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6 janvier 2011
La CGT n'ira pas aux vœux, du Président de la République
La CGT, et son secrétaire général Bernard Thibault, n'ira pas aux vœux du Président de la République...Et c'est une bonne chose compte tenu de l'attitude du gouvernement dans le cadre du dossier "Retraite".
Déclaration de la CGT, aux Vœux du Président de la République
Pourquoi la CGT n’ira pas...
L’année 2010 à été marquée par la mobilisation sociale unitaire pour s’opposer à la réforme des retraites fondées sur des bases injustes et inefficaces.
Face à ce mouvement d’ampleur exceptionnelle de plusieurs mois, soutenu par une très large majorité de la population, qui revendiquait l’ouverture de réelles négociations, ce fut l’intransigeance du coté du Président de la République et le dédain à l’égard des positions syndicales sur un choix de société qui conditionne l’avenir pour des millions de salariés.
C’est dans ce contexte que se présente la cérémonie habituelle des vœux de l’Elysée aux « forces vives » du pays.
Sans nul doute l’encouragement au « dialogue social » et la nécessité de « syndicats forts » seront classiquement présents dans les vœux présidentiels.
La CGT refuse d’apporter son concours à ce simulacre, elle décide par conséquent de décliner l’invitation de la Présidence pour les vœux de 2011.
Le mouvement sur les retraites a mis en évidence la nécessité de revoir les politiques d’emploi, de conditions de travail et du temps de travail, les exonérations de cotisations dont bénéficient les entreprises ...
Plutôt que d’apporter des réponses à ces revendications, plusieurs responsables politiques, largement relayés par les médias, lancent une attaque en règle sur le temps de travail et les salaires en mettant les 35 heures dans leur ligne de mire.
La CGT dénonce avec la plus grande fermeté cette offensive visant une fois encore à culpabiliser les salariés en arguant des coûts excessifs du travail dans notre pays.
La CGT appelle ses organisations et les salariés à résister à toute velléité d’aggravation des conditions de vie et de travail qu’entraînerait la remise en cause des 35 heures dans le public comme dans le privé.
La meilleure réponse est d’être, ensemble, exigeants et mobilisés pour la prise en compte des revendications sociales dans les entreprises et les branches professionnelles.
Montreuil, le 5 janvier 2011
2 janvier 2011
Voici les vœux du chef de l'État, Joyeuse et austère année 2011 !
Une série de hausses des prélèvements et de baisses des aides marquent la volonté du gouvernement de maîtriser les dépenses.
Fin de la prime à la casse, hausse du prix des assurances et autres changements fiscaux vont inaugurer, à partir du 1er janvier, une année 2011 sous le signe de l’austérité. .
Automobile
Prime à la casse : C’est la fin de cette mesure phare qui avait aidé l’industrie automobile à surmonter la crise du secteur. Les acquéreurs d’un nouveau véhicule à partir du 1er janvier ne recevront plus cette prime de 500 euros.
Bonus écologique : Rouler "vert" rapporte moins à partir du 1er janvier. L’aide de 100 euros pour les voitures qui consomment entre 116 et 125 grammes de CO2/km disparaît. Et pour celles qui sont encore moins polluantes, le bonus est raboté (400 euros au lieu de 500 et 800 au lieu de 1 000 euros)
Revenus
SMIC : Pas de coup de pouce pour le revenu minimum en 2011. Pour la cinquième année consécutive le Smic augmentera de 1,6 %, soit la hausse légale, pour atteindre 1 365 euros brut par mois.
RSA : Le revenu de solidarité active suit la courbe de l’inflation prévue en 2011. Il s’établit à partir du 1er janvier à 466,99 euros par mois pour une personne seule sans enfant, soit une hausse de 1,5 %.
Immobilier
APL : L’aide personnalisée au logement n’est plus rétroactive. Jusqu’à présent elle remontait à trois mois avant la demande.
Crédit d’impôt écologique : Les investissements dans des installations utilisant des énergies renouvelables ou visant à augmenter l’efficacité énergétique du logement (double vitrage, panneaux solaires) voient leur crédit d’impôt raboté jusqu’à 50 % pour les panneaux photovoltaïques.
Le nouveau prêt à taux zéro (PTZ+) : Désormais, seuls les primo-accédants peuvent bénéficier du nouveau PTZ+. Bonne nouvelle pour ceux qui gagnent le plus : il n’y a plus de plafond de ressources pour en profiter.
Santé
Médecin : La visite chez un médecin généraliste coûte dorénavant un euro de plus. La consultation est facturée 23 euros à partir du 1er janvier.
Médicaments : ceux remboursés jusqu’à présent à 35 % par la Sécurité sociale ne le sont plus qu’à hauteur de 30 %.
Ressources des ménages
Emploi à domicile : Les ménages qui ont recours à une nounou ou une aide soignante, et qui déclarent leur employé au salaire réel ne bénéficient plus d’un abattement de 15 points sur les cotisations patronales.
Mariage : Suppression des déclarations de revenus multiples l'année du mariage, du pacs ou du divorce, qui permettaient dans certains cas de réduire ses impôts.
Assurance : Les mutuelles complémentaires sont celles qui augmenteront le plus en moyenne. La hausse est comprise entre 5,3 % et 8,5 %. Mais le tarif des assurances automobile et habitation progresse également (de 2,5 % à 8 %)
Rehausser la TVA sur les abonnements "triple-play" : les fameuses offres Internet-télévision-téléphone ne vont plus bénéficier d’une TVA à 5,6 %. Le gouvernement a décidé d’imposer un taux de 19 % sur la moitié des abonnements. Les opérateurs ont d’ores et déjà averti que cette mesure va se traduire par des abonnements plus chers,l’augmentation varie selon l’opérateur, mais elle est comprise entre 1 et 3 euros par mois.
Pour les classes aisées
Limitation des primes de départ : les députés ont réussi à imposer deux amendements encadrant les très controversées "retraites chapeau" et "parachutes dorés". Les dirigeants d'entreprises ne pourront ainsi plus bénéficier d'indemnités supérieures au double du maximum prévu par les accords de branche. Par ailleurs, leurs super-retraites, appelées "retraites chapeau", ne pourront pas, quant à elles, dépasser 30 % de la rémunération qu'ils ont perçue lors de leur dernière année d'exercice.
Plus d’impôts pour les plus riches : l’impôt sur le revenu de la tranche supérieure (les contribuables qui gagnent plus de 69 783 euros/an) va passer de 40 % à 41 %.
( plus 1% )
Pour les classes les moins aisées
Taxer les HLM : les loyers des HLM vont être soumis à une nouvel taxe de 2 % pendant trois ans. Une décision dénoncée par les organismes de gestion, qui estiment que ce prélèvement va sérieusement remettre en cause la construction de nouveaux logements à loyer modéré.
Les aides au logement : jusqu’à présent, lorsque la Caisse d’allocations familiales décide d'accorder à un locataire une aide personnalisée au logement (APL), celui-ci bénéficie d’une rétroactivité de trois mois. Le budget de 2011 y met un terme.
30 décembre 2010
MEILLEURS VŒUX A TOUTES ET TOUS POUR 2011
25 décembre 2010
La casse de la Sécurité Sociale par le Gouvernement et par les laboratoires SERVIER
Retiré du marché en novembre 2009, ce médicament destiné aux diabétiques aurait fait entre 1.000 à 2.000 morts.
Une note confidentielle de l'Unocam révèle que le Mediator, ce médicament utilisé comme coupe-faim qui a fait de 500 à 2.000 morts, a coûté 423 millions d'euros en dix ans à la Sécurité sociale et aux complémentaires santé, annonce Le Parisien/Aujourd'hui en France. L'Unocam réunit les fédérations d'assurances et mutuelles complémentaires santé et ses experts estiment que "l'Assurance maladie a dépensé 324,89 millions d'euros au titre du remboursement de ce médicament", selon le quotidien.
L'addition réglée par les mutuelles et assurances se monterait, elle, à 98,71 millions d'euros, selon la même source. Les experts de l'Unocam s'étonnent de "l'octroi par les autorités d'un taux de remboursement de 65 % en totale inadéquation avec le niveau de service médical rendu (SMR) qualifié d''insuffisant' par l'autorité de santé".
Commercialisé en France par les laboratoires Servier de 1976 à novembre 2009, le Mediator (benfluorex), destiné aux diabétiques en sur-poids et largement détourné comme coupe-faim, a été utilisé par 5 millions de personnes, dont 2,9 millions pendant plus de 3 mois. Il a été retiré du marché en novembre 2009.
MEDIATOR - Prise en charge à 100 % des patients concernés par la Sécu
Le ministre de la Santé Xavier Bertrand appelle une nouvelle fois les patients qui ont pris ce médicament à consulter.
Tous les patients qui ont pris du Mediator bénéficieront d'une "prise en charge intégrale par l'assurance maladie", a annoncé vendredi le ministre de la Santé Xavier Bertrand sur RTL, en les invitant à "consulter".
"Ma priorité, c'est de renforcer notre système de prise en charge et de dire que pour tous ces patients qui ont pris du Mediator, il y aura une prise en charge intégrale par l'assurance maladie et qu'il faut donc consulter", a déclaré le ministre.
"Il y a un certain nombre de médicaments qui sont sous surveillance. (...) Quand il y a des questions sur le bénéfice et le risque d'un médicament, une préoccupation, c'est de prendre les mesures qui s'imposent le plus vite possible", a-t-il ajouté.
Xavier Bertrand a demandé un rapport à l'Igas (Inspection générale des affaires sociales), attendu mi-janvier. En début de semaine, le ministre avait évoqué de "fortes présomptions de défaillances graves dans le fonctionnement de notre système du médicament" à propos du maintien sur le marché du Mediator.
15 décembre 2010
1 mois pour répondre hors-sujet
Rappel : nous avions adressé à notre député M. RIESTER, une lettre ouverte le 26 octobre concernant son positionnement dans la "réforme" des retraites. Nous lui posions des questions précises sur ses initiatives, au niveau local, pour informer, discuter avec les concitoyens et recueillir leurs doléances afin d'élaborer, in fine, la position du député à l'Assemblée Nationale.
Franck RIESTER nous répond le 26 novembre par un long courrier ( voir ci-dessous); pourtant, sur ces 3 pages, nous nous étonnons de ne trouver que 3 lignes qui répondent réellement à nos demandes. Les voici : " Concernant ma circonscription, je regrette que vous n'ayez pu, ou peut-être voulu, participé à la réunion publique d'information que j'avais organisé(e) à Crécy-la-Chapelle avec le sénateur-maire Michel HOUEL, le 11 juin dernier." Dans le reste de la lettre, M. RIESTER fait un magnifique hors-sujet.
Soit ce hors-sujet est involontaire, ce qui est tout à fait inquiétant et nous interroge sur la compétence de notre représentant: comment en effet un homme qui a mis 1 mois à répondre "à côté de la plaque" sur de simples questions d'emploi du temps personnels, comment cet homme a-t-il pu se déterminer au nom de sa circonscription sur le dossier complexe des retraites à partir d'une unique réunion, c'est à dire en 2 ou 3 heures?
Soit ce hors-sujet est volontaire, ce qui ne nous rassure pas davantage : par le procédé rhétorique bien connu de l'écran de fumée, M. RIESTER cache les enjeux réels soulevés par notre courrier. Ses explications sur la concertation menée par le gouvernement, sur la réforme du régime des parlementaires, et pour résumer l'argumentaire UMP comme déroulé à vide: tout cela ne se rapporte que de loin à nos questions précises sur son action personnelle, et pour tout dire évite d'y répondre. Si l'on disperse ces volumineux fumigènes, il ne reste que cet aveu : " Je n'ai organisé qu'une seule réunion sur les retraites. Et pour toutes les autres questions ( qui j'ai consulté, comment je me suis déterminé...), je vous répondrai pas !". Cette absence de véritables réponses est lourde de sens.
Franck RIESTER manipulé par un quarteron de Créçois ? ou comment notre député a élaboré sa position sur la "réforme".
Donc M. RIESTER s'est déterminé par rapport à sa circonscription à la suite d'une unique réunion à Crécy où, nous l'imaginons, notre député a écouté les doléances d'une centaine de citoyens vigilants pour s'en faire ensuite démocratiquement le porte-parole - ce d'autant plus que, n'ayant pas reçu mandat en 2 007 sur la question des retraites, il avait besoin de repasser devant le peuple pour légitimer sa parole publique. Puis, mystérieusement, il arrête les réunions publiques. Ce qui ne laisse pas de surprendre : on nous a suffisamment répété que, même à 2 ou 3 millions de manifestants, ce n'était pas "la rue" qui gouvernait , nous ne voulons pas croire, sur notre circonscription, que notre député se fait dicter ses positions par un groupuscule créçois, nous ne voulons pas croire que dans notre circonscription, c'est la salle des fêtes de Crécy qui décide.
Ou alors supposons que M. RIESTER n'est pas manipulé ( en tout cas, pas par nos machiavéliques créçois!) , et qu'il a organisé sciemment cette fameuse réunion dans un but purement symbolique : s'il ne fait pas de réunion publique, notre député peut apparaître comme un homme politique qui se prononce seul, ou qui suit les ordres de son camp ( surtout qu'il participera à un meeting UMP sur les retraites à Coulommiers en septembre, comme l'indique son blog) sans consulter la base. Avec une réunion publique - autant que d'inaugurations de lavoir à Saints!, il peut croire que cette opération de com' sera l'arbre qui cache le désert de concertation qui se trouve derrière. Le carton d'invitation ( avec demande de confirmation) que nous trouvons sur son blog nous laisse penser que l'auditoire présent à cette réunion "publique" devait surtout se recruter chez des sympathisants du député et du sénateur venus écouter la bonne parole, à la manière de ce que nous propose notre Président lors de ses visites très encadrées "sur le terrain", plutôt que chez des citoyens ordinaires. A cette réunion publique sur invitation, la CGT ne s'est pas rendue: elle n'était, sauf erreur, pas invitée ! "je regrette que vous n'ayez pu, ou peut-être voulu, participé à [cette] réunion publique", écrit Franck RIESTER ; ce "peut-être" nous a beaucoup amusés !
En conclusion, si nous apprécions le souci de M.RIESTER de nous répondre, sa lettre ne peut nous convaincre, parce qu'il ne nous répond pas point pas point, mais au contraire ressort de manière automatique les arguments et les éléments de langage que ceux de son camp ont fait subir aux Français des mois durant, comme si cette répétition pouvait à force de matraquage emporter notre adhésion. Cette lettre montre un décalage complet avec les citoyens, un enfermement sur soi et les siens, et, au fond, un discours sans dialogue. Tel Hermès, M. RIESTER se fait le messager des dieux auprès des hommes, mais pas le porte-parole du citoyen ordinaire vis à vis du pouvoir.
D'ailleurs, pour mieux masquer son absence de concertation, notre député met en avant la volonté de "dialogue social" du gouvernement, comme si les fonctions d'un gouvernement et d'un député pouvaient se confondre. Les négociations au niveau national ne le privaient pas d'un dialogue au niveau local, sauf à croire que le pouvoir législatif n'est que le commis d'office du pouvoir exécutif. Dans l'esprit républicain, le député est au contraire celui qui contrôle l'action du gouvernement. Dans la lettre de M. RIESTER, nous percevons une vision de la démocratie qui n'est pas la nôtre, et qui pour tout dire a des relents aristocratiques.
Enfin, Franck RIESTER vante la longueur des débats parlementaires sur les retraites comme un gage de démocratie ( "les plus longs de la Vème République", se félicite-il): paradoxalement , il indique que lui-même et son camp politique ont pris une part mineure dans ces débats. Le mérite de ce long dialogue démocratique en reviendrait donc à l'opposition qui, et c'est encore plus paradoxal, n'a obtenu aucune véritable avancée au terme de ces 210 heures d'échanges ! Soit notre député se félicite d'un débat ...sans résultat, ce qui ne manque pas d'étonner de la part d'un représentant d'une droite qui se veut pragmatique. Soit il fait mine d'avoir organisé une discussion qu'il n'a fait que subir, en affichant la mansuétude de l'homme de pouvoir qui laisse aux hommes ordinaires la liberté de s'exprimer, et se laisse à lui-même le droit de ne pas les écouter.
Pour nous, la question n'est donc pas tranchée : qui a influencé le positionnement officiel du député RIESTER dans ce débat sur les retraites ? Nous aurions aimé lire au travers de sa réponse : les citoyens.
Pourtant, une fois dissipés ses écrans de fumée, la réponse apparaît clairement: ces citoyens ont été oubliés.
10 décembre 2010
Des sans-abri meurent de froid en France
A la lecture de l'article paru dans notre journal d' aujourd'hui, je vous propose les quelques lignes ci-dessous, de l'UL CGT de Coulommiers
Cette année encore, des sans-abri meurent de froid en France
Ceux qui survivent sans toit, parfois accompagnés d’enfants, sont pour la plupart des travailleurs pauvres ou des privés d’emploi et notre département n’est pas épargné par le phénomène. Les dispositifs d’urgence qui leur sont proposés sont temporaires et ne permettent pas de réinsertion sérieuse. En outre, les conditions de sécurité et de salubrité existantes dans des centres d’hébergement sont pour le moins discutables. Pendant que la France de tout en bas est parquée dans les sous-sols de la République, les grandes entreprises sont inondées de profits sans aucune répercussion sur les salaires, la protection sociale ou les investissements nécessaires aux créations d’emploi, alors que le taux de chômage progresse sans cesse. La spéculation immobilière atteint des sommets, le prix des loyers flambe alors que des appartements sont inoccupés et que dès le 15 mars, les expulsions de logement seront de nouveau autorisées…Cette situation est indigne d’une civilisation comme la notre et contraire aux principes de la constitution française.
Patrick Arnould
Secrétaire de l’union locale CGT de Coulommiers
article dans Le Pays Briard du vendredi.10 décembre 2010
Coulommiers : un SDF retrouvé mort au sous-sol d'un immeuble
Le corps d'un homme de 68 ans a été découvert hier midi dans un sous-sol, rue de la Gare à Coulommiers.
Il cherchait certainement un abri contre le froid, mais serait mort d'hypothermie.
Le corps d'un sans domicile fixe a été découvert hier par l'employé d'une société de nettoyage sous l'escalier conduisant du parking souterrain à la cour intérieure de la résidence située au 6 rue de la Gare à Coulommiers. La porte automatique du parking ne fermait plus depuis plusieurs jours.
D'après les premiers éléments, Denis C. serait mort depuis samedi ou dimanche. Les locataires ne s'étaient aperçus de rien, cet escalier étant peu emprunté.
2 décembre 2010
Pendant ce temps , en Bolivie
Un article trouvé sur Lepost.fr:
"A l’heure où chez nous, en France, le gouvernement s’apprête à repousser l’âge de départ à la retraite à plus de 60 ans et à augmenter le nombre d’annuités pour bénéficier d’une retraite à taux plein, et cela sans toucher sérieusement aux revenus du capital, en Bolivie, le gouvernement socialiste anti-libéral de Evo Morales s’apprête à faire voter une nouvelle Loi sur les retraites, discutée avec la principale centrale ouvrière du pays (la COB), qui abaisse l’âge de départ à la retraite de 65 à 58 ans, avec les mêmes avantages. Cet âge sera même rabaissée à 56 ans pour les ouvriers du secteur minier, avec possibilité de baisser encore cet âge selon certains travailleurs, dans ce cas un an travaillé à l’intérieur de la mine comptera pour deux années."
pour lire la suite:
http://www.lepost.fr/article/2010/07/14/2151492_retraites-finance-et-bolivie.html
Je n'ai pas trouvé le classement de la Bolivie pour ce qui est du PIB par habitant, mais ce n'est pas le 5ème puissance économique mondiale, c'est certain...
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