Ensemble pour la retraite à 60 ans
ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
8 janvier 2023
5 janvier 2023
La Fédération CGT des Services publics dépose un préavis de grève pour les journées du 1er au 31 janvier 2023
Objet : Préavis de grève pour les journées du 1er au 31 janvier 2023 couvrant l’ensemble des salarié·es et agent·es des villes, départements, régions, établissements publics, métropoles, offices de l’habitat, services et entreprises de l’eau et de la thanatologie. La CGT défend un droit à une retraite pour tous les salarié·es, dès l’âge de 60 ans, avec les moyens de vivre dignement et donc :
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4 janvier 2023
3 janvier 2023
L’UFC-Que Choisir dévoile la carte de l’intolérable fracture sanitaire Les pouvoirs publics vont-ils enfin agir pour la résorber ?
Alors que le Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023 a mis en évidence l’absence d’une quelconque volonté politique du Gouvernement pour permettre un égal accès aux soins pour tous les usagers, l’UFC-Que Choisir rend aujourd’hui publique la carte interactive soulignant l’état déplorable de l’accès géographique et financier aux soins en France. L’UFC-Que Choisir presse les pouvoirs publics d’enfin réguler l’installation des médecins, et de mettre un terme aux dérives des dépassements d’honoraires.
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2 janvier 2023
1 janvier 2023
Pendant les fêtes de fin d’année, ils sont sur le pont
Témoignages À l’occasion de la Saint-Sylvestre, aides-soignants, éboueurs, pompiers… savent qu’ils ne chômeront pas. Parfois oubliés, ces secteurs d’activité sont pourtant indispensables au bon fonctionnement de la société.
Alors que les fêtes de fin d’année sont synonymes de retrouvailles familiales et de célébrations pour bon nombre de Français, tous ne participent pas entièrement à ces festivités. « Que ça soit la santé, le territorial, le social, la justice… beaucoup de services continuent à fonctionner, rappelle Céline Verzeletti, secrétaire confédérale de la CGT. Ces professions répondent à des besoins vitaux de la population. » Pourtant, ces différents secteurs d’activité ont souvent été les acteurs de mobilisations en France cette année, preuve qu’ils sont maltraités.
En mai dernier, les conducteurs de bus de la RATP se réunissaient devant le ministère de la Transition écologique pour manifester contre l’ouverture de leurs lignes à la concurrence. Dans l’Isère, le Vaucluse ou le Territoire de Belfort, des pompiers se sont mis en grève tout au long de l’année pour dénoncer un manque de personnel. De Paris à Marseille et de Brest à Nancy, des centaines d’éboueurs ont bataillé pour obtenir une augmentation des embauches et des salaires. Les raisons de ces mouvements de lutte sont peut-être diverses, mais elles se rejoignent toutes sur un manque de reconnaissance alors que« ce sont les mêmes agents qui ont été particulièrement sollicités pendant la crise sanitaire »,affirme Céline Verzeletti.
« Emmanuel Macron avait reconnu l’importance des première et deuxième lignes et leurs bas salaires, mais la parole ne s’est jamais traduite en actes. Aujourd’hui, la plupart de ces professionnels ne sont pas mieux rémunérés et n’ont pas constaté d’améliorations dans leurs conditions de travail »,souligne la syndicaliste. Pourtant, derrière ces« premiers de corvée » se cachent des hommes et des femmes exerçant simplement des métiers ô combien essentiels, jour de fête ou non. Et ils les réalisent afin de « porter secours », comme l’explique Thierry Granger, pompier dans l’Isère, et pour que« les gens passent de bonnes fêtes ». L’Humanité a décidé de donner la parole à ces travailleurs indispensables mais trop souvent oubliés.
Radiations record à Pôle emploi
Privés d’emploi 58 000 demandeurs ont été exclus en novembre. Une hausse de 19 % qui interroge à la veille de l’application de la réforme de l’assurance-chômage.
En cette fin d’année, il n’y a pas que la fortune de Bernard Arnault qui bat des records ! Alors que le risque de récession pour 2023 reste une hypothèse crédible, 58 000 demandeurs ont été radiés des listes de Pôle emploi en novembre. Une hausse inédite de 19 % par rapport à octobre correspondant à 9 400 radiés, selon les chiffres communiqués par la Dares. « Des personnes que l’on prive de revenus, allocations chômage ou solidarité », insiste Sylvie Espagnolle, déléguée syndicale centrale CGT Pôle emploi. Ce alors que, selon l’Insee, entre 3,2 et 3,5 millions de personnes ont reçu, en 2021, des aides alimentaires par le biais du réseau associatif. Cette hausse manifeste pour novembre symbolise une tendance de fond : entre 2017 et 2022, la proportion des chômeurs indemnisés par l’Unedic est passée de 41 % à 36 %, selon la Dares. Surtout, sur l’année qui s’écoule, la hausse des radiations à Pôle emploi est « en hausse de 10 % », selon la syndicaliste.
Joint par Mediapart, Pôle emploi assure ne pas avoir« d’explication particulière à l’évolution du nombre de radiations ce mois-ci ». Néanmoins, plusieurs pistes peuvent être avancées impliquant les choix gouvernementaux en matière de retour à l’emploi. D’abord par la hausse des contrôles sur les recherches d’emploi. Dès novembre 2021, Emmanuel Macron avait averti que « les demandeurs d’emploi qui ne démontreront pas une recherche active verront leurs allocations suspendues ». Bilan, les contrôles se sont accrus au nombre de 500 000, contre 420 000 en 2019. « Mécaniquement, il y a une hausse des radiations sanction explique Sylvie Espagnolle. Le phénomène est similaire avec le non-respect des convocations. »Cette seconde explication peut être que, depuis 2018, le non-respect d’une convocation à Pôle emploi est un motif de radiation. Cette« intensification peut tout à fait expliquer la diminution du nombre de chômeurs », affirmait, dès 2021, Pierre Garnodier, secrétaire général du comité national CGT des travailleurs privés d’emploi et précaires.
D’ailleurs, les chiffres du chômage pour novembre soulignent un recul du nombre de chômeurs, en baisse de 2,1 %, chez les demandeurs sans activité professionnelle (catégorie A). Un reflux en trompe-l’œil car, en ajoutant les catégories B et C, la diminution n’est que de 0,4 %, établissant à 5,394 millions le nombre de chômeurs, selon la Dares. Enfin, la création, depuis septembre, dans chacune des agences d’un vivier de demandeurs en capacité d’exercer dans les filières dites en« tension » est une piste pour expliquer la hausse des radiations.« Toute personne ayant une expérience ou une formation dans ces secteurs est convoquée et incitée à aller sur ces offres, relate Sylvie Espagnolle. Qu’importent les conditions de travail ou la durée des contrats. Idem pour les personnes ne sachant pas vers quelle filière rechercher un emploi. »Selon la CGT, 40 % des contrôles sur les recherches d’emploi se concentrent sur les domaines de la santé et de l’action sociale, l’hébergement et la restauration, ainsi que les transports de voyageurs et de marchandises.
29 décembre 2022
SNCF, médecins, retraites… les macronistes vantent le dialogue social tout en le piétinant
Sur tous les plateaux, élus de la majorité et membres de l'exécutif chantent les louanges du « b dialogue social » et de la « concertation », déplorant qu'ils n'aient pas eu lieu pour les grèves des médecins libéraux et des salariés de la SNCF. La parole des syndicats ne semble pourtant pas peser bien lourd dans les négociations de la réforme des retraites et de l'assurance chômage. Pile je gagne, face tu perds. C’est la curieuse méthode de négociation retenue par le gouvernement en cette fin d’année pour gérer les conflits sociaux. Cette dernière présente l'indéniable avantage d'être toujours gagnante sur le front de la communication, au prix d'une légère contradiction sur le fond.
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25 décembre 2022
La retraite expliquée de A à Z
Comment est né le système par répartition ? Quels sont les avantages du système actuel, sa viabilité et les moyens pour l’améliorer afin de répondre aux nouveaux enjeux ?
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Faire vivre nos vœux en 2023
J’ai bien l’impression que la magie de Noël restera au vestiaire encore cette année. Pourtant, on aurait bien besoin d’accrocher de nouvelles étoiles pas seulement dans le sapin ou sur un maillot.
Ni encouragement, ni consolation.
Macron et son gouvernement, avec l’aval de la droite et de l’extrême droite, précipite le pillage de la République sociale au profit du capital et de la finance.
Rêvons un peu, ça ne coûte rien !
Aussi, pour affronter l'année qui arrive, j'ai préféré faire ma liste au Père Noël plutôt qu'au père Cofidis.
Rêver, c’est imaginer le meilleur pour le monde d’après. C’est trouver de la force au milieu de toutes les raisons de désespérer. C’est rallumer la flamme pour dépasser nos colères. C’est forger le courage d'affronter l'adversité.
Partageons nos vœux et faisons-les vivre.
D’autant que nous sommes de plus en plus nombreux à nous battre pour un monde de paix, plus juste, plus solidaire, plus humain, plus fraternel.
Au cœur de ces combats, la CGT et ses militants s’engagent au quotidien à les renforcer et les élargir en partageant ses propositions pour rallumer les étoiles et organiser la mobilisation.
Car c’est en unissant nos vœux et nos forces que nous créerons le meilleur pour tous.
Bonne année de santé, de réussite et de bonheur à chacun·e d’entre vous.
Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !
Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...
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