Coulommiers Le leader de la CGT a tracté avec l'union locale en centre-ville
« Aucun territoire n’est interdit. Notre conception du syndicalisme est d’aller à la rencontre des salariés. » Les yeux écarquillés, cigarette à la main, Philippe Martinez n’a pas caché son étonnement lorsque nous l’avons interrogé sur sa présence, plutôt surprenante à première vue, à Coulommiers mercredi après-midi. Le secrétaire général de la CGT avait fait le déplacement pour soutenir Nicolas Bergeron et l’Union Locale au cours d’un tractage en centre-ville.
Le syndicat souhaitait informer les salariés des très petites entreprises (embauchant moins de dix salariés) que les élections professionnelles auront bientôt lieu (du 30 décembre au 13 janvier).
En 2017, et pour la première fois, tous les salariés des TPE seront représentés dans les commissions paritaires régionales. D’après l’union locale, plus de 800 personnes sont concernées par ces élections sur le territoire (Coulommiers, Rebais, La Ferté-Gaucher, etc).
La venue de Philippe Martinez à Coulommiers, donc, qualifiée d’ « honorifique » par le secrétaire général de l’Union Départementale Patrick Masson, « démontre qu’il n’y a pas de salariés de seconde zone », selon Nicolas Bergeron.
77120 Coulommiers
Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, était présent à Coulommiers ce mercredi 21 décembre pour distribuer des tracts aux commerçants.
22/12/2016 à 17:55 par thomas.baron
Le syndicat souhaitait informer les salariés des très petites entreprises (embauchant moins de dix salariés) que les élections professionnelles auront bientôt lieu (du 30 décembre au 13 janvier).
En 2017, et pour la première fois, tous les salariés des TPE seront représentés dans les commissions paritaires régionales. D’après l’union locale, plus de 800 personnes sont concernées par ces élections sur le territoire (Coulommiers, Rebais, La Ferté-Gaucher, etc).
La venue de Philippe Martinez à Coulommiers, donc, qualifiée d’ « honorifique » par le secrétaire général de l’Union Départementale Patrick Masson, « démontre qu’il n’y a pas de salariés de seconde zone », selon Nicolas Bergeron.
77120 Coulommiers