Les
syndicats ont fait estimer les impacts sociaux du rachat par Nokia.
En France, 500 postes risquent d’être supprimés d’ici à deux
ans.
En
plein rachat par leur concurrent Nokia, les 55.000 salariés du
fabricant de logiciels et de réseau télécoms s'interrogent sur
leur avenir. Ils en sauront davantage lors de la finalisation de
l'opération prévue pour le premier trimestre 2016. Encore ulcérés
par les 13,7 millions d'euros de primes de départ de l'ancien patron
Michel Combes, ils voient leurs craintes sur l'emploi se renforcer.