le 15 février 2011, 71 salariés victimes de procès prud’homaux aux délais déraisonnables ont assigné l’État en justice pour obtenir réparation du préjudice subi.

Ces 71 salariés ont pu compter sur l’appui des avocats du Syndicat des Avocats de France comme aussi sur l'engagement à leurs côtés des syndicats de salariés CGT, CFE CGC, CFDT, Solidaires et UNSA, du Syndicat de la Magistrature ainsi que des Ordres des Avocats de Seine-Saint- Denis, de Hauts-de-Seine, de Versailles et de Paris.

Tous dénoncent le manque de moyens dont pâtit la justice sociale, réduite à imposer aux justiciables des procès excessivement longs qui ne font qu'ajouter aux préjudices déjà subis par ces salariés.

Premières victoires le 18 janvier 2012…
16 dossiers ont déjà été jugés. Par 16 fois, l’État a été condamné devant le Tribunal de Grande Instance de Paris à verser des dommages et intérêts aux victimes pour un montant cumulé supérieur à 100 000 € !
En substance, on peut lire dans les attendus des jugements :
"Il relève du devoir de l État de mettre à la disposition des juridictions les moyens
nécessaires à assurer le service de la justice dans des délais raisonnables et le délai critiqué résulte manifestement du manque de moyens alloués à la juridiction prud’homale. Le déni de justice invoqué par le demandeur est caractérisé"


L'UNION DEPARTEMENTALE DU 77 ET L'UL CGT DE COULOMMIERS
APPELLE, toutes celles et tous ceux qui peuvent se libérer à venir
le Mercredi 15 février 2012 au rassemblement avec conférence de presse unitaire à 13 heures devant le Tribunal de Grande Instance de Paris


Un an jour pour jour après le dépôt des 71 dossiers et un mois après les premiers jugements favorables aux victimes, le SAF, les syndicats de salariés CGT, CFE CGC, CFDT, Solidaires et UNSA,
le Syndicat de la Magistrature et les Ordres des Avocats de Seine-Saint-Denis, des Hauts-de- Seine, de Versailles et de Paris veulent marquer une nouvelle étape dans ce combat pour que l’État assure les moyens humains et matériels nécessaires au bon fonctionnement de la justice prud’homale.

Ils plaideront ce jour-là leurs interventions volontaires dans ces procédures mettant en cause la responsabilité de l’État du fait de l’indigence des moyens et budget de la Justice




A St PIERRE-LES-NEMOURS LES SALARIES DE CRISMATEC ONT GAGNE,

Info CGT

Pendant 5 jours, 90% des 84 salariés de l’entreprise de St Pierre les Nemours, on fait grève suite au mépris affiché par la direction dans le cadre des NOE (négociations annuelles à l’entreprise).

Ils revendiquaient alors 2,5% d’augmentation générale.

La direction, en réponse, propose 1,2% lors de la première réunion, 1,5% et 1,8% (dont +0,6% de prévoyance) lors des réunions suivantes.

La reprise du travail a été votée le 6 février à 15 H. Ils obtiennent :

Ø 2,1% d’augmentation générale,

Ø 0,2% d’augmentation en individuel,

Ø 0,2% sur l’ancienneté,

Ø 158 € de prime exceptionnelle,

Ø L’indexation des 300 € de prime de vacances sur l’inflation,

Ø La revalorisation à 5,10 € des tickets restaurant,

Ø 50% des heures de grève payées.

Des contacts ont été pris pour la syndicalisation.

Une lutte exemplaire dans l’unité d’action des salariés avec leur syndicat CGT,

et l’apport du soutient de l’UL, l’UD et des diverses entreprises privées, publics du secteur.

Alors on ne lâche rien, la lutte paie,

On continu

6 février 2012

Le Contrat social CGT en 10 questions

Patronat et gouvernement sont engagés dans une véritable campagne d’intoxication destinée à démolir notre modèle social. La CGT remet les pendules à l’heure avec ce dossier, extrait du journal Ensemble !, mensuel des adhérents de la Cgt, rédigé par Eva Emeyriat et Laurent Mossino et paru en février 2012.

Pour lire la suite, cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.cgt.fr/-Le-Contrat-social-en-10-questions,1448-.html

Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !  La CGT Action Logement vous convie à une petite pause rev...