27 mars 2023

 INFO UL CGT COULOMMIERS :

 MANIFESTATION LE 28 MARS 2023


L'Union Locale CGT de coulommiers, en préparation de construire des actions locale sur plusieurs jours contre la réforme des Retraites à partir du 28 mars 2023, nous avons le regret de vous annoncer que nous n'avons pas trouvé de car pour manifestation parisienne du 28 mars nous vous donnons rendez-vous à 10h30 a un rassemblement sous la Halle aux fromages et un petit défilé. Pour nous rendre sur Paris il faut prendre les transports ou faire du covoiturage, pour ceux qui souhaitent nous pouvons partir ensemble téléphoné au 06 73 34 65 02, à 10h30 a la halle aux fromages .

Samedi 1 avril 2023 distribution de tracts à 10H30 aux rond-point de Leclerc et a la foire aux fromages, et rendez-vous à 18H00 sous la Halle aux fromages pour un défilé à Coulommiers suivi d'un apéro léger fraternel


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Il faut démanteler les BRAV-M”

Accusée par des manifestants de faits de violences et d’intimidations lors des rassemblements à Paris contre la réforme des retraites, la Brav-M, cette unité policière motorisée, inquiète de plus en plus. Nous devons dénoncer les faits de violences policières lorsqu’ils sont commis par certains. Ceux-là, doivent être jugés et non mutés ou récompensés

Pétition pour la dissolution de la BRAV-M

https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-1319


Les syndicats inquiets face à la répression tous azimuts


À l’approche de la 10e journée de mobilisation, prévue ce mardi 28 mars, les organisations syndicales s’alarment devant la hausse des cas de violences policières contre les manifestants.

«Où est la démocratie quand un gouvernement interdit les rassemblements et manifestations, réprime, tabasse, mutile le mouvement social ? » s’inquiètent, dans un communiqué, la fédération SUD rail et l’union syndicale Solidaires. Alors que la dernière journée de mobilisation a été marquée par un regain de participation de la population et un soutien populaire toujours plus fort, elle a également été le théâtre de nombreuses violences.

De nombreux incidents impliquant les forces de sécurité ont été dénoncés par des participants, dont Émilie Chloé Trigo. Secrétaire national de l’Unsa, elle a affirmé sur Twitter que les CRS« ont envoyé des bombes de gaz lacrymogène par dizaines »aux abords du carré de tête, jeudi dernier.« Je me suis retrouvée seule, dans un nuage blanc et opaque, pendant de longues minutes, ajoute-t-elle. Pour la première fois depuis neuf manifestations, j’ai réellement eu très peur et je peux le certifier : le cortège intersyndical a été gazé pour qu’il n’atteigne pas Opéra. »Et la CGT de déplorer« des dizaines de blessés, dont certains gravement, à Paris et en province »,le même jour, dans un communiqué. Des incidents parmi tant d’autres. À tel point que les organisations syndicales s’alarment de l’explosion de violences policières à la veille d’une nouvelle journée de grève et de manifestations. Laurent Escure, président de l’Unsa, a rebondi sur le témoignage d’Émilie Chloé Trigo, s’inquiétant notamment que« le droit de manifester pacifiquement ne soit pas respecté ».

« une stratégie pour faire pourrir le mouvement »

« Nous mettons en garde le gouvernement sur sa stratégie de répression du mouvement social pour tenter de le faire taire ! » s’est insurgé de son côté SUD rail, au lendemain de la journée de mobilisation.« Un de nos camarades, agent de maintenance au matériel depuis plus de vingt-cinq ans à la SNCF, a été touché très gravement ; il a dû être opéré en urgence de l’œil. Un second a été roué de coups et a eu le crâne ouvert », a témoigné la fédération. Pour Catherine Perret (CGT), la méthode de l’exécutif,« c’est une stratégie minoritaire de faire pourrir un mouvement social et de faire peur aux gens en employant la violence, et j’ose parler de violences policières », observe-t-elle auprès de l’AFP.

Face à cette montée des violences, l’alliance écologique et sociale Plus jamais ça (une trentaine d’associations et de syndicats, dont la FSU, la CGT et Solidaires) a publié une tribune, la même matinée, dans le journal le Monde. Intitulée « Nos organisations alertent sur l’arbitraire policier et juridique mis en place comme stratégie de répression des manifestations », elle condamne notamment la tactique orchestrée par les autorités publiques à l’encontre des personnes mobilisées comme à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), en octobre 2022.« Cette répression s’est d’abord illustrée par les poursuites engagées contre les manifestants opposés aux méga-bassines avec une dérive extrêmement grave de l’État visant à criminaliser, intimider et museler les mouvements sociaux »,expliquent les signataires. Et pour le collectif, ce système d’entrave à la liberté de manifestation s’inscrit dans la continuité d’un autre mouvement social, celui des« gilets jaunes ».

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    En manifestation, la CGT reprend des couleurs


    Difficile de la louper. En tête de cortège, c'est bien la CGT qui met l'ambiance sur le Vieux-Port de Marseille, jeudi, lors de la manifestation contre la réforme des retraites. Et que dire de l'hymne « On est la CGT », devenu ultrapopulaire sur les réseaux comme TikTok ? Signe que quelque chose à changer. « On sent que, de nouveau, la CGT a repris des forces », se réjouit Françoise, qui fête ses 31 ans sous la bannière rouge. À Lyon, Victor, 16 ans, a, quant à lui, attrapé un drapeau rouge pour la première fois. « Ce sont ceux qu'on voit le plus quand on arrive en manifestation », justifie-t-il.

    Au moins 12 000 nouvelles adhésions Le rejet de la réforme des retraites fédèrent les contestations. « Les retraites, c'est un sujet qui est assez porteur, car il touche tout le monde », analyse Lionel Arbiol, délégué CGT à la raffinerie Esso de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône). Le public est même conquis par Philippe Martinez, le secrétaire général du syndicat, qui doit pourtant laisser son siège à la fin du mois. « Il se bat en restant toujours très calme, mais très A. B en ay ac he / Sipa ferme, il donne envie de le suivre », décrit Solveig, une étudiante du cortège parisien.

    Plus loin, Stéphanie Lepera, 40 ans, pompier au Sdis 91 et syndiquée à la confédération, fait le même constat : « C'est fini cette image ringarde de “cuiseurs de saucisses”. Depuis l'annonce de la réforme, les inscriptions se font

    en masse. » « On a eu une augmentation de 12 000 à 14 000 des demandes d'adhésion au niveau national », abonde Joao Perreira Afonso, secrétaire général de l'Union départementale de la CGT 69. De quoi inspirer un printemps du syndicalisme ?



    Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

     Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...