29 septembre 2024

Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fermée lundi 30 septembre (après-midi).

Rendez-vous au lundi 7 octobre...ou sur le téléphone de notre UL.

Cet épisode vient rappeler que la CGT, ce sont les gens qui la composent....pour faire vivre notre union locale et la CGT, rejoignez-nous !

29 juin 2023

Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !


 La CGT Action Logement vous convie à une petite pause revendicatrice pour la réouverture des NAO 2023 ! La période est morose, soyons festifs ! Nous vous attendons dès 12h dans le hall de Grand Seine avec de quoi grignoter, pour échanger et réclamer haut et fort notre dû !!

ON SE MOBILISE POUR NOS SALAIRES !!! ON LÂCHE RIEN !!!

Depuis la signature des NAO le 27 janvier par les autres organisations syndicales représentatives, la CGT Action Logement n’admet toujours pas le décalage qui existe entre l’augmentation obtenue et l’inflation record que nous subissons tous !

Lire la suite sur le lien ci-dessous

https://data.over-blog-kiwi.com/1/49/02/15/20230629/ob_c64bd5_invitation-0407-cgt.pdf







 A Somain, une manif pour sauver le fret ferroviaire


 Cette petite ville du Nord possède une gare de triage qui a employé 600 cheminots, pour seulement soixante aujourd’hui. Le plan de « discontinuité de l’activité » du gouvernement et de la SNCF, soi-disant imposé par l’Europe, ne ferait qu’assombrir encore le tableau.
 Quinze mille cheminots chez Fret SNCF il y a quinze ans, cinq mille aujourd’hui.



27 juin 2023

Inflation : les allocations chômage revalorisées de 1,9% au 1er juillet, une hausse "totalement insuffisante" pour la CGT


Un geste insuffisant pour les syndicats. Les allocations chômage vont être revalorisées de 1,9% le 1er juillet, au grand dam des organisations syndicales qui demandaient une revalorisation au moins équivalente à l'inflation. La décision a été prise lors d'un conseil d'administration de l'Unédic "dans une période toujours marquée par la hausse des prix", précise l'organisme chargé de la gestion de l'assurance chômage.


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22 juin 2023

«Une forme de radicalisation du pouvoir» Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT


«Cette dissolution s’avère très problématique d’un point de vue démocratique. On ne doit pas tout régler de manière sécuritaire. Le gouvernement avait déjà utilisé des lois antiterroristes contre les mobilisations sociales et environnementales, afin de dissoudre des organisations ou les criminaliser. Et c’est encore le cas aujourd’hui.

 Cette banalisation est lunaire et scandaleuse. Il y a une forme de floutage généralisé entre ce qui est violent et ce qui ne l’est pas. Or, de ce que je sais, les Soulèvements de la Terre ne prônent absolument pas la violence physique contre les personnes. Donc il ne faut pas tout mélanger. Même si, en tant que dirigeante syndicale, je n’ai pas à juger leur manière d’agir, leur mode d’action est à mes yeux légitime. Et il répond à la volonté d’une partie de la jeunesse d’être de plus en plus radicale, une attitude que je comprends au vu de l’inaction des pouvoirs publics sur la question environnementale.

 Cette dissolution s’inscrit finalement dans une forme de radicalisation du pouvoir que j’ai déjà condamnée lors de la mobilisation contre les retraites. Cette décision n’est pas une bascule, c’est le triste prolongement de la manière dont le gouvernement combat les mobilisations sociales et environnementales depuis plusieurs années.

 Gérald Darmanin confond par ailleurs ses idées politiques avec des décisions juridiques. D’ailleurs, le ministère de l’Intérieur est régulièrement rappelé à l’ordre par la justice.»


21 juin 2023

 Logement social : Bercy veut faire payer davantage les locataires dépassant les plafonds de ressource


Serrer la vis, sans braquer. Bercy souhaitait de longue date réexaminer la situation des locataires du parc social, dont les revenus augmentent au fil des années au point de dépasser les plafonds de ressource, qui leur avaient donné droit à un logement HLM. Le ministère de l’économie a finalement obtenu de la première ministre le mandat de lancer une réforme. En pleine crise du logement, et alors que 5,6 millions de ménages vivent en HLM, le gouvernement compte toutefois y aller prudemment.


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20 juin 2023

Guide "Le maire, le président d’intercommunalité et la lutte contre l’habitat indigne"


L’Association des Maires de France et des présidents d’intercommunalité, l’ANIL et le Pôle national de lutte contre l’habitat indigne ont mis à jour un guide pour aider à mieux repérer et traiter les situations de logement indigne ou non décent. Détecter, évaluer les situations et protéger les occupants. Ce guide est conçu en six étapes successives et exhaustives, et conjugue précisions juridiques et cas pratiques afin que les collectivités locales puissent entrer facilement dans une mise en œuvre leur permettant de faire cesser les risques pesant sur la santé et la sécurité des occupants des logements indignes.


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16 juin 2023

 FRANCE-SYNDICATS/:France/retraites-L'intersyndicale "ne tourne pas la page"


L'intersyndicale n'a pas réussi à faire reculer le gouvernement sur la réforme des retraites en France mais "ne tourne pas la page" et va rester unie pour dégager des revendications communes sur les salaires et d'autres thèmes liés au travail, indique un communiqué publié jeudi à l'issue d'une réunion des huit organisations impliquées.

"Nous continuerons à contester cette réforme des retraites et à nous battre pour la justice sociale", ajoutent les huit syndicats (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, UNSA, Solidaires et FSU), réunis une semaine après le blocage au Parlement d'une proposition de loi visant à abroger la mesure de relèvement à 64 ans de l'âge légal de départ à la retraite.

"L’intersyndicale que nous avons construite depuis juillet 2022 est une force (qui) saura se mobiliser dans les mois qui viennent pour revendiquer le progrès social et pour affronter les politiques de régression sociale au niveau national, y compris dans le cadre d’une manifestation européenne. (Elle) continuera de se réunir, dès la rentrée", peut-on lire dans ce texte commun.

Prenant acte de son échec à faire reculer le gouvernement, l'intersyndicale estime toutefois que "l"exécutif sort considérablement affaibli de ce conflit, méprisant la démocratie sociale et les travailleurs".

"La future négociation sur les retraites complémentaires Agirc Arrco prévue à l’automne, tout comme celle de l’assurance chômage, seront des enjeux très importants dans lesquelles nos organisations pèseront de tout leur poids", assure-t-elle. (rédigé par Jean-Stéphane Brosse)


 Adresse du CCN aux syndiqué·es CGT : Les revendications sociales vont s’imposer au Gouvernement et au patronat !


Nous sommes fier·es des 5 mois de lutte acharnée menée par les syndiqué·es de la CGT. Pour faire face à notre mobilisation d’une durée et d’un niveau record, le Gouvernement a fait usage de tous les coups de force et de toutes les combines institutionnelles à sa disposition ! A cause de cela, la réforme des retraites est adoptée. La CGT va prolonger et amplifier l’unité syndicale de manière à accroître le rapport de forces face au patronat et au Gouvernement.


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15 juin 2023

 Médicaments : Macron relocalise aux frais du contribuable


Santé Le président de la République a annoncé que 50 médicaments essentiels, pour lesquels notre dépendance est avérée, allaient être entièrement relocalisés en France. Une manière de soigner son image de «monsieur Souveraineté industrielle».

Une bonne dose d’autocélébration, quelques formules chocs et des promesses en pagaille. Mardi, en visite à Champagne (Ardèche), sur le site du laboratoire français Aguettant, Emmanuel Macron a fait… du Emmanuel Macron. L’ancien chantre du laisser-faire cherche à convaincre qu’il embrasse désormais la cause de la souveraineté industrielle.« La réindustrialisation, ce n’est pas un concept, a-t-il martelé. Elle est à l’œuvre, parce que nous avons fait des réformes. »

Le chef de l’État a promis de créer une liste de 450 médicaments« essentiels pour traiter nos concitoyens »,pour lesquels il faudra sécuriser l’approvisionnement, afin de ne pas revivre les tensions de ces derniers mois. En effet, il est très difficile dans de nombreuses pharmacies de se procurer du paracétamol ou de l’amoxicilline (antibiotique utilisé contre plusieurs infections). La« sécurisation »promise par Emmanuel Macron devra se faire sous deux formes : relocalisation totale ou diversification de l’approvisionnement.

Un investissement de 160 millions d’euros

Parmi ces 450 médicaments, 50 vont faire l’objet de mesures de relocalisation, dont la moitié à très court terme, jure le chef de l’État.« Dans les semaines à venir, sur la cinquantaine de médicaments essentiels pour lesquels notre dépendance aux importations extra-européennes est avérée, 25 verront leur production relocalisée ou augmentée significativement sur le territoire national »,assure-t-il. Si les modalités pratiques ne sont pas connues, une chose est sûre : l’État va mettre la main à la poche.« Huit nouveaux projets de relocalisation soutenus par l’État, via France 2030, pour un investissement total de 160 millions d’euros »,vont être lancés, selon Emmanuel Macron. Ce dernier a notamment évoqué le« midazolam, essentiel pour nos produits d’anesthésie-réanimation »,l’amoxicilline et six anticancéreux.

80 % des principes actifs viennent d’Asie

Les annonces ont été accueillies avec scepticisme.« Relocaliser des médicaments frappés de pénurie, c’est une bonne chose,admet l’économiste Nathalie Coutinet.Le problème, c’est l’argent public mis sur la table… »C’est un euphémisme. Pendant des années, les groupes pharmaceutiques ont délocalisé à tour de bras, pour des raisons purement financières, ce qui explique en partie les pénuries dont s’offusque Emmanuel Macron : 80 % des principes actifs sont fabriqués en Asie.« Et, aujourd’hui, il faudrait que l’État finance la relocalisation,s’agace l’économiste.Est-ce que GSK, qui est sur la liste des bénéficiaires ciblés par l’Élysée, a vraiment besoin d’argent ? »On en doute, au vu des 17 milliards d’euros de bénéfices engrangés par le groupe britannique en 2022.

« En 2020, par l’intermédiaire de France Relance, l’État a déjà donné 200 millions d’euros à l’industrie pharmaceutique,rappelle Jean-Louis Peyren, coordinateur CGT chez Sanofi.Jusqu’à quand va-t-on continuer de subventionner des entreprises privées qui détruisent de l’emploi ? »Le syndicaliste a calculé que 700 postes devraient être supprimés par Sanofi d’ici à 2025… Pourtant, le laboratoire a été chaleureusement félicité par le président de la République, pour ses investissements réalisés dans l’Hexagone.



Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...