3 novembre 2020

la CGT Educ'action. : DÈS CETTE RENTRÉE NE CONFINONS PAS NOS REVENDICATIONS


 

Le ministère de l’Éducation nationale voulait organiser un moment solennel fait de recueillement, de partage et de transmission, le tout élaboré avec les équipes et les collectivités territoriales. Si cette entreprise était louable et nécessaire, elle s’est heurtée à une impréparation institutionnelle et une communication ministérielle très lacunaire et terriblement tardive. Ainsi, les personnels, les familles et l’ensemble des acteur·trices n’ont pu s’en emparer et préparer au mieux cette rentrée extraordinaire car à deux jours de cet événement, personne n’était en capacité de dire ce qu’il allait se passer réellement lundi faute d’information officielle.


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la CGT commerce : La santé des travailleurs et des citoyens complètement dévoyée au profit de considérations économiques.


 


Depuis l’annonce du reconfinement, les mesures et directives contradictoires du gouvernement se succèdent, permettant aux grands groupes de négocier sur leur périmètre de ventes, pointant au passage l’argument fallacieux de la distorsion de concurrence tout en plongeant les travailleurs de nos secteurs dans une incertitude et une incompréhension.



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L’exécutif veut recentrer les missions d’Action Logement

 L’exécutif veut recentrer les missions d’Action Logement

Pas question de reculer. Comme l’a confirmé au Sénat, le 20 octobre, le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, et comme le dit au Monde la ministre déléguée chargée du logement, Emmanuelle Wargon, le gouvernement va non seulement continuer de piocher dans la trésorerie d’Action Logement mais aussi le réformer en profondeur. Action Logement – l’organisme qui a succédé au 1 % Logement – collecte la participation à l’effort de construction des entreprises de plus de 50 employés à hauteur de, désormais, 0,45 % de leur masse salariale. En 2018, cela représentait 1,6 milliard d’euros. Ces fonds, essentiellement distribués sous forme de prêt à des bailleurs sociaux ou des accédants à la propriété, sont quasi doublés (1,5 milliard d’euros) par les remboursements des crédits.



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Hôpital : Les urgences de l’Hôtel-Dieu à nouveau fermées

Hôpital : Les urgences de l’Hôtel-Dieu à nouveau fermées



En pleine crise sanitaire, l’assistance publique a décidé de suspendre l’activité de ce service pour redéployer le personnel dans ses autres structures franciliennes.
n plbis repetita aux allures de scandale. Ce lundi, la direction de l’Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP) a annoncé la fermeture des urgences de l’Hôtel-Dieu. Comme lors du premier confinement, ce service du plus ancien hôpital parisien, situé au cœur de la capitale, laissera donc place à un centre de dépistage Covid. À l’approche du pic de saturation des hôpitaux franciliens, cette décision brutale ne passe pas. « C’est complètement absurde, tacle Gérald Kierzek, médecin urgentiste dans la structure. On l’a appris ce lundi, à 8 h 30, et ce sera effectif mercredi. Au lieu de se servir de cet hôpital pour désengorger les autres, on préfère traiter les personnels comme des pions et les redéployer ailleurs, notamment à Cochin. Alors que l’Hôtel-Dieu aurait pu être à la fois un volant de sécurité pour le Covid et assurer le maintien des soins conventionnels. Sachant qu’une partie des malades qui n’ont pas pu être soignés pendant la première vague sont en ce moment hospitalisés à travers le pays. »



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31 octobre 2020

En pleine crise sanitaire, pas de trêve pour les expulsions locatives

En pleine crise sanitaire, pas de trêve pour les expulsions locatives


 


Au standard téléphonique de la Fondation Abbé Pierre, les appels de détresse se succèdent. En pleine période d'état d'urgence sanitaire et de reconfinement général anti-Covid, les expulsions par la force continuent, en contradiction totale avec les directives du gouvernement.




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Le Groupe Amaury au comble du cynisme

Le Groupe Amaury au comble du cynisme

En pleine aggravation de la pandémie, la direction de L’Équipe s'apprête à annoncer ce jeudi une « restructuration » d'une ampleur inédite pour notre entreprise, après avoir tenté d'imposer cet été un marché de dupes : baisses de salaire et hausse du temps de travail contre… une fausse garantie d’emploi. Seul un tiers des salariés licenciés en refusant cet «accord de performance collective» auraient été remplacés. Et la direction se réservait le droit de licencier à nouveau en cas de réduction du périmètre de l'entreprise, laquelle avait déjà été annoncée. 



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TRAIN DE VIE DES ÉLUS : Rémunérations des sénateurs et du personnel


172 sénateurs ont été élus ou réelus. En janvier dernier, Capital s'était interrogé sur le train de vie des élus et notamment le coût d'un sénateur.



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Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !  La CGT Action Logement vous convie à une petite pause rev...