20 décembre 2014

Les rémunérations des conseillers ministériels explosent !


Les salaires des conseillers ministériels échappent à la crise
Alors que le gouvernement n'a que le mot "économies" à la bouche, les rémunérations et les primes accordées aux conseillers ministériels se portent bien.

Évidemment, ça fait mauvais effet. Le gouvernement serre la vis, réduit les dépenses, augmente les impôts, taille dans les aides sociales, et voilà que René Dosière met son nez dans les documents budgétaires pour s'apercevoir que, ô stupeur, la rémunération des conseillers ministériels a augmenté en moyenne de 7, 1 % entre 2013 et 2014. Les primes, appelées indemnités sujétions particulières, ont quant à elles subi un coup de pouce plus modeste (4, 3 % tout de même). Au total, en comptant la rémunération et les primes, chaque conseiller (1) gagne en moyenne 6, 5 % de plus cette année que l'an passé. L'inflation, pour mémoire, est passée de 0, 6 % en septembre 2013 à 0, 3 % aujourd'hui.
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Une secrétaire d’État généreusement payée pour un rapport de 30 pages
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Petit rappel historique
La Nuit du 4 août 1789 est un événement fondamental de la Révolution française, puisque, au cours de la séance qui se tenait alors, l'Assemblée constituante met fin au système féodal. C'est l'abolition de tous les droits et privilèges féodaux ainsi que de tous les privilèges des classes, des provinces, des villes et des corporations.
La nuit du 4 août avait été un moment d'exaltation et d'entraînement. Il restait à rédiger toutes les propositions décrétées, et à les consacrer par un acte fondamental et solennel destiné à être la pierre angulaire du monument nouveau que l'on allait élever. C'est ce que fit l'Assemblée nationale dans le préambule de sa constitution, sous ce titre
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.

La principale cause de la Révolution a été l'excès de l'inégalité
La Révolution a deux buts : abolir les privilèges aristocratiques, abolir l'absolutisme monarchique.






70 000 logements très sociaux menacés de privatisation


Le gouvernement s’apprête à céder ses parts d’Adoma et à devenir actionnaire minoritaire de cet opérateur spécialisé dans l’insertion 
par le logement. Tout cela pour récolter « 70 millions d’euros ». Avec le risque de massacrer un outil du droit au logement à l’efficacité reconnue.
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