Nouvelle journée de mobilisation interprofessionnelle à l’appel de
CGT, CFDT, FSU, SOLIDAIRES, UNSA
MARDI 13 DECEMBRE 2011
Rassemblement Pont de la Concorde face à l’Assemblée Nationale à 14H
Contre les mesures d’austérité annoncées par le gouvernement, pour peser dans le débat parlementaire concernant le budget de l’état et de la sécurité sociale, il y a urgence à porter auprès des salariés le débat et les propositions de la CGT.
Refuser l’austérité qui nous mène tout droit à la récession économique, refuser que les seuls salariés soient les payeurs de la crise du capitalisme, mais surtout redonner confiance dans le pouvoir d’intervention du monde du travail, redonner l’espoir que d’autres solutions sont possibles, réalistes et porteuses de progrès social.
Alors, tous ensemble, unis et rassemblés, allons largement au contact des salariés du privé comme du public, retraités, privés d’emploi pour faire entendre notre voix
L'UNION LOCALE C.G.T de COULOMMIERS
METTRA AUTANT DE BUS QU'IL CONVIENDRA
DEPART DU BUS DEVANT LE CREDIT AGRICOLE A 12 HEURES
POUR LA MANIFESTATION NATIONALE A PARIS.
Si vous le désirez, vous pouvez être des nôtres pour manifester à Paris. Réservez vos places le plus tôt possible Inscription par tél: A l'Union Locale, les mardis et les jeudis de 13h45 à 18h15.
FIXE : 01 64 03 54 85 ou le : 09 65 04 53 58 fax : 01 64 20 97 84
Inscription par MAIL:ulcgtcoulommires77@wanadoo.fr
Ou les Mobiles: 06 73 34 65 02 (Patrick) 06 31 53 89 33(Michel) 06 18 85 64 71 (Alain)
Nous vous encourageons tous à nous rejoindre, à participer à cette manifestation
Plus que jamais l’heure est à la mobilisation des salariés
ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
30 novembre 2011
25 novembre 2011
PSA: la CGT propose un accord tripartite
Info : AFP du 24/11/2011
La CGT a proposé aujourd'hui un accord tripartite entre l'Etat, PSA Peugeot Citroën et les syndicats pour garantir l'emploi au sein du groupe automobile après l'annonce de réductions d'effectifs, refusant de se contenter des "promesses orales" du gouvernement.
"La CGT de PSA fait une proposition au gouvernement: un engagement par écrit à travers un accord tripartite Etat-PSA-syndicats que la direction de PSA s'engage à maintenir tous les emplois sans fermeture de site", a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Le syndicat "comprend la difficulté qu'a le gouvernement de reconnaître les conséquences" du plan annoncé par le groupe automobile "car cela serait un aveu flagrant que les milliards d'aides publiques qui ont été déversés dans les caisses de PSA n'auront eu comme résultat que des suppressions d'emplois".
Mais "à six mois des élections, les salariés ne peuvent se satisfaire de vagues promesses orales", poursuit la CGT, en écho aux propos la veille du ministre de l'Economie, François Baroin, affirmant qu'il n'y aurait pas "de suppressions" de postes.
Eviter le spectre de Gandrange
"Nous avons tous en mémoire le sort de nos camarades de l'aciérie d'Arcelor Mittal de Gandrange", souligne le syndicat, en référence à cette usine de Moselle, où 575 emplois sur 1.108 avaient été supprimés malgré les promesses faites par Nicolas Sarkozy aux salariés en 2008.
La CGT réclame également que PSA s'engage via l'accord tripartite, à "maintenir la fabrication de la C3 jusqu'à son terme (fin 2016)" à Aulnay (Seine-Saint-Denis), en conservant "tous les emplois afin d'avoir le temps de négocier l'attribution d'un nouveau véhicule".
Les syndicats sont particulièrement inquiets pour l'avenir de ce site de 3.600 salariés depuis la publication en juin d'une note de travail évoquant l'hypothèse d'une fermeture, même si PSA a indiqué à plusieurs reprises que ce n'était "pas d'actualité" et que la C3 serait produite à Aulnay jusqu'en 2014.
23 novembre 2011
DÉFENDONS LES HUITE HÔPITAUX PUBLICS DE SEINE ET MARNE.
Info, CGT
MERCREDI 30 NOVEMBRE 2011
MERCREDI 30 NOVEMBRE 2011
RASSEMBLEMENT à 10 H
Devant l’ARS 49/51 Ave Thiers 77000 MELUN
MOBILISONS-NOUS TOUS, PROFESSIONNELS, USAGERS, ÉLUS
ALLONS-NOUS-LES LAISSER TOUT CASSER SANS RÉAGIR ?
(ce jour l’ARS doit annoncer la réorganisation des urgences chirurgicales de nuit)
CH COULOMMIERS
-Regroupement des chirurgies viscérale/orthopédique (perte de lits !)
-Diminution des lits de mater
CH FONTAINEBLEAU
- Fermeture des urgences chirurgicales de nuit
-Privatisation de la radiologie
CH LAGNY
-Privatisation de la médecine nucléaire
-Privatisation de la radiologie
CH MEAUX
-Pas de nouveaux blocs chirurgicaux
-Arrêt du projet de construction du bâtiment dédié à l’accueil et aux urgences
-Permanence des soins (chirurgie viscérale et orthopédique)
de 22h30 à 8h00 uniquement un jour sur 2
CH MELUN
-Privatisation de la radiologie
-Privatisation totale de la chirurgie
CH MONTEREAU
-Suspension du projet mère/enfant
-Remise en cause de la maternité…
CH NEMOURS
-Fermeture du dernier service de chirurgie ambulatoire
CH MELUN
-Privatisation de la radiologie
-Privatisation totale de la chirurgie
NON à la productivité, à la rentabilité, maîtres mots des ARS et du ministère
CH COULOMMIERS
-Regroupement des chirurgies viscérale/orthopédique (perte de lits !)
-Diminution des lits de mater
CH FONTAINEBLEAU
- Fermeture des urgences chirurgicales de nuit
-Privatisation de la radiologie
CH LAGNY
-Privatisation de la médecine nucléaire
-Privatisation de la radiologie
CH MEAUX
-Pas de nouveaux blocs chirurgicaux
-Arrêt du projet de construction du bâtiment dédié à l’accueil et aux urgences
-Permanence des soins (chirurgie viscérale et orthopédique)
de 22h30 à 8h00 uniquement un jour sur 2
CH MELUN
-Privatisation de la radiologie
-Privatisation totale de la chirurgie
CH MONTEREAU
-Suspension du projet mère/enfant
-Remise en cause de la maternité…
CH NEMOURS
-Fermeture du dernier service de chirurgie ambulatoire
CH MELUN
-Privatisation de la radiologie
-Privatisation totale de la chirurgie
NON à la productivité, à la rentabilité, maîtres mots des ARS et du ministère
NON à toutes les mesures qui tendent à la sélection et à l’exclusion des patients
NON à l’éloignement des établissements de soins suite aux fermetures des services
NON à l’éloignement des établissements de soins suite aux fermetures des services
NON aux franchises et autres forfaits, aux dépassements d’honoraires
NON au déremboursement des médicaments et aux profits scandaleux des groupes pharmaceutiques
aux suppressions d’emplois, d’activités et aux fermetures de services, les regroupements autoritaires dans tous les secteurs de santé, médico-social et social
NON au démantèlement de la psychiatrie publique
NON à l’application de critères de rentabilité financière à l’hôpital et dans tous les établissements se soins publics
NON à la privatisation des activités de l’hôpital au travers du partenariat public/privé (les activités rentables seront pour le secteur lucratif)
NON au pouvoir absolu des ARS
NON au découpage arbitraire des territoires de santé du département 77
Ce que nous voulons :
L’accès aux soins pour tous, partout et 24h sur 24 sur tout le département du 77 !
Ce que nous voulons :
L’accès aux soins pour tous, partout et 24h sur 24 sur tout le département du 77 !
Un secteur hospitalier public assurant l’accès à des soins de qualité et de proximité
NOS 8 établissements de plein exercice publics
L'arrêt des suppressions massives de postes
Des personnels qualifiés en nombre
Le maintien et le développement des structures de proximité
Un système public de santé, un secteur médico-social et social développé sur tout le département 77 dotés de moyens suffisants pour répondre aux besoins de la population
Abrogation de la loi HPST et arrêt immédiat de toutes les fermetures et restructurations de services ou d'établissements
NON ! à la politique gouvernementale mise en place par les Agences
Régionales de Santé
UNION SYNDICALE DEPARTEMENTALE CGT SANTE et ACTION SOCIALE 77
NON ! à la politique gouvernementale mise en place par les Agences
Régionales de Santé
UNION SYNDICALE DEPARTEMENTALE CGT SANTE et ACTION SOCIALE 77
19 novembre 2011
13 décembre 2011, un temps fort de mobilisations interprofessionnelles
Communiqué des organisations syndicales, CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, dénoncent fermement les plans d’austérité et de rigueur décidés et imposés par le gouvernement.
L’austérité en France et en Europe n’est pas la solution à la crise. Au contraire, elle risque d’entraîner la récession.
Le gouvernement décide de mesures dans le domaine social sans rencontrer ni entendre les organisations syndicales. Il fait porter les efforts sur les salariés, ce qui creuse les inégalités et plonge des milliers de familles dans les difficultés sociales
Après la taxe sur les complémentaires, les déremboursements, l’instauration de forfaits et franchises, les ponctions sur le budget de l’assurance maladie, la diminution des prestations sociales, le gouvernement s’en prend aux salariés malades, potentiellement « fraudeurs » et « responsables des déficits publics », en instaurant un jour de carence de plus dans le privé et un dans la Fonction publique et en tentant d’opposer les uns aux autres.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA décident d’agir ensemble pour s’opposer à ces mesures et obtenir d’autres solutions. Avec un appel commun, elles s’adresseront aux salariés pour interpeller le gouvernement, les élus et les responsables d’entreprises dans la période du 1er au 15 décembre. Dans ce cadre, le 13 décembre sera un temps fort de mobilisations interprofessionnelles, notamment avec des rassemblements.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, se retrouveront rapidement après le 15 décembre, afin d’en tirer le bilan et d’envisager, ensemble, de nouvelles initiatives en janvier.
Montreuil, le 18 novembre 2011
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, dénoncent fermement les plans d’austérité et de rigueur décidés et imposés par le gouvernement.
L’austérité en France et en Europe n’est pas la solution à la crise. Au contraire, elle risque d’entraîner la récession.
Le gouvernement décide de mesures dans le domaine social sans rencontrer ni entendre les organisations syndicales. Il fait porter les efforts sur les salariés, ce qui creuse les inégalités et plonge des milliers de familles dans les difficultés sociales
Après la taxe sur les complémentaires, les déremboursements, l’instauration de forfaits et franchises, les ponctions sur le budget de l’assurance maladie, la diminution des prestations sociales, le gouvernement s’en prend aux salariés malades, potentiellement « fraudeurs » et « responsables des déficits publics », en instaurant un jour de carence de plus dans le privé et un dans la Fonction publique et en tentant d’opposer les uns aux autres.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA décident d’agir ensemble pour s’opposer à ces mesures et obtenir d’autres solutions. Avec un appel commun, elles s’adresseront aux salariés pour interpeller le gouvernement, les élus et les responsables d’entreprises dans la période du 1er au 15 décembre. Dans ce cadre, le 13 décembre sera un temps fort de mobilisations interprofessionnelles, notamment avec des rassemblements.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, se retrouveront rapidement après le 15 décembre, afin d’en tirer le bilan et d’envisager, ensemble, de nouvelles initiatives en janvier.
Montreuil, le 18 novembre 2011
Les campagnes de la CGT ; Pétitions, appels, solidarité
La CGT et 48 organisations associatives et syndicales sont signataires d’un "Pacte pour les droits et la citoyenneté" qui formule une série de propositions "pour un nouveau vivre ensemble"
Signer, agir en ligne, manifester la solidarité
Pour Signez l’appel cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.cgt.fr/Les-campagnes-de-la-CGT.html
Signer, agir en ligne, manifester la solidarité
Pour Signez l’appel cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.cgt.fr/Les-campagnes-de-la-CGT.html
PSA : l’emploi en ligne de mire.
INFO, du vendredi 18 novembre 2011
Plusieurs centaines de salariées ont manifesté à l’appel des syndicats CGT, Solidaires, CFDT, CFTC et SIA Aulnay à l’occasion de la tenue du comité central d’entreprise (CCE) du groupe PSA, mardi 15 novembre, à Paris.
L’été dernier, la CGT révélait le grand plan de restructuration du groupe prévoyant la fermeture des sites d’Aulnay, SevelNord et Madrid. Après avoir prétendu que ces informations n’étaient pas fondées, la direction de PSA a commencé à abaisser ces cartes lors du CCE de mardi. 5 000 postes seraient supprimés et la direction espère faire passer la pilule en limitant au maximum les suppressions de CDI. Les salariés en CDD, les intérimaires, ceux employés par des prestataires de services vont être mis sur la touche avec la plus grande brutalité. Pourtant, le site de Melun sur lequel l’effectif est déjà passé de 700 il y a deux ans à 180 aujourd’hui, va être fermé, 1 900 postes en production et surtout 3 100 hors production (commercial, marketing, informatique, recherche et développement) sont dans le collimateur. Cela signifie que l’ensemble des sites, Aulnay, Vélizy, La Garenne-Colombes ou Sochaux vont être touchés. Autant dire que la présence de salariées de ces sites mais aussi de SevelNord, Poissy, Magneto, Gefco et de délégations de Renault montre la voie vers laquelle la mobilisation doit s’engager : un tous ensemble de toutes les salariées de PSA mais aussi de toute la filière sans oublier tous les sous-traitants et équipementiers. Dès samedi 19 novembre, à Valenciennes, autour des salariées de SevelNord, il faut construire cette mobilisation.
17 novembre 2011
Fraudes sociales
Info : CGT
Sarkozy sonne la charge contre les assurés, mais épargne les entreprises
Nicolas Sarkozy s’est placé aujourd’hui en défenseur de l’esprit de 1945 et des fondements de la République sociale. C’est un comble venant de celui qui, depuis son élection, n’a cessé d’attaquer, par des réformes successives et autoritaires, ce qui fondait le pacte social.
Il a mis systématiquement et méthodiquement à mal ce qu’il appelle la solidarité nationale.
Aujourd’hui, il prétend s’engager dans une campagne de lutte contre les fraudes en se focalisant sur 4 milliards d’euros « qui échapperaient » aux caisses. Alors qu’en réalité le « rapport d’information parlementaire sur les fraudes sociales » pointe lui, une fraude s’élevant à 20 milliards d’euros.
Ces 16 milliards manquant dans cette déclaration du jour relève des Entreprises (cotisations patronales et salariales non versées). Pourquoi ne les évoque-t-il pas ?
Sous couvert d’une cure d’austérité, ce sont les salariés, les privés d’emploi et les retraités à qui l’on demande toujours plus de sacrifices, en abaissant le niveau de protection sociale. Le Gouvernement s’apprête à ajouter un quatrième jour de carence aux arrêts maladie dans le secteur privé et d’en instituer un dans la Fonction publique, après avoir décidé d’une taxe sur les complémentaires et instauré depuis 2004 de nombreuses franchises, des déremboursements de médicaments et de soins.
Pour exemple, de plus en plus de gens renoncent à des soins, soit parce qu’ils sont insuffisamment couverts, soit parce que le système de santé est tellement désorganisé et dérégulé que les délais pour obtenir un rendez-vous et les dépassements d’honoraires sont dissuasifs. On constate que 24,3 % de ceux qui gagnent moins de 870 euros par mois renoncent 3 fois plus aux soins que ceux qui gagnent plus de 2 000 euros.
Si le Président de la République annonce la création d’un Haut conseil au financement de la protection sociale, c’est pour aussitôt baliser sa feuille de route sur le coût très élevé du travail et préparer le terrain pour une mise en pièce de la sécurité sociale. Simultanément le MEDEF prône l’instauration de la TVA sociale et une hausse de la CSG en lieu et place des cotisations à la Sécurité sociale.
La CGT réserve sa position quant à sa participation à ce Haut conseil et confirme la nécessité d’élaborer une riposte unitaire aux offensives antisociales actuelles.
Montreuil, le 15 novembre 2011
11 novembre 2011
Le SMIC revalorisé, il passera de 9€ de l'heure à 9€19 au 1er décembre
Info : CGT
Le Salaire minimum interprofessionnel de croissance, le fameux Smic, sera revalorisé
de 2,1% au 1er décembre, en raison d'une augmentation de l'inflation de 2,1% sur un an, a annoncé jeudi la direction générale du travail (DGT).
Dans un communiqué, la DGT précise que le salaire minimum passera de 9 euros brut de l'heure à 9,19 euros, pour atteindre 1.393,82 euros brut par mois contre 1.365 euros précédemment.
Environ 2,3 millions de Français, soit un salarié sur dix, sont payés au Smic. Une récente étude démontrait que la moitié des Français gagnait moins de 1653 euros nets mensuels. Une situation souvent difficile par les ménages, qui estiment que "le fossé" s'est encore agrandi entre les classes aisées et les plus défavorisées.
"Au 10 novembre, l'indice mensuel des prix à la consommation hors tabac a augmenté de 2,1% par rapport à l'indice constaté lors de l'établissement du salaire minimum de croissance immédiatement antérieur (soit novembre 2010)", écrit la DGT. "En application des règles légales, la hausse du Smic à due concurrence est donc automatique."
Lors de la dernière revalorisation du Smic, le 1er janvier, celui-ci avait augmenté de 1,6%, passant de 8,86 euros à 9 euros brut de l'heure, pour atteindre 1.365 euros brut pour 35 heures hebdomadaires.
Depuis l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence en 2007, aucun "coup de pouce" n'a été donné au Smic lors des différentes revalorisations.
Dans la grande distribution les prix sont repartis à la hausse en octobre (Insee)
Info : AFP
Les prix des produits de grande consommation dans la grande distribution sont repartis à la hausse en octobre, avec une progression de 0,2% sur un mois, après une stabilité en septembre, a annoncé jeudi l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).
Sur un an, ces prix progressent de 3,2%.
Dans les hypermarchés, ces prix ont augmenté de 0,2% le mois dernier après un recul de 0,1% en septembre. Sur un an, la hausse des prix dans les hypers atteint 3,4% à comparer à un repli de 0,7% un an plus tôt.
Dans les supermarchés, les prix ont progressé de 0,2% en octobre, après une stabilité en septembre. Sur un an, la hausse est de 3,3%, après un recul de 0,4% en octobre 2010.
Dans les autres formats de vente, les prix des produits de grande consommation augmentent de 0,4% (+4,3% sur un an).
Les prix des produits alimentaires (hors produits frais) dans la grande distribution se sont renchéris de 0,2% en octobre sur un mois, et de 3,7% sur un an.
Les prix des viandes ont augmenté de 0,2% (+4,1% sur un an), et ceux des boissons ont progressé de 0,3% (+3,7% sur un an), "notamment en raison de la hausse des prix du café et des vins, cidres et champagnes", indique l'Insee.
Les prix des autres produits alimentaires se hissent de 0,2% en octobre (+3,6% sur un an).
Enfin, les prix des produits dentretien et de lhygiène et beauté se sont accrus de 0,3% (+1,1% sur un an).
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