Info de l’UNL
"Classes à 35 élèves, professeurs non remplacés, centaines voire milliers d’élèves sans-affectation faute de place dans les lycées, professeurs mal formés... Voilà, pour l’Union Nationale des Lycéens, la réalité à laquelle sont confrontés deux-millions et demi de lycéens en cette rentrée. À cela s’ajoutent les conséquences de la formation des enseignants.
Le syndicat lycéen conteste et réfute l’optimisme du ministre de l’Éducation et refuse "de le voir continuer sa politique dogmatique de suppressions de postes. Ils lui demandent d’entamer un plan de recrutement pluriannuel dans l’éducation nationale, une nouvelle réforme de la formation des enseignants et des avancées rapides et progressistes en termes de rythmes scolaires."
Refusant de "payer une crise pour laquelle les lycéens ne sont pour rien", l’UNL les appelle à s’organiser au sein des lycées, à tenir des Assemblées Générales et à rejoindre les cortèges de la journée de mobilisation du 11 octobre prochain.
ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
3 octobre 2011
30 septembre 2011
Une étape de plus dans le plan de fermeture de PSA Aulnay
Communiqué de presse de la CGT PSA Aulnay du 26/09/2011
CCE extraordinaire du 22 septembre 2011 : l'emploi attaqué
415 suppressions d’emplois programmées : Une étape de plus dans le plan de fermeture d’Aulnay
Suite aux déclarations de Varin dans la Presse, la direction a réuni le 22 septembre à Paris le Comité Central d’Entreprise (CCE). Denis MARTIN, DRH du groupe, a clairement annoncé qu’il allait continuer à s’en prendre aux salariés par du chômage, par des suppressions d’emplois et des licenciements.
Cette nouvelle étape de l'application du plan de fermeture de l'usine confirme les propos de M. Varin affirmant qu'il n'y aura plus de production après janvier 2014 à Aulnay.
La direction veut s’en prendre à nous un par un. Battons-nous tous ensemble pour défendre notre emploi, qu’on soit intérimaires, CDD ou CDI.
Eric Besson, ministre de l'Industrie recevra jeudi prochain des représentants CGT de Renault, PSA et de la Fonderie du Poitou, précise la CGT.
Toute l'actualité en image Jeudi 06 octobre, le ministre de l'Industrie Eric Besson doit rencontrer les représentants CGT de Renault, PSA Aulnay-sous-Bois et la Fonderie du Poitou, indique le syndicat. Au menu de cette rencontre, le climat social difficile dans le secteur automobile. La Fonderie du Poitou, sous-traitant des constructeurs français, est en grève depuis le début du mois de septembre.
Les salariés de PSA Aulnay accusent eux le coup: 415 suppressions de postes (115 emplois en CDI et 300 contrats d'intérimaires) ont été annoncées en fin de semaine dernière. Pour le syndicat CGT, ces suppressions de postes ne sont qu'un préalable à la fermeture de l'usine dans les prochaines années.
Accord tripartite
Et face à Eric Besson, la CGT veut des actes. Le représentant PSA Aulnay demandera des garanties pour sauver l'usine de Seine-Saint-Denis. La CGT souhaite signer avec le ministre et avec la direction du groupe un engagement écrit sur la sauvegarde du site, "la meilleure garantie contre la fermeture" selon Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT à PSA Aulnay.
Vendredi 30 septembre, la CGT rencontrera le maire PS d'Aulnay Gérard Ségura pour évoquer la situation de l'usine PSA.
CCE extraordinaire du 22 septembre 2011 : l'emploi attaqué
415 suppressions d’emplois programmées : Une étape de plus dans le plan de fermeture d’Aulnay
Suite aux déclarations de Varin dans la Presse, la direction a réuni le 22 septembre à Paris le Comité Central d’Entreprise (CCE). Denis MARTIN, DRH du groupe, a clairement annoncé qu’il allait continuer à s’en prendre aux salariés par du chômage, par des suppressions d’emplois et des licenciements.
Cette nouvelle étape de l'application du plan de fermeture de l'usine confirme les propos de M. Varin affirmant qu'il n'y aura plus de production après janvier 2014 à Aulnay.
La direction veut s’en prendre à nous un par un. Battons-nous tous ensemble pour défendre notre emploi, qu’on soit intérimaires, CDD ou CDI.
Eric Besson, ministre de l'Industrie recevra jeudi prochain des représentants CGT de Renault, PSA et de la Fonderie du Poitou, précise la CGT.
Toute l'actualité en image Jeudi 06 octobre, le ministre de l'Industrie Eric Besson doit rencontrer les représentants CGT de Renault, PSA Aulnay-sous-Bois et la Fonderie du Poitou, indique le syndicat. Au menu de cette rencontre, le climat social difficile dans le secteur automobile. La Fonderie du Poitou, sous-traitant des constructeurs français, est en grève depuis le début du mois de septembre.
Les salariés de PSA Aulnay accusent eux le coup: 415 suppressions de postes (115 emplois en CDI et 300 contrats d'intérimaires) ont été annoncées en fin de semaine dernière. Pour le syndicat CGT, ces suppressions de postes ne sont qu'un préalable à la fermeture de l'usine dans les prochaines années.
Accord tripartite
Et face à Eric Besson, la CGT veut des actes. Le représentant PSA Aulnay demandera des garanties pour sauver l'usine de Seine-Saint-Denis. La CGT souhaite signer avec le ministre et avec la direction du groupe un engagement écrit sur la sauvegarde du site, "la meilleure garantie contre la fermeture" selon Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT à PSA Aulnay.
Vendredi 30 septembre, la CGT rencontrera le maire PS d'Aulnay Gérard Ségura pour évoquer la situation de l'usine PSA.
Les Cheminots, Jacky et Jérôme relaxés
Déclaration de l’UD-CGT de l’Allier et du Comité Régional CGT Auvergne et de la Fédération CGT des Cheminots.
Le rendu du jugement de la Cour d’Appel de Riom prononcé ce 28 septembre est sans équivoque : Jacky Belin et Jérôme Gallois sont totalement innocentés du délit d’outrage qui leur était reproché, et la partie civile (la policière) est déboutée de toutes ses demandes.
Le jugement en première instance bâti par un juge ancien commissaire de police, est totalement rejeté.
L’issue favorable du processus judiciaire démontre, s’il en était besoin, que les 2 militants CGT de Moulins ont bien été victimes d’une machination policière dans le but de criminaliser l’action syndicale, d’effrayer les militants syndicaux et les salariés dans un contexte d’attaques anti-sociales sans précédent de la part du gouvernement. Le mécontentement du Monde du Travail est profond et va continuer à s’exprimer fortement par des mobilisations larges et rassembleuses, à l’image du puissant mouvement des enseignants du 27 septembre.
A Riom, justice a été rendue.
La défense de Jacky et Jérôme a nécessité une implication très forte de la CGT, avec ses organisations, ses militants, tant au niveau de la profession cheminots que dans les 4 départements d’Auvergne, de la Nièvre et aussi de la Loire.
L’unité syndicale a été également importante, car ce sont les libertés syndicales qui étaient en cause, mais aussi les libertés publiques. La présence à Riom le 7 septembre de nombreuses associations et partis politiques était à ce sujet emblématique.
L’affaire Belin-Gallois était politique, comme s’est attaché à le démontrer avec pugnacité et conviction l’avocat de la CGT.
Le syndicalisme, les organisations progressistes ne doivent cependant pas baisser les bras car malheureusement la criminalisation de l’action syndicale en France n’est pas terminée. Ainsi, hier, un jugement inique à été prononcé à Roanne contre 5 militants CGT, qui ont immédiatement fait appel. Les organisations qui se sont mobilisées pour les 2 militants moulinois sont totalement solidaires des 5 de Roanne et forment le voeu qu’en appel justice leur sera rendue.
L’UD-CGT de l’Allier, le Comité Régional CGT Auvergne, la Fédération des Cheminots remercient toutes celles et ceux qui se sont rassemblés dans la lutte solidaire pour Jacky et Jérôme et donnent rendez-vous aux salariés, retraités, et privés d’emploi dans l’action par la grève et les manifestations le 6 octobre pour les retraités et le 11 octobre pour l’ensemble du Monde du Travail.
Le 28 septembre 2011
Le rendu du jugement de la Cour d’Appel de Riom prononcé ce 28 septembre est sans équivoque : Jacky Belin et Jérôme Gallois sont totalement innocentés du délit d’outrage qui leur était reproché, et la partie civile (la policière) est déboutée de toutes ses demandes.
Le jugement en première instance bâti par un juge ancien commissaire de police, est totalement rejeté.
L’issue favorable du processus judiciaire démontre, s’il en était besoin, que les 2 militants CGT de Moulins ont bien été victimes d’une machination policière dans le but de criminaliser l’action syndicale, d’effrayer les militants syndicaux et les salariés dans un contexte d’attaques anti-sociales sans précédent de la part du gouvernement. Le mécontentement du Monde du Travail est profond et va continuer à s’exprimer fortement par des mobilisations larges et rassembleuses, à l’image du puissant mouvement des enseignants du 27 septembre.
A Riom, justice a été rendue.
La défense de Jacky et Jérôme a nécessité une implication très forte de la CGT, avec ses organisations, ses militants, tant au niveau de la profession cheminots que dans les 4 départements d’Auvergne, de la Nièvre et aussi de la Loire.
L’unité syndicale a été également importante, car ce sont les libertés syndicales qui étaient en cause, mais aussi les libertés publiques. La présence à Riom le 7 septembre de nombreuses associations et partis politiques était à ce sujet emblématique.
L’affaire Belin-Gallois était politique, comme s’est attaché à le démontrer avec pugnacité et conviction l’avocat de la CGT.
Le syndicalisme, les organisations progressistes ne doivent cependant pas baisser les bras car malheureusement la criminalisation de l’action syndicale en France n’est pas terminée. Ainsi, hier, un jugement inique à été prononcé à Roanne contre 5 militants CGT, qui ont immédiatement fait appel. Les organisations qui se sont mobilisées pour les 2 militants moulinois sont totalement solidaires des 5 de Roanne et forment le voeu qu’en appel justice leur sera rendue.
L’UD-CGT de l’Allier, le Comité Régional CGT Auvergne, la Fédération des Cheminots remercient toutes celles et ceux qui se sont rassemblés dans la lutte solidaire pour Jacky et Jérôme et donnent rendez-vous aux salariés, retraités, et privés d’emploi dans l’action par la grève et les manifestations le 6 octobre pour les retraités et le 11 octobre pour l’ensemble du Monde du Travail.
Le 28 septembre 2011
27 septembre 2011
LyondellBasell annonce un projet de fermeture de sa raffinerie de Berre
INFO : AFP
MARSEILLE — La compagnie pétrochimique américaine LyondellBasell, qui n'a pas trouvé de repreneur pour sa raffinerie de Berre (Bouches-du-Rhône), envisage désormais la "fermeture" du site, a-t-elle annoncé mardi dans un communiqué.
"Malgré les efforts des salariés et de la direction, la raffinerie continue de subir de lourdes pertes et ne parvient pas à devenir rentable", a expliqué Jean Gadbois, directeur général du site de Berre, cité dans le communiqué.
"Sans réelle perspective de rachat, nous avons donc l'intention d'engager une procédure de consultation sur un projet de fermeture de la raffinerie", a-t-il ajouté. Selon la direction, "370 emplois seraient concernés".
L'intersyndicale (CGT, CFDT, CFE-CGC, FO, CFTC), qui tient une assemblée générale à 12H00, a menacé d'"une grève de grande ampleur".
Aucune offre de reprise n'ayant été faite à LyondellBasell, "la Compagnie Pétrochimique de Berre S.A.S. (CPB), qui exploite la raffinerie, va mettre en oeuvre, conformément à la réglementation française, une procédure d'information et de consultation des représentants du personnel sur un projet de fermeture de la raffinerie", précise le communiqué.
Cette procédure devrait débuter en octobre.
D'une capacité de 105.000 barils de pétrole par jour, la raffinerie avait été mise en vente en mai, les résultats s'étant "révélés inférieurs aux projections économiques faites à l'époque de l'acquisition" au géant anglo-néerlandais Shell en 2008, avait alors indiqué LyondellBasell, qui souhaite se concentrer sur les activités pétrochimiques.
La raffinerie est adossée à un complexe comptant environ 1.250 salariés.
Cette annonce fait suite à l'arrêt l'an dernier par Total de sa raffinerie des Flandres, près de Dunkerque, et la fermeture en juin par le groupe suisse Petroplus de son site de Reichstett (Bas-Rhin).
Les groupes pétroliers cherchent de plus en plus à réduire leur présence sur le Vieux Continent, où la demande de pétrole est en baisse et la rentabilité faible.
La France métropolitaine, qui comptait 23 raffineries à la fin des années 70, n'en recense plus que 11 encore en activité aujourd'hui.
MARSEILLE — La compagnie pétrochimique américaine LyondellBasell, qui n'a pas trouvé de repreneur pour sa raffinerie de Berre (Bouches-du-Rhône), envisage désormais la "fermeture" du site, a-t-elle annoncé mardi dans un communiqué.
"Malgré les efforts des salariés et de la direction, la raffinerie continue de subir de lourdes pertes et ne parvient pas à devenir rentable", a expliqué Jean Gadbois, directeur général du site de Berre, cité dans le communiqué.
"Sans réelle perspective de rachat, nous avons donc l'intention d'engager une procédure de consultation sur un projet de fermeture de la raffinerie", a-t-il ajouté. Selon la direction, "370 emplois seraient concernés".
L'intersyndicale (CGT, CFDT, CFE-CGC, FO, CFTC), qui tient une assemblée générale à 12H00, a menacé d'"une grève de grande ampleur".
Aucune offre de reprise n'ayant été faite à LyondellBasell, "la Compagnie Pétrochimique de Berre S.A.S. (CPB), qui exploite la raffinerie, va mettre en oeuvre, conformément à la réglementation française, une procédure d'information et de consultation des représentants du personnel sur un projet de fermeture de la raffinerie", précise le communiqué.
Cette procédure devrait débuter en octobre.
D'une capacité de 105.000 barils de pétrole par jour, la raffinerie avait été mise en vente en mai, les résultats s'étant "révélés inférieurs aux projections économiques faites à l'époque de l'acquisition" au géant anglo-néerlandais Shell en 2008, avait alors indiqué LyondellBasell, qui souhaite se concentrer sur les activités pétrochimiques.
La raffinerie est adossée à un complexe comptant environ 1.250 salariés.
Cette annonce fait suite à l'arrêt l'an dernier par Total de sa raffinerie des Flandres, près de Dunkerque, et la fermeture en juin par le groupe suisse Petroplus de son site de Reichstett (Bas-Rhin).
Les groupes pétroliers cherchent de plus en plus à réduire leur présence sur le Vieux Continent, où la demande de pétrole est en baisse et la rentabilité faible.
La France métropolitaine, qui comptait 23 raffineries à la fin des années 70, n'en recense plus que 11 encore en activité aujourd'hui.
Grève des enseignants: 28,9% en primaire, 22,3% dans le secondaire, selon le ministère
INFO : AFP
PARIS — Près de 29% (28,89%) des enseignants du primaire et 22,3% des professeurs du secondaire étaient en grève mardi contre les 16.000 suppressions de postes de la rentrée et les 14.000 à venir en 2012, selon une estimation du ministère de l'Education nationale diffusée dans la matinée.
Signe d'un profond malaise dans l'Education nationale, un front uni des syndicats du public et, fait exceptionnel, du privé, appelle à la grève pour dénoncer la "dégradation" de l'école, l'un des enjeux de la présidentielle de 2012.
Dans le second degré, les grévistes sont, selon le ministère, 25,57% dans les collèges, 23,29% dans les lycées professionnels et 17,80% dans les lycées généraux et technologiques.
Dans le primaire, l'estimation du ministère est supérieure à celle diffusée vendredi après-midi (20,5%): les enseignants des écoles maternelles et élémentaires devant se déclarer grévistes au moins 48 heures à l'avance, ils avaient donc jusqu'à samedi soir pour le faire.
Côté syndicats, le SNUipp-FSU prévoit 53,75% de grévistes dans le primaire, tandis que le Snes-FSU, principal syndicat des collèges et lycées, annoncera son estimation pour le second degré plus tard dans la matinée.
Les organisations syndicales veulent peser sur le projet de budget 2012 qui passe mercredi en conseil des ministres et prévoit 14.000 suppressions de postes dans l'Education nationale (80.000 au total entre 2007 et 2012), alors que les effectifs des élèves augmentent.
PARIS — Près de 29% (28,89%) des enseignants du primaire et 22,3% des professeurs du secondaire étaient en grève mardi contre les 16.000 suppressions de postes de la rentrée et les 14.000 à venir en 2012, selon une estimation du ministère de l'Education nationale diffusée dans la matinée.
Signe d'un profond malaise dans l'Education nationale, un front uni des syndicats du public et, fait exceptionnel, du privé, appelle à la grève pour dénoncer la "dégradation" de l'école, l'un des enjeux de la présidentielle de 2012.
Dans le second degré, les grévistes sont, selon le ministère, 25,57% dans les collèges, 23,29% dans les lycées professionnels et 17,80% dans les lycées généraux et technologiques.
Dans le primaire, l'estimation du ministère est supérieure à celle diffusée vendredi après-midi (20,5%): les enseignants des écoles maternelles et élémentaires devant se déclarer grévistes au moins 48 heures à l'avance, ils avaient donc jusqu'à samedi soir pour le faire.
Côté syndicats, le SNUipp-FSU prévoit 53,75% de grévistes dans le primaire, tandis que le Snes-FSU, principal syndicat des collèges et lycées, annoncera son estimation pour le second degré plus tard dans la matinée.
Les organisations syndicales veulent peser sur le projet de budget 2012 qui passe mercredi en conseil des ministres et prévoit 14.000 suppressions de postes dans l'Education nationale (80.000 au total entre 2007 et 2012), alors que les effectifs des élèves augmentent.
Nouvelle victoire contre le travail du dimanche. Magasin ED de Créteil
Communiqué de la fédération CGT du Commerce et des Services
Le tribunal des prud’hommes de Créteil à condamné l’entreprise ED qui avait licencié injustement en 2009 quatre salariés ayant refusé de travailler les dimanches matins.
C’est une nouvelle victoire contre le travail du dimanche ainsi que pour la reconnaissance d’un véritable volontariat. Le droit de préserver sa vie familiale est ainsi reconnue aux salariés de ED à Créteil injustement licenciés pour motif « d’insubordination » alors qu’ils refusaient les modifications de leur contrat de travail. Ed devra verser à chacun d’eux 40 000 euros de dommages et intérêts.
Après Auchan Perpignan, Cora à Ales et la lutte des salariés ED à Albertville qui en sera à son 100ème dimanche de grève, la CGT réaffirme son opposition au travail du dimanche imposé.
La Loi Maillé et les dérives qu’elle entraine n’a fait que rajouter des dérogations aux dérogations déjà existantes et à ouvert la voie aux commerces de la grande distribution pour enfreindre la Loi.
Deux ans après le vote de la Loi maillé aucun véritable bilan n’a été tiré des conséquences de son application. La fédération CGT commerce et services demande l’ouverture d’un débat national sur le travail du dimanche et l’ouverture de négociations salariales dans les branches.
La CGT commerce et services appelle les salariés à se mobiliser le 11 octobre journée nationale d’action interprofessionnelle.
Le tribunal des prud’hommes de Créteil à condamné l’entreprise ED qui avait licencié injustement en 2009 quatre salariés ayant refusé de travailler les dimanches matins.
C’est une nouvelle victoire contre le travail du dimanche ainsi que pour la reconnaissance d’un véritable volontariat. Le droit de préserver sa vie familiale est ainsi reconnue aux salariés de ED à Créteil injustement licenciés pour motif « d’insubordination » alors qu’ils refusaient les modifications de leur contrat de travail. Ed devra verser à chacun d’eux 40 000 euros de dommages et intérêts.
Après Auchan Perpignan, Cora à Ales et la lutte des salariés ED à Albertville qui en sera à son 100ème dimanche de grève, la CGT réaffirme son opposition au travail du dimanche imposé.
La Loi Maillé et les dérives qu’elle entraine n’a fait que rajouter des dérogations aux dérogations déjà existantes et à ouvert la voie aux commerces de la grande distribution pour enfreindre la Loi.
Deux ans après le vote de la Loi maillé aucun véritable bilan n’a été tiré des conséquences de son application. La fédération CGT commerce et services demande l’ouverture d’un débat national sur le travail du dimanche et l’ouverture de négociations salariales dans les branches.
La CGT commerce et services appelle les salariés à se mobiliser le 11 octobre journée nationale d’action interprofessionnelle.
23 septembre 2011
aujourd'hui l'Union Locale des Syndicats CGT de Coulommiers et sa Région inaugure leurs nouveaux locaux
21 septembre 2011
Alarmant la dernière de Roselyne Bachelot, les Laboratoires en danger
En janvier dernier, Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé, faisait paraître une ordonnance selon laquelle les prélèvements sanguins ne seraient plus effectués que par des biologistes médicaux ou sous leur responsabilité.
Les infirmières n'ont plus le droit de faire des prises de sang
Autrement dit, l'infirmier n'ayant pas reçu l'accréditation du laboratoire dont il dépend, ne sera pas autorisé à réaliser de prélèvements sanguins. Tout infirmier devra donc...tenez vous bien : se former à la prise de sang! Des années qu'on enfile des aiguilles dans des veines et tout à coup, il faut qu'on soit FORME à cela!
Et pour ce qui est du domicile, les prélèvements seront désormais interdits,les patients devront se déplacer au laboratoire le plus proche de chez lui...à condition qu'il n'ait pas fermé, les patients devront donc se rendre au laboratoire par leurs propres moyens, quel que soit leur état, ou bien se faire hospitaliser
Parce qu'en effet, les petits labos ne sont pas sûrs de pouvoir résister aux nouvelles recommandations visant à se suréquiper de matériels ultra modernes et très coûteux. Conséquence immédiate : fermeture des labos de proximité, licenciement et obligation de regroupement avec de grands plateaux techniques!
:
Quant aux regroupements de labos c'est un pis aller, pour faire face aux structures financières qui attendent ( comme pour les cliniques) de racheter et rentabiliser au maximum au dépens de la relation avec les patients. Des labos traitant plus de 1000 dossiers jours ne peuvent être à l'écoute de la personne. Et effectivement à terme il n'y aura plus que 1 ou 2 labos par département y compris pour les labos des petits hôpitaux. Ceci est le système américains, allemand, et autres pays européens.
Ainsi, la Générale de Santé, ainsi que d'autres grands groupes financiers sont donc certains de racheter tous les labos de France et de Navarre...Il deviendra très vite impossible à un médecin biologiste de posséder son propre labo...d'autant qu'il ne sera plus nécessaire d'être biologiste pour être directeur de laboratoire!
Bref, les hôpitaux de taille moyenne qui possèdent leur propre labo vont le fermer (c'est déjà fait à Paoli-Calmette, par exemple, Cavaillon et Orange vont suivre) et il faudra donc se déplacer vers un grand plateau technique pour faire les examens qui ne sont pas hyper-courants Comme ces grands plateaux techniques seront les seuls à accueillir une grande partie des examens à réaliser, nous n'aurons les résultats qu'au bout de plusieurs jours (et mieux vaut ne pas en avoir besoin un vendredi après-midi !)
Voilà donc l'avenir de la santé vendue aux grands groupes financiers
Les conséquences sont catastrophiques... Au plus tôt en 2013 et au plus tard en 2016, les laboratoires d'analyses médicales de proximité, VOTRE laboratoire et tous les autres auront probablement DISPARU au profit d'usines à analyses (une par département pour les départements qui le "méritent" ; pour les départements les plus ruraux il faudra faire un peu plus de route...).
Pourquoi ? Et bien en vertu d'une ordonnance parue en 2010 (Voir JO du 15.01.2010, page 819) qui livre le "marché" de l'analyse médicale aux FINANCIERS du CAC 40...
> Parmi ces groupes financiers qui ont déjà largement entamé les rachats massifs de labo, figurent des assurances de santé privées, peut-être la votre, qui auront ainsi accès à vos données médicales et pourront "personnaliser" vos factures...
Nous avions le meilleur système de santé au monde, mais c'était avant que le gouvernement SARKOZY n'arrive au pouvoir
Il y a une solution pour s'opposer à ce scandale : SIGNER massivement la pétition
Cliquez sur lien ci-dessous
http://www.touchepasamonlabo.com/php/index.php
Les infirmières n'ont plus le droit de faire des prises de sang
Autrement dit, l'infirmier n'ayant pas reçu l'accréditation du laboratoire dont il dépend, ne sera pas autorisé à réaliser de prélèvements sanguins. Tout infirmier devra donc...tenez vous bien : se former à la prise de sang! Des années qu'on enfile des aiguilles dans des veines et tout à coup, il faut qu'on soit FORME à cela!
Et pour ce qui est du domicile, les prélèvements seront désormais interdits,les patients devront se déplacer au laboratoire le plus proche de chez lui...à condition qu'il n'ait pas fermé, les patients devront donc se rendre au laboratoire par leurs propres moyens, quel que soit leur état, ou bien se faire hospitaliser
Parce qu'en effet, les petits labos ne sont pas sûrs de pouvoir résister aux nouvelles recommandations visant à se suréquiper de matériels ultra modernes et très coûteux. Conséquence immédiate : fermeture des labos de proximité, licenciement et obligation de regroupement avec de grands plateaux techniques!
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Quant aux regroupements de labos c'est un pis aller, pour faire face aux structures financières qui attendent ( comme pour les cliniques) de racheter et rentabiliser au maximum au dépens de la relation avec les patients. Des labos traitant plus de 1000 dossiers jours ne peuvent être à l'écoute de la personne. Et effectivement à terme il n'y aura plus que 1 ou 2 labos par département y compris pour les labos des petits hôpitaux. Ceci est le système américains, allemand, et autres pays européens.
Ainsi, la Générale de Santé, ainsi que d'autres grands groupes financiers sont donc certains de racheter tous les labos de France et de Navarre...Il deviendra très vite impossible à un médecin biologiste de posséder son propre labo...d'autant qu'il ne sera plus nécessaire d'être biologiste pour être directeur de laboratoire!
Bref, les hôpitaux de taille moyenne qui possèdent leur propre labo vont le fermer (c'est déjà fait à Paoli-Calmette, par exemple, Cavaillon et Orange vont suivre) et il faudra donc se déplacer vers un grand plateau technique pour faire les examens qui ne sont pas hyper-courants Comme ces grands plateaux techniques seront les seuls à accueillir une grande partie des examens à réaliser, nous n'aurons les résultats qu'au bout de plusieurs jours (et mieux vaut ne pas en avoir besoin un vendredi après-midi !)
Voilà donc l'avenir de la santé vendue aux grands groupes financiers
Les conséquences sont catastrophiques... Au plus tôt en 2013 et au plus tard en 2016, les laboratoires d'analyses médicales de proximité, VOTRE laboratoire et tous les autres auront probablement DISPARU au profit d'usines à analyses (une par département pour les départements qui le "méritent" ; pour les départements les plus ruraux il faudra faire un peu plus de route...).
Pourquoi ? Et bien en vertu d'une ordonnance parue en 2010 (Voir JO du 15.01.2010, page 819) qui livre le "marché" de l'analyse médicale aux FINANCIERS du CAC 40...
> Parmi ces groupes financiers qui ont déjà largement entamé les rachats massifs de labo, figurent des assurances de santé privées, peut-être la votre, qui auront ainsi accès à vos données médicales et pourront "personnaliser" vos factures...
Nous avions le meilleur système de santé au monde, mais c'était avant que le gouvernement SARKOZY n'arrive au pouvoir
Il y a une solution pour s'opposer à ce scandale : SIGNER massivement la pétition
Cliquez sur lien ci-dessous
http://www.touchepasamonlabo.com/php/index.php
19 septembre 2011
Journée d’action du 11 octobre :Une mobilisation pour d’autres choix est une nécessité
Info CGT
CGT, CFDT, FSU, Solidaires et Unsa appellent à une journée nationale d’action interprofessionnelle le 11 octobre 2011, pour une autre répartition des richesses créées (lire le communiqué).
Il faut en finir avec la dictature des marchés financiers et les choix politiques d’austérité qui en découlent donnant encore et toujours plus de gages aux marchés financiers et aux agences de notations.
En Europe, plongée dans la pire des situations avec 23 millions de chômeurs, particulièrement les jeunes, l’unique réponse des dirigeants politiques est l’austérité : pression sur les salaires, réduction des services publics, de la protection sociale, des pensions, durcissement des conditions de travail et de vie.
Face aux plans d’austérité, la règle d’or pour les salariés, c’est la mobilisation :
Pologne : euro manifestation le 17 septembre ;
Italie : appel à une grève générale le 6 septembre par la
CGIL contre la casse du Code du travail ;
Espagne : journée de mobilisation à l’appel des CCOO ;
Portugal : journée de mobilisation le 1er octobre.
D’autres mobilisations sont à l’ordre du jour en Roumanie, Hongrie, Slovaquie, Grèce, Belgique et Grande-Bretagne.
En France, le plan Fillon pour réduire le déficit de la France est injuste, inéquitable et inacceptable et pénaliserait une fois de plus les salariés, contrairement aux annonces médiatiques du gouvernement sur la contribution des plus fortunés.
Alors que, d’après les Comptes de la Nation, le pouvoir d’achat des ménages baisse entre 2007 et 2010, les dividendes versés aux actionnaires explosent et les cadeaux faits aux plus rich
es et aux entreprises continuent.
La CGT pose la nécessité de la mobilisation sous les modalités à décider ensemble (rassemblements, manifestations, grèves) pour des mesures immédiates et s’inscrivant dans un processus d’action porteur d’alternatives aux choix actuels.
Voir aussi : "Les 10 exigences de la CGT pour sortir de la crise"
Cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.cgt.fr/Les-10-exigences-de-la-CGT.html
CGT, CFDT, FSU, Solidaires et Unsa appellent à une journée nationale d’action interprofessionnelle le 11 octobre 2011, pour une autre répartition des richesses créées (lire le communiqué).
Il faut en finir avec la dictature des marchés financiers et les choix politiques d’austérité qui en découlent donnant encore et toujours plus de gages aux marchés financiers et aux agences de notations.
En Europe, plongée dans la pire des situations avec 23 millions de chômeurs, particulièrement les jeunes, l’unique réponse des dirigeants politiques est l’austérité : pression sur les salaires, réduction des services publics, de la protection sociale, des pensions, durcissement des conditions de travail et de vie.
Face aux plans d’austérité, la règle d’or pour les salariés, c’est la mobilisation :
Pologne : euro manifestation le 17 septembre ;
Italie : appel à une grève générale le 6 septembre par la
CGIL contre la casse du Code du travail ;
Espagne : journée de mobilisation à l’appel des CCOO ;
Portugal : journée de mobilisation le 1er octobre.
D’autres mobilisations sont à l’ordre du jour en Roumanie, Hongrie, Slovaquie, Grèce, Belgique et Grande-Bretagne.
En France, le plan Fillon pour réduire le déficit de la France est injuste, inéquitable et inacceptable et pénaliserait une fois de plus les salariés, contrairement aux annonces médiatiques du gouvernement sur la contribution des plus fortunés.
Alors que, d’après les Comptes de la Nation, le pouvoir d’achat des ménages baisse entre 2007 et 2010, les dividendes versés aux actionnaires explosent et les cadeaux faits aux plus rich
es et aux entreprises continuent.
La CGT pose la nécessité de la mobilisation sous les modalités à décider ensemble (rassemblements, manifestations, grèves) pour des mesures immédiates et s’inscrivant dans un processus d’action porteur d’alternatives aux choix actuels.
Voir aussi : "Les 10 exigences de la CGT pour sortir de la crise"
Cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.cgt.fr/Les-10-exigences-de-la-CGT.html
Justice : Exigeons le retrait de la taxe de 35 euros
Info CGT
Sous le prétexte de financer la réforme de la garde à vue, le gouvernement a décidé d’introduire des frais de justice en créant un droit de timbre de 35 €. Cette mesure impacte la plupart des procédures judiciaires et plus particulièrement celles du travail : Prud’hommes, TASS et TCI.
Cette mesure, adoptée avec la Loi des Finances le 29 juillet, devrait entrer en vigueur dès le 1er octobre 2011. Promulguée dans la précipitation, elle est entachée de vices de procédures : non consultation du Conseil Supérieur de la Prud’homie, aucune procédure de contrôle de l’utilisation des fonds collectés par l’État...
La CGT considère cette mesure injuste et contraire à l’exigence de justice.
Elle est contraire à l’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, au principe d’égal d’accès à la Justice.
Télécharger le tract et la pétition en PDF La CGT a décidé de s’opposer à l’instauration de cette taxe et lance une pétition pour exiger l’abrogation de l’article 54 de la loi de Finance du 29 juillet 2011 et du décret d’application portant sur ce nouvel impôt.
Cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.cgt.fr/IMG/pdf/13-DL-Tract-Petition.pdf
Sous le prétexte de financer la réforme de la garde à vue, le gouvernement a décidé d’introduire des frais de justice en créant un droit de timbre de 35 €. Cette mesure impacte la plupart des procédures judiciaires et plus particulièrement celles du travail : Prud’hommes, TASS et TCI.
Cette mesure, adoptée avec la Loi des Finances le 29 juillet, devrait entrer en vigueur dès le 1er octobre 2011. Promulguée dans la précipitation, elle est entachée de vices de procédures : non consultation du Conseil Supérieur de la Prud’homie, aucune procédure de contrôle de l’utilisation des fonds collectés par l’État...
La CGT considère cette mesure injuste et contraire à l’exigence de justice.
Elle est contraire à l’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, au principe d’égal d’accès à la Justice.
Télécharger le tract et la pétition en PDF La CGT a décidé de s’opposer à l’instauration de cette taxe et lance une pétition pour exiger l’abrogation de l’article 54 de la loi de Finance du 29 juillet 2011 et du décret d’application portant sur ce nouvel impôt.
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http://www.cgt.fr/IMG/pdf/13-DL-Tract-Petition.pdf
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