Les employeurs ont désormais douze heures pour informer l'inspection du travail en cas d'accident ayant entraîné la mort d'un de leurs salariés. Une «toute petite avancée», selon les syndicats, qui ne masque pas le manque de moyens donnés aux inspecteurs du travail pour effectuer les contrôles. Une «toute petite avancée» . C'est le regard que pose Simon Picou, inspecteur du travail et représentant CGT sur le décret paru le 11 juin 2023 et qui vise à rendre obligatoire d'informer l'inspection du travail en cas d'accident mortel .
ICI