Le film nous transporte dans les luttes populaires et les avancées sociales extraordinaires qu’elles ont permises. Parmi elles, probablement la plus importante : la Sécurité Sociale. Avec la « sécu » un vieux rêve émanant des peuples à vouloir vivre sans l’angoisse du lendemain voyait enfin le jour.
Son principal bâtisseur se nommait Ambroise CROIZAT, ministre communiste à la Libération.
En moins de huit mois, dans un pays ruiné, 138 caisses sont édifiées par un peuple de militants, essentiellement CGT, sur leur temps de congés ou hors de leur temps de travail. Jolfred FREGONARA se souvient :