Cette réforme du droit du travail qui vise à alléger la tâche des entreprises doit être présentée fin mai à l’Assemblée. Mais une disposition a fait bondir de nombreux féministes et certains politiques: la suppression du «rapport de situation comparée». Sous ce sigle barbare (RSC), se cache un baromètre de l’égalité entre hommes et femmes sur tous les plans salaires, formation, évolution de carrière… Or sans cet outil, impossible de mesurer les progrès… ou retard et donc d’imposer des sanctions. «C’est comme si on demandait à un médecin de soigner sans diagnostic», résume Claire Serre-Combe, porte-parole d’Osez le féminisme. Autre grief: il n’y aura plus un temps des négociations dédié à cet objectif d’égalité hommes-femmes, mais des discussions plus globales
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