Dans le contexte de crise
sociale, la CGT en s’opposant à
l’ANI et portant des propositions alternatives en termes
d’emploi, de salaire et de protection sociale, se trouve dans le
collimateur patronal.
François Hollande
vantant le mérite des « entrepreneurs » donne des ailes au
patronat.
Ainsi les atteintes aux
libertés syndicales se multiplient.
Cette
triste réalité s’est illustrée jeudi 2 mai devant l’entreprise
TGMF à Château Landon : Maxime MARTIN, Secrétaire Général de
l’UL de Nemours, a été agressé par l’employeur car il
distribuait des tracts pour les élections. Une plainte a été
déposée à la gendarmerie.
Maxime s’en sort avec
des contusions, il a réussi à éloigner son agresseur (équipé
d’une batte de base ball) grâce à une bombe lacrymogène.
DÉFENDONS
LA CGT ET SES MILITANTS
Les atteintes aux
militants s’exercent de différentes manières.
Discrimination salariale à
Offredy SAS ou UDEPA, où des actions devant les tribunaux sont en
cours.
La mise au placard ou la
multiplication des sanctions en vue de « monter des dossiers de
licenciements » comme chez Algeco (métallurgie Sénart), ATSM
(action sociale Melun), Mitrychem ou Messer (chimie Mitry).
Depuis
2002 aucunes mesures d’amnistie sociale concernant les
syndicalistes n’a été mises
en place. Alors que le Sénat a voté une loi d’amnistie sociale,
le gouvernement l’a rejeté.
L’UD CGT 77 appelle les militants et salariés à se mobiliser pour le droit de s’organiser dans l’entreprise et l’amnistie des sanctions envers leurs élus :
LE JEUDI 16 MAI – 12h30
DEVANT
L’ASSEMBLÉE NATIONALE
(Métro : Assemblée nationale)
Rassemblement de luttes
Témoignages de militants sanctionnés
Avec la présence de :
Thierry LEPAON - Secrétaire Général de la CGT
Dans le même temps, l’UD recense les atteintes aux libertés syndicales, ne restez pas isolés, faites-les connaître.
Libertés syndicales Acharnement judiciaire contre les 5 de Roanne !
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http://www.cgt.fr/Acharnement-judiciaire-contre-les.html