4 février 2015

LES PAPETERIES ARJOWIGGINS



LES SYNDICATS CGT AVEC LEUR FÉDÉRATION, LES UL ET L’UD PRENNENT TRÈS AU SÉRIEUX LA CAMPAGNE DE STIGMATISATION DES DIRECTIONS ET LES AUTRES MENACES VIOLENTES QUI LES VISENT

TRACT CGT ARJOWIGGINS
 29 JANVIER 2015
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TRACT RACISTE D’EXTRÊME DROITE RÉAJUSTÉ CONTRE LA CGT
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Rapport sur l'état du mal-logement en France


20 ans après, elle ne s’imaginait pas devoir dresser un aussi dur constat de la situation actuelle. Une occasion de s’interroger sur les blocages structurels, sociaux ou idéologiques, qui produisent aujourd’hui une situation toujours aussi pénible pour plusieurs millions de nos concitoyens, dont plus de 3,5 millions sont mal logés ou même en errance...
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3 février 2015

Élection du Bureau confédéral, de l’Administratrice et du Secrétaire général


Lors de sa première séance de travail, le Comité confédéral national (CCN) de la CGT réuni les 3 et 4 février vient d’élire un nouveau Bureau confédéral composé de 10 membres. Pour être élu, le Bureau confédéral devrait requérir deux tiers des voix représentés.


Philippe Martinez élu secrétaire général de la CGT
   


LE DROIT DE GRÉVE EST MENACE AU PLAN MONDIAL




Ne touchez pas au droit de grève

Cela fait maintenant plus de deux ans que les représentants des employeurs au sein de l’Organisation Internationale du Travail prennent prétexte d’attaques contre le droit de grève pour affaiblir les régulations mondiales en matière de travail, et plus généralement l’institution elle-même. Derrière cette offensive contre le droit de grève, l’objectif est beaucoup plus grave : sous couvert d’un conflit d’apparence juridique c’est bien le risque de voir les droits de l’homme devenir une variable d’ajustement dans le monde des affaires qui se profile.
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Pour en savoir plus lire aussi : Les principes de l'OIT Organisation Internationale du Travail, sur le droit de grève
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Loi Macron : Le gouvernement retire l’amendement sur le « secret des affaires » la lutte a payé


Le SNJ-CGT se félicite du recul du gouvernement contraint sous la pression de milliers de citoyen(e)s à abandonner l’amendement liberticide sur le secret des affaires contenu dans le projet de loi Macron.


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Les routiers ne relâchent pas la pression


Après plus de 10 jours de mobilisations et avant la dernière négociation programmée demain, mardi 3 février 2015, sur les salaires et le pouvoir d’achat dans le secteur, l’heure n’est pas au renoncement bien au contraire.


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Fondation Abbé Pierre : la France compte 3,5 millions de mal-logés


Revenant sur 20 ans de politique du logement, le rapport de la Fondation Abbé Pierre fait un constat «douloureux» du mal-logement en France : 10 millions de personnes seraient en difficulté et le pays compterait 3,5 millions de mal-logés.


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2 février 2015

Un sénateur compare les mal-logés à des déchets


« Il fut un temps où Paris nous envoyait ses déchets, ses logements sociaux, ses cimetières, ses usines d’incinération… Et ça recommence : voyez les 2 000 logements sociaux de Paris Habitat, à Boulogne ! Construisez-les donc à Paris ! »
Ces phrases ont été prononcées dans l'enceinte du Sénat, par le sénateur des Hauts de Seine, Hervé Marseille, le 22 janvier, pendant les débats sur la loi du Grand Paris
 
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1 février 2015

Allemagne : 70.000 salariés de l'Industrie en grève


Ça se passe en Europe, les métallos Allemands chauds pour une hausse sensible des salaires, IG Metall veut 5% de hausse des salaires

Le syndicat IG Metall a lancé le jeudi 29 janvier 2015 des débrayages auxquels ont participé quelque 70.000 salariés dans 300 usines allemandes. Le mouvement a notamment touché les constructeurs automobiles Daimler et BMW ou le groupe aéronautique Airbus. Le syndicat, qui doit poursuivre ses arrêts de travail aujourd'hui, fait usage de la fin de la « trêve sociale ». Selon la loi allemande,
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Allemagne : 70.000 salariés de l'Industrie en grève


Ça se passe en Europe, les métallos Allemands chauds pour une hausse sensible des salaires, IG Metall veut 5% de hausse des salaires

Le syndicat IG Metall a lancé le jeudi 29 janvier 2015 des débrayages auxquels ont participé quelque 70.000 salariés dans 300 usines allemandes. Le mouvement a notamment touché les constructeurs automobiles Daimler et BMW ou le groupe aéronautique Airbus. Le syndicat, qui doit poursuivre ses arrêts de travail aujourd'hui, fait usage de la fin de la « trêve sociale ». Selon la loi allemande, les salariés ne peuvent pas faire grève tant que vaut l'accord de branche, ce qui était le cas jusqu'à mercredi soir à minuit.

Les débrayages, qui correspondent à des arrêts de travail de quelques heures, font partie d'un rituel bien huilé dans le cadre de négociations tarifaires qui ont débuté mi-janvier et concernent quelque 3,7 millions de salariés de la métallurgie. Si les représentants d'IG Metall parlent de discussions tendues, il est trop tôt pour parler de blocage dans un pays où le climat social est apaisé. Pour autant, les points de vue sont éloignés.

Formation Professionnelle

IG Metall réclame une augmentation de 5,5 % des salaires applicable sur la totalité de l'année, en arguant du fait que la vigueur de la croissance prévue à 1,5 % par le gouvernement justifie cette revalorisation. Le syndicat veut également négocier un nouveau système de formation continue.
La fédération patronale de la métallurgie Gesamtmetall ne veut pas en entendre parler. Elle a proposé lundi une hausse des salaires de 2,2 % à partir du 1er mars.

« La forte participation aux grèves montre ce que les salariés pensent de l'offre » des employeurs, a commenté hier Jörg Hofmann, vice-président d'IG Metall. « Ce qui nous a été proposé jusqu'ici est irresponsable. » « Nous sommes à la limite de ce que nous pouvons faire », avait prévenu lundi Rainer Dulger, le président de Gesamtmetall, dont les membres incluent aussi bien des grands groupes comme Volkswagen que des PME familiales.

Chacun pourra utiliser le contexte économique à son avantage. Pour IG Metall, la révision à la hausse de la croissance par le gouvernement, qui compte sur les hausses de salaires pour soutenir la demande intérieure, est un argument fort. De leur côté, les employeurs peuvent mettre en avant le recul des prix à la consommation en Allemagne de 0,3 % en janvier sur un an. Cette baisse, due en grande partie à la chute des cours du pétrole, est une première depuis 2009.

Les exigences salariales obtenues par les syndicats sont généralement inférieures à leurs exigences initiales. L'an dernier, IG Metall réclamait au départ 5,5 % de hausse des salaires sur douze mois, mais il a fini par si signer un accord prévoyant deux hausses successives étalées sur vingt mois, de 3,4 % et 2,2 % respectivement.
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Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...