La réussite du 1er mai sera également décisive quant à la décision rapide et déterminée sur l’organisation indispensable des luttes à venir.
Les 1er mai les plus forts historiquement ont toujours été le signe de périodes sociales charnières, annonciatrices de grandes transformations !
Faisons donc du 1er mai 2010 un évènement exceptionnel et soyons nombreux !
Rappel: Actions pour un 1er mai à Coulommiers
Rassemblement devant la mairie de Coulommiers à 10 heures, suivi d'un départ en bus pour Paris à 12 heures. Réserver votre place avant jeudi 15H dernier délai de manière à ce que nous puissions réserver un bus.
Patrick Arnould
Secrétaire de l'union locale de Coulommiers
ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
27 avril 2010
Pour un grand 1er mai unitaire. Tous mobilisés? Manifestation à Paris à 14h30 République
Appel des organisations syndicales CGT, CFDT, FSU, Solidaires, UNSA
Emploi, conditions de travail, pouvoir d'achat, avenir des retraites sont au cœur des préoccupations des salariés du public et du privé. Le sont aussi les axes revendicatifs portés en commun par l'intersyndicale depuis 16 mois. Ce sont sur ces priorités qu'elle interpelle :
les pouvoirs publics,
le patronat,
les chefs d'entreprise.
La situation économique et sociale est d'ores et déjà à l'origine de nombreuses luttes, souvent unitaires, des salariés du public comme du privé. Ces mobilisations doivent s'inscrire dans la durée.
C'est pourquoi nous décidons de faire connaître nos exigences auprès des salariés toute la journée du 20 avril. C'est pour ces raisons que les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA appellent les salariés à manifester très nombreux le 1er mai pour affirmer leurs attentes d'un monde plus juste où, partout, chacun a droit à un travail décent.
Interpellation commune en vue du Sommet social
Dans les semaines à venir, le Président de la République va réunir un « sommet social ». Dans le même temps, les concertations sur la réforme des retraites ont commencé. Les salariés sont en droit d'en attendre des mesures efficaces et de progrès social améliorant leur situation et donnant espoir en l'avenir.
En 2010, le chômage continue d'augmenter. Dans le secteur privé comme dans le secteur public, beaucoup de salariés connaissent des situations difficiles. Pour une partie d'entre eux, les effets de la crise continuent à se faire sentir durement. Suppressions d'emploi, difficultés à trouver un travail, accroissement de la précarité, conditions de travail dégradées, difficultés salariales, avenir des retraites, sont les préoccupations des salariés.
L'action reste une priorité pour le monde du travail.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA réaffirment, comme elles l'ont déjà fait en 2009, que la sortie de crise passe par des mesures en faveur de l'emploi, des salaires et pensions, une fiscalité plus juste, des politiques publiques en faveur d'une relance économique tournée vers la satisfaction des besoins sociaux. Cela nécessite :
une plus juste répartition des richesses, la réduction des inégalités ;
des investissements publics et privés prenant en compte les impératifs écologiques. Une politique économique et industrielle s'inscrivant dans une perspective européenne et allant de pair avec un renforcement des régulations de la finance et de l'économie.
Donner la priorité au maintien des emplois
Les employeurs doivent privilégier l'emploi stable, investir dans les emplois futurs. Quelle que soit la situation dans l'entreprise, c'est en investissant dans la formation et le travail qualifiant et en réduisant la précarité que la performance sera assurée. Les mesures, comme le chômage partiel, les jours de RTT ou de congés, en cas de baisse d'activité doivent être négociées dans l'objectif de préserver l'emploi et les salaires. Toute mesure à prendre dans l'entreprise en termes d'emploi et d'organisation du travail doit être discutée avec les représentants des salariés ;
les suppressions d'emplois publics ainsi que les réorganisations forcées décidées dans le cadre de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) provoquent une dégradation des conditions de travail et des difficultés grandissantes pour assurer les missions de service public. Il faut stopper cette politique aveugle de suppressions d'emploi et de recours aux emplois précaires. Les personnels doivent être partie prenante des évolutions à apporter en termes de missions et d'organisation des services publics ;
des mesures doivent favoriser l'accès à l'emploi, en particulier pour les jeunes ;
les demandeurs d'emploi en fin de droits d'indemnisation doivent bénéficier d'un accompagnement renforcé pour leur permettre de retrouver un emploi avec un revenu garanti. Les conditions d'accès à l'Allocation spécifique de solidarité et au RSA doivent être élargies.
Améliorer les salaires et le pouvoir d'achat, réduire les inégalités
Dans les branches, les entreprises, la fonction publique, les négociations salariales doivent assurer le maintien du pouvoir d'achat et la réduction des inégalités ;
les allègements de cotisations sociales doivent être ciblés et conditionnés aux politiques d'emplois et de salaires ;
le soutien du pouvoir d'achat doit être assuré notamment par le maintien et l'amélioration des dispositions prises en 2009, en particulier :
la suppression des deux derniers tiers provisionnels pour les contribuables payant la première tranche d'impôt sur le revenu,
l'amélioration des minima sociaux.
Les mesures sociales pour faire face à la crise doivent être financées par la suppression du bouclier fiscal, la suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires et la création d'une tranche d'impôt supplémentaire pour les hauts revenus.
L'avenir des retraites : un choix de société
Emploi, conditions de travail, niveau de salaire, ont des conséquences directes sur les équilibres des régimes de retraite et sur le niveau des pensions.
La concertation qui s'engage sur une « réforme des retraites » suscite une légitime inquiétude chez les salariés. Elle doit garantir la pérennité du système par répartition en assurant son financement et en corrigeant les inégalités. Ni l'agenda, ni les bases de départ de discussion proposées aujourd'hui ne sont susceptibles de répondre aux besoins de consolider les droits et le système de retraites par répartition.
Les seuls éléments de la réforme proposée restent le recul de l'âge légal de départ à la retraite et l'allongement de la durée de cotisation dans un cadre budgétaire constant : ceci n'est pas acceptable.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, n'accepteront pas un passage en force.
Emploi, conditions de travail, pouvoir d'achat, avenir des retraites sont au cœur des préoccupations des salariés du public et du privé. Le sont aussi les axes revendicatifs portés en commun par l'intersyndicale depuis 16 mois. Ce sont sur ces priorités qu'elle interpelle :
les pouvoirs publics,
le patronat,
les chefs d'entreprise.
La situation économique et sociale est d'ores et déjà à l'origine de nombreuses luttes, souvent unitaires, des salariés du public comme du privé. Ces mobilisations doivent s'inscrire dans la durée.
C'est pourquoi nous décidons de faire connaître nos exigences auprès des salariés toute la journée du 20 avril. C'est pour ces raisons que les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA appellent les salariés à manifester très nombreux le 1er mai pour affirmer leurs attentes d'un monde plus juste où, partout, chacun a droit à un travail décent.
Interpellation commune en vue du Sommet social
Dans les semaines à venir, le Président de la République va réunir un « sommet social ». Dans le même temps, les concertations sur la réforme des retraites ont commencé. Les salariés sont en droit d'en attendre des mesures efficaces et de progrès social améliorant leur situation et donnant espoir en l'avenir.
En 2010, le chômage continue d'augmenter. Dans le secteur privé comme dans le secteur public, beaucoup de salariés connaissent des situations difficiles. Pour une partie d'entre eux, les effets de la crise continuent à se faire sentir durement. Suppressions d'emploi, difficultés à trouver un travail, accroissement de la précarité, conditions de travail dégradées, difficultés salariales, avenir des retraites, sont les préoccupations des salariés.
L'action reste une priorité pour le monde du travail.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA réaffirment, comme elles l'ont déjà fait en 2009, que la sortie de crise passe par des mesures en faveur de l'emploi, des salaires et pensions, une fiscalité plus juste, des politiques publiques en faveur d'une relance économique tournée vers la satisfaction des besoins sociaux. Cela nécessite :
une plus juste répartition des richesses, la réduction des inégalités ;
des investissements publics et privés prenant en compte les impératifs écologiques. Une politique économique et industrielle s'inscrivant dans une perspective européenne et allant de pair avec un renforcement des régulations de la finance et de l'économie.
Donner la priorité au maintien des emplois
Les employeurs doivent privilégier l'emploi stable, investir dans les emplois futurs. Quelle que soit la situation dans l'entreprise, c'est en investissant dans la formation et le travail qualifiant et en réduisant la précarité que la performance sera assurée. Les mesures, comme le chômage partiel, les jours de RTT ou de congés, en cas de baisse d'activité doivent être négociées dans l'objectif de préserver l'emploi et les salaires. Toute mesure à prendre dans l'entreprise en termes d'emploi et d'organisation du travail doit être discutée avec les représentants des salariés ;
les suppressions d'emplois publics ainsi que les réorganisations forcées décidées dans le cadre de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) provoquent une dégradation des conditions de travail et des difficultés grandissantes pour assurer les missions de service public. Il faut stopper cette politique aveugle de suppressions d'emploi et de recours aux emplois précaires. Les personnels doivent être partie prenante des évolutions à apporter en termes de missions et d'organisation des services publics ;
des mesures doivent favoriser l'accès à l'emploi, en particulier pour les jeunes ;
les demandeurs d'emploi en fin de droits d'indemnisation doivent bénéficier d'un accompagnement renforcé pour leur permettre de retrouver un emploi avec un revenu garanti. Les conditions d'accès à l'Allocation spécifique de solidarité et au RSA doivent être élargies.
Améliorer les salaires et le pouvoir d'achat, réduire les inégalités
Dans les branches, les entreprises, la fonction publique, les négociations salariales doivent assurer le maintien du pouvoir d'achat et la réduction des inégalités ;
les allègements de cotisations sociales doivent être ciblés et conditionnés aux politiques d'emplois et de salaires ;
le soutien du pouvoir d'achat doit être assuré notamment par le maintien et l'amélioration des dispositions prises en 2009, en particulier :
la suppression des deux derniers tiers provisionnels pour les contribuables payant la première tranche d'impôt sur le revenu,
l'amélioration des minima sociaux.
Les mesures sociales pour faire face à la crise doivent être financées par la suppression du bouclier fiscal, la suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires et la création d'une tranche d'impôt supplémentaire pour les hauts revenus.
L'avenir des retraites : un choix de société
Emploi, conditions de travail, niveau de salaire, ont des conséquences directes sur les équilibres des régimes de retraite et sur le niveau des pensions.
La concertation qui s'engage sur une « réforme des retraites » suscite une légitime inquiétude chez les salariés. Elle doit garantir la pérennité du système par répartition en assurant son financement et en corrigeant les inégalités. Ni l'agenda, ni les bases de départ de discussion proposées aujourd'hui ne sont susceptibles de répondre aux besoins de consolider les droits et le système de retraites par répartition.
Les seuls éléments de la réforme proposée restent le recul de l'âge légal de départ à la retraite et l'allongement de la durée de cotisation dans un cadre budgétaire constant : ceci n'est pas acceptable.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, n'accepteront pas un passage en force.
10 avril 2010
Salaires, emploi, retraite, santé…
…Le 1er mai, j’y vais !
Rassemblement devant la mairie de Coulommiers à 10h00 suivi d’un défilé en ville.
A 12 H 00, départ du Bus pour le défilé à PARIS, Cours Gambetta en face du Crédit Agricole
Réservation par mail: ulcgtcoulommiers77@wanadoo.fr
Réservation par téléphone à : Alain kerhleus: 06 18 85 64 71
.......//...........//........:.....Michel Bader: 06 31 53 89 33
.......//...........//........:.....Patrice Keck: 06 30 70 17 39
La situation sociale l'exige et les circonstances sont favorables. Il faut faire du 1er Mai 2010, à l'image du 1er Mai 2009, une journée nationale unitaire interprofessionnelle. C'est le souhait de la CGT qui a lancé un appel aux autres centrales syndicales. L’action unitaire est la seule voie du succès. La régression sociale prend une telle ampleur que l’urgence d’une riposte s’impose à tous ! Après les formidables mobilisations du 23 mars 2010 (800 000 manifestants partout en France, 60 000 à Paris), avec comme tremplin, le 20 avril, tout doit être fait pour réussir un 1er mai d'ampleur, à la hauteur de la situation et des urgences sociales en matière d'emploi, de salaire - pension et pouvoir d'achat, pour les retraites et pour les services publics. C'est ce que propose la CGT!
Pour la CGT,
Patrick Arnould
Secrétaire de l’union locale de Coulommiers
…Le 1er mai, j’y vais !
Rassemblement devant la mairie de Coulommiers à 10h00 suivi d’un défilé en ville.
A 12 H 00, départ du Bus pour le défilé à PARIS, Cours Gambetta en face du Crédit Agricole
Réservation par mail: ulcgtcoulommiers77@wanadoo.fr
Réservation par téléphone à : Alain kerhleus: 06 18 85 64 71
.......//...........//........:.....Michel Bader: 06 31 53 89 33
.......//...........//........:.....Patrice Keck: 06 30 70 17 39
La situation sociale l'exige et les circonstances sont favorables. Il faut faire du 1er Mai 2010, à l'image du 1er Mai 2009, une journée nationale unitaire interprofessionnelle. C'est le souhait de la CGT qui a lancé un appel aux autres centrales syndicales. L’action unitaire est la seule voie du succès. La régression sociale prend une telle ampleur que l’urgence d’une riposte s’impose à tous ! Après les formidables mobilisations du 23 mars 2010 (800 000 manifestants partout en France, 60 000 à Paris), avec comme tremplin, le 20 avril, tout doit être fait pour réussir un 1er mai d'ampleur, à la hauteur de la situation et des urgences sociales en matière d'emploi, de salaire - pension et pouvoir d'achat, pour les retraites et pour les services publics. C'est ce que propose la CGT!
Pour la CGT,
Patrick Arnould
Secrétaire de l’union locale de Coulommiers
UNION DEPARTEMENTALE CGT 77 ..... BRODARD GRAPHIQUE
Melun, le 7 avril 2010
COMMUNIQUE DE PRESSE
L’entreprise BRODARD GRAPHIQUE qui emploie 217 salariés sur le site de Coulommiers est en cessation de paiement depuis le 23 novembre 2009.
La période d’observation arrivant à son terme le 2 mai, la mise en place du plan dit « de sauvegarde des emplois » prévoit 86 licenciements dont 8 secs.
L’entreprise, filiale du groupe MAURY (classé dans les 300 plus grosses fortunes de France), a pourtant les moyens de pérenniser le site seine et marnais, fleuron de l’imprimerie (presse, dictionnaires, magazines, livres,…), équipé de machines très performantes qui n’attendent que des salariés pour produire.
En effet, une machine neuve (S4000) est arrêtée par manque de personnel, alors qu’il y a des commandes.
De plus, la machine qui assure le plus de travail et de chiffre d’affaires à l’entreprise est actuellement en vente.
L’entreprise a recours à des heures supplémentaires, signe qu’il y a des commandes.
Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage !
Depuis 18 mois, la fusion des groupes Maury et circle-printer est en route et les restructurations actuelles visent à favoriser le rapprochement des deux groupes plutôt que de développer un véritable projet industriel.
C’est une fois de plus les intérêts des actionnaires qui dictent la politique industrielle au détriment des populations.
Les délocalisations larvées vers l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, la Belgique et la Pologne éloignent le lieu de production de celui de la consommation.
Aussi, la production du site de BRODARD GRAPHIQUE est complémentaire des productions des autres sites d’imprimeries d’Ile de France et situés au plus près du marché. Délocaliser hors de l’Ile de France reviendrait à accroître le transport routier, les nuisances et la pollution, ce qui est en contradiction avec les orientations prises lors des états généraux de l’industrie (qui préconise la relocalisation de l’industrie) ainsi que les engagements de l’état lors du grenelle de l’environnement.
Pourtant, la CGT et les salariés ont construit des propositions alternatives consistant à lisser l’organisation du travail par une modification des horaires, améliorant ainsi les conditions de travail.
Non seulement la direction les a balayés, mais, aujourd’hui, elle balaye l’outil démocratique d’expression des salariés qu’est la CGT.
Sur 8 licenciements secs, 5 sont élus ou mandatés CGT (dont le délégué syndical et le secrétaire du CE).
Même si la grève du 6 avril a permis des garanties quant à la modulation des horaires de travail (40 H maxi) et des garanties salariales, en terme d’emploi le compte n’y est pas. C’est pourquoi la CGT BRODARD GRAPHIQUE et l’Union Locale de COULOMMIERS appellent les populations et salariés à défendre l’emploi industriel créateur de richesses (40% du PIB national), créateur d’emplois (1 emploi industriel = 3 emplois induits) et restent mobilisés, tout comme les salariés, pour la défense des emplois.
Contact presse :
Brodard Graphique : Bruno Marion 01.64.42.95.98
UL Coulommiers : Patrick Arnould 06.73.34.65.02
9 avril 2010
Brodard Graphique : communiqué de la FILPAC-CGT
La FILPAC-CGT condamne le plan de licenciements qui supprime 76 emplois de l’entreprise de Brodard Graphique et la manière spécifique dont est utilisé ce plan pour éradiquer la CGT.
Ce PSE n’apporte aucune solution viable à la situation du site de Coulommiers et n’écarte en rien une fermeture totale à court terme.
Les critères de licenciement servant de base au Plan de « Sauvegarde de l’Emploi » ne sont pas respectés, il s’agit ni plus ni moins d’un règlement de compte de Monsieur Maury à l’encontre des élus et délégués CGT suite au conflit, de ce début d’année, relatif l’annonce des mesures de suppression massive d’emplois.
Aujourd’hui Monsieur l’administrateur judiciaire exécute les basses œuvres du groupe Maury et
souhaite éradiquer la FILPAC-CGT de l’entreprise Brodard Graphique.
Licencier aujourd’hui les représentants des salariés, c’est pour Monsieur Maury l’assurance d’affaiblir toute résistance aux funestes destins qu’il envisage pour les salariés de ce groupe.
Nous ne laisserons pas mener de telles représailles à l’encontre du fait syndical et de celles et ceux qui se battent au quotidien pour que l’industrie graphique est un avenir dans notre pays, dans leur région, dans leur localité, pour celles et ceux qui mènent le combat de la défense de l’outil industriel et de l’emploi.
La FILPAC-CGT avec l’ensemble de ses syndicats mènera le combat pour empêcher ces licenciements discriminatoires et mettra toute oeuvre auprès des pouvoirs publics, inspection du travail et ministère du travail, pour faire respecter la liberté des travailleurs de s’organiser au sein d’organisation syndicale pour défendre leurs intérêts collectifs et individuels.
Nous interpellons aussi l’UNIC, qui se targue dans les réunions ministérielles d’un bon dialogue social dans la branche, mais qui laisse l’un de ses adhérents les plus emblématiques bafoués les droits élémentaires des salariés. Nous demandons à cette organisation patronale de faire respecter par ses mandants le droit social dans leurs entreprises.
déclaration nationale de la filpac-cgt sur les licenciements-secs et notamment la tentative de licenciements des délégués cgt de l'imprimerie BRODARD-GRAPHIQUE (GROUPE MAURY).
Le 8 avril 2010
1 avril 2010
Succès pour les retraités de la manifestation du 30 mars à Melun
230 manifestants, venus de tout le département,toutes les sections mutipros et professions étaient bien représentées. EDF GDF, FAPT, SECMA, Cheminots, Melun Agglo, Champagne, Montreau, Nangis-Provins, Mitry Mory, Meaux, Fontenay trésigny, Coulommiers.
Depuis le début de l'année, les AG avec une participation exemplaire pratiquement du 100%. L'appel à l'adhésion, le 24 février où près de 80 retraités manifestaient devant l'Assemblée Nationale, 120 le 4 mars au Medef retraités et actifs, 70 à la conférence de presse ; le 23 mars à Paris avec les actifs normal que le 30 soit un succès.
Toutes ces initiatives ont fait que les retraités ont été vus et entendus. Les milliers de tracts distribués sur les 19 marchés de Seine et Marne.
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