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ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
17 février 2013
11 février 2013
Une revendication qui grandit avec la lutte : Il faut s’approprier les grands moyens de production et les banques
Chaque
jour on nous martèle que dans un marché mondialisé où la
concurrence est de plus en plus féroce… «
Le coût du travail » serait trop élevé en France et
que les entreprises françaises ne seraient pas compétitives… Les
salaires et les cotisations sociales seraient trop élevés… Ce
serait le principal obstacle au développement de la nation…
Cliquez
sur l'image pour l'agrandir
La
banque Natixis y va, elle aussi, de son couplet et en remet une
couche. Selon celle-ci : « les marges des entreprises sont médiocre,
leurs profits, après versement des dividendes, représentent 6,8% du
produit intérieur brut (PIB) contre 11,05% en Allemagne. Conclusion
: il faut « alléger les charges sociale, flexibiliser le marché du
travail trop rigide ». On résume: casser le code du travail et
précariser l’emploi.
Le
patronat, la CFDT, la CGC et la CFTC ont signé ensemble le 11
janvier un accord dans ce sens. Le gouvernement est pressé de
répondre aux injonctions du grand capital pour en faire une loi.
Selon
l’INSEE la part versée aux actionnaires a augmenté bien plus vite
que les salaires et a atteint des sommets inégalés depuis trente
ans. De 1980 à 2010, la part versée aux actionnaires a triplé.
Elle est passée de 3% de la richesse nationale à 9%, Une hausse de
180 milliards d’euros par an pendant trente ans, soit 5.400
milliards.
-En
30 ans, les dividendes versés aux actionnaires ont augmenté de
200%, alors que les salaires n’ont progressé que de 20%.
-Toujours
selon l’INSEE, en 2010, 210 milliards
d’euros ont été versés aux actionnaires.
L’obstacle
à la compétitivité des entreprises n’est donc, ni "le coût
du travail", ni la protection sociale des travailleurs. La
richesse produite par le travail des salariés est détournée par le
capital et le gouvernement à son service.
Il
faut en finir avec l’exploitation capitaliste. Il faut se
réapproprier la richesse produite par les salariés, il faut
s’attaquer au pouvoir des multinationales.
Il
faut nationaliser véritablement les secteurs clés de l’économie,
en reprenant définitivement les grands moyens de production aux
multinationales, aux grandes banques, et sociétés financières.
Les richesses créées iront au peuple, pour développer l’économie,
l’industrie, les services publics, la recherche, l’enseignement,
pour créer de l’emploi, augmenter les salaires et les retraites,
pour la santé... C’est une revendication qui grandit avec la
lutte.
Appel
de la CGT et de Force Ouvrière
Communiqué
communLes deux confédérations CGT et FORCE OUVRIERE réaffirment leur opposition résolue aux principales dispositions contenues dans l’accord interprofessionnel sur l’emploi du 11 janvier 2013.
Lire la suite en cliquant ci-dessous
http://www.cgt.fr/Communique-commun,39990.html
Cliquez sur l'image pour l'agrandir
«
Jamais non jamais le peuple de France ne sera un peuple d’esclaves
» (Appel du 10 juillet 1940 de Maurice Thorez et de Jacques Duclos).
10 février 2013
Grève nationale intersyndicale des enseignants le 12 février 2013
Info: CGT
La CGT Éduc'action appelle l'ensemble des personnels de
l'Education nationale à
la grève le mardi 12 février 2013.
livret de compétences, bac pro 3 ans, réforme du lycée...) et renforce la précarité.
Lire la suite en cliquant ci-dessous
http://www.unsen.cgt.fr/images/actus_tracts_communiques_declarations/2012_2013/tract_appel_cgt_educ_12_02_2013.pdf
la grève le mardi 12 février 2013.
Le projet de loi d'orientation de l'école se place dans
la continuité des mesures des
gouvernements
précédents en reprenant les fondements idéologiques (socle commun,livret de compétences, bac pro 3 ans, réforme du lycée...) et renforce la précarité.
Lire la suite en cliquant ci-dessous
http://www.unsen.cgt.fr/images/actus_tracts_communiques_declarations/2012_2013/tract_appel_cgt_educ_12_02_2013.pdf
9 février 2013
Risques «d'implosions ou explosions sociales» : Manuel Valls est prêt à la répression contre les mouvements sociaux
Info : CGT
Le ministre de
l'Intérieur assure que ses services sont mobilisés pour éviter
tout débordement lors de mouvements sociaux car «on ne peut pas
casser l'outil de travail»...
Outre le fait qu'un “socialiste”
les accuse d'être eux-mêmes potentiellement responsables de la
casse de leur outil de travail — un comble ! —, les milliers de
salariés actuellement menacés de licenciement sont ravis
d'apprendre que le gouvernement “socialiste” pour lequel ils ont
voté prévoit de les infiltrer afin de mieux leur envoyer la
cavalerie s'ils osent exprimer un peu trop leur «désespoir».Pour lire la suite et voir les vidéos cliquez c-dessous
http://www.actuchomage.org/2013020624162/Social-economie-et-politique/risques-ldimplosions-ou-explosions-socialesr-manuel-valls-est-pret.html
Lire
aussi :Manuel Valls prêt à la répression , de Commun Commune
cliquez
ci-dessoushttp://www.communcommune.com/article-manuel-valls-pret-a-la-repression-contre-les-mouvements-sociaux-115182626.html
Loi
contre les licenciements boursiers : mais qu'attend le gouvernement ?
cliquez
ci-dessoushttp://www.actuchomage.org/2012082122062/La-revue-de-presse/les-paradoxes-de-la-methode-hollandaise.html
Le
Parti socialiste aux ordres du Medef
cliquez ci-dessoushttp://www.actuchomage.org/2013011523902/Social-economie-et-politique/le-parti-socialiste-aux-ordres-du-medef.html
Tout ce qu’on ne vous a pas dit sur l’accord sur la sécurité de l’emploi
l'Accord
National Interprofessionnel
du 13 janvier 2013 !
Mobilité,
complémentaire santé, droits rechargeables aux Assedic
L’ANI
du 13 janvier 2013 passé au crible des juristes
1•Mobilité,
complémentaire santé, droits rechargeables aux Assedic, taxation
des contrats courts :
l’accord
offre-t’il des garanties nouvelles aux salariés
2•L’accord
apporte-t’il des droits nouveaux dans le cadre des licenciements
collectifs
3•Le
maintien dans l’emploi était au centre des négociations. L’accord
apporte-t’il des réponses ?
4•Quels
droits nouveaux pour les représentants des salariés, les comités
d’entreprise ?
cliquez
ci-dessous : réponse en vidéo
http://www.cgt.fr/Tout-ce-qu-on-ne-vous-a-pas-dit.htmlLe gouvernement s'inquiète des risques d'explosion sociale
Explosion
sociale ? Voilà qui devrait redonner l'espoir à des millions de
travailleurs!
Les
services de renseignement de la police ont reçu récemment comme
instruction d'anticiper une éventuelle radicalisation de mouvements
sociaux. Des policiers sont postés autour des usines.
Lire la suite en cliquant ci-dessous
http://ulcgt-coulommiers.blogspot.com/b/post-preview?token=pn5owDwBAAA.2BTxymBXwVFE2Ksz4iVdXQ.dpqVmMJqczDbrDs-_lcz6A&postId=3458277419750266033&type=POST
Le gouvernement s'inquiète des risques d'explosion sociale
Explosion
sociale ? Voilà qui devrait redonner l'espoir à des millions de
travailleurs!
Les services de renseignement de la police ont reçu récemment comme instruction d'anticiper une éventuelle radicalisation de mouvements sociaux. Des policiers sont postés autour des usines.
Face
à la multiplication et au durcissement des mouvements sociaux en
France, le gouvernement socialiste français s'inquiète désormais
ouvertement des risques d'explosion sociale dans le pays.
Les
bombes sociales se multiplient en France, ce qui ne manque pas
d'inquiéter le gouvernement. Grèves, débrayages, blocages
d'usines: face au durcissement des mouvements sociaux en France, le
gouvernement socialiste craint désormais ouvertement des risques
d'explosion sociale. "La colère sociale, avec les conséquences
de la crise économique et financière, la précarité, le chômage,
les plans de licenciements, elle est là, elle gronde depuis des
années", a reconnu ce mardi 5 février le ministre de
l'Intérieur Manuel Valls. "Aujourd'hui on assiste moins à des
mouvements sociaux, qu'à des implosions ou explosions sociales",
a-t-il mis en garde sur les médias BFTV et RMC.
Depuis
plusieurs mois, le contexte social s'est fortement détérioré en
France, avec l'annonce de milliers de suppressions de postes dans
différents secteurs: sidérurgie (ArcelorMittal), automobile (PSA,
Renault, Goodyear) mais aussi pétrole (Petroplus), chimie (Sanofi),
transports (Air France), agro-alimentaire (Doux), etc. Les débrayages
et opérations "usine morte" sont devenus quotidiens chez
Renault (11.200 suppressions de postes envisagées), où la
production a été à plusieurs reprises paralysée, tandis que chez
PSA (8.500 suppressions annoncées), l'usine d'Aulnay, en région
parisienne, s'enlise dans la grève dans une ambiance délétère.
Fin janvier, dans cette usine dont la fermeture est prévue en 2014,
quatre grévistes ont été mis à pied "en vue de licenciement"
pour leur implication présumée dans l'agression d'un huissier venu
constater des "dégradations" sur le site.
Présence
policière autour des usines
Dans
ce contexte tendu, les services de renseignement de la police ont
reçu récemment comme instruction de suivre "au plus près"
les entreprises en difficulté afin d'anticiper une éventuelle
"radicalisation" de mouvements sociaux. Une note de
service, datée du 30 janvier et transmise aux directeurs
départementaux de la sécurité publique, souligne "les risques
d'incidents" ou d'éventuelles "menaces sur l'outil de
production en cas de radicalisation d'un conflit". Ces
explosions sociales, "il faut essayer de les comprendre, mais on
ne peut pas les admettre", a justifié mardi le ministre
socialiste de l'Intérieur. "On peut essayer de comprendre les
raisons qui poussent des hommes et des femmes au désespoir",
mais "on ne peut pas casser l'outil de travail", a-t-il
dit.
A
l'usine Renault à Flins, en région parisienne, "il y a de plus
en plus de présence policière autour de l'usine avec plusieurs
voitures banalisées", témoignait mardi Ali Kaya, délégué
syndical. "La police a contacté des délégués syndicaux",
a-t-il ajouté. Le secrétaire général de la CGT, premier syndicat
de France, Bernard Thibault s'est inquiété mardi d'éventuelles
présences des forces de police sur les sites connaissant des
conflits sociaux, appelant à les "éviter" car celles-ci
seraient "vécues comme des provocations". "Certains
commentateurs extérieurs s'émeuvent de la tournure que peuvent
prendre certains conflits sociaux", a-t-il déclaré, mais "il
faut se rendre à l'évidence: on ne va pas continuer à avoir
plusieurs millions de nos concitoyens exclus du travail et que tout
ça se fasse dans la plus grande discrétion et le plus grand
silence".
Appel de la Cgt et de Force Ouvrière
Communiqué commun
Les deux confédérations CGT et FORCE OUVRIERE réaffirment leur opposition résolue aux principales dispositions contenues dans l’accord interprofessionnel sur l’emploi du 11 janvier 2013.
Cet accord refusé par deux des trois grandes confédérations syndicales organise une plus grande flexibilité pour les salariés, un recul de leurs droits individuels et collectifs au bénéfice des employeurs.
La lutte contre le chômage appelle une rupture avec les politiques d’austérité et de rigueur préjudiciables à l’emploi en qualité et en quantité.
Le gouvernement annonçant son intention de retranscrire dans la loi un mauvais accord pour les droits sociaux, la CGT et FORCE OUVRIERE décident d’appeler les salariés à se mobiliser et à exprimer leur désaccord en direction du gouvernement, des députés et des sénateurs.
Les deux confédérations appellent leurs organisations territoriales et professionnelles à créer les conditions de la mobilisation la plus large possible au travers de rassemblements, de manifestations et arrêts de travail dans les régions, départements et localités : le 5 MARS prochain.
Cette journée doit exprimer un refus de l’austérité et de la flexibilité ; l’exigence de réponses nouvelles pour les droits sociaux, l’emploi, l’augmentation des salaires et des pensions.
Paris, le 8 février 2013
Cet accord refusé par deux des trois grandes confédérations syndicales organise une plus grande flexibilité pour les salariés, un recul de leurs droits individuels et collectifs au bénéfice des employeurs.
La lutte contre le chômage appelle une rupture avec les politiques d’austérité et de rigueur préjudiciables à l’emploi en qualité et en quantité.
Le gouvernement annonçant son intention de retranscrire dans la loi un mauvais accord pour les droits sociaux, la CGT et FORCE OUVRIERE décident d’appeler les salariés à se mobiliser et à exprimer leur désaccord en direction du gouvernement, des députés et des sénateurs.
Les deux confédérations appellent leurs organisations territoriales et professionnelles à créer les conditions de la mobilisation la plus large possible au travers de rassemblements, de manifestations et arrêts de travail dans les régions, départements et localités : le 5 MARS prochain.
Cette journée doit exprimer un refus de l’austérité et de la flexibilité ; l’exigence de réponses nouvelles pour les droits sociaux, l’emploi, l’augmentation des salaires et des pensions.
Paris, le 8 février 2013
Explosion
sociale ? Voilà qui devrait redonner l'espoir à des millions de
travailleurs!
Le
gouvernement s'inquiète des risques d'explosion sociale
Les
services de renseignement de la police ont reçu récemment comme
instruction d'anticiper une éventuelle radicalisation de mouvements
sociaux. Des policiers sont postés autour des usines.
Face
à la multiplication et au durcissement des mouvements sociaux en
France, le gouvernement socialiste français s'inquiète désormais
ouvertement des risques d'explosion sociale dans le pays.
Les
bombes sociales se multiplient en France, ce qui ne manque pas
d'inquiéter le gouvernement. Grèves, débrayages, blocages
d'usines: face au durcissement des mouvements sociaux en France, le
gouvernement socialiste craint désormais ouvertement des risques
d'explosion sociale. "La colère sociale, avec les conséquences
de la crise économique et financière, la précarité, le chômage,
les plans de licenciements, elle est là, elle gronde depuis des
années", a reconnu ce mardi 5 février le ministre de
l'Intérieur Manuel Valls. "Aujourd'hui on assiste moins à des
mouvements sociaux, qu'à des implosions ou explosions sociales",
a-t-il mis en garde sur les médias BFTV et RMC.
Depuis
plusieurs mois, le contexte social s'est fortement détérioré en
France, avec l'annonce de milliers de suppressions de postes dans
différents secteurs: sidérurgie (ArcelorMittal), automobile (PSA,
Renault, Goodyear) mais aussi pétrole (Petroplus), chimie (Sanofi),
transports (Air France), agro-alimentaire (Doux), etc. Les débrayages
et opérations "usine morte" sont devenus quotidiens chez
Renault (11.200 suppressions de postes envisagées), où la
production a été à plusieurs reprises paralysée, tandis que chez
PSA (8.500 suppressions annoncées), l'usine d'Aulnay, en région
parisienne, s'enlise dans la grève dans une ambiance délétère.
Fin janvier, dans cette usine dont la fermeture est prévue en 2014,
quatre grévistes ont été mis à pied "en vue de licenciement"
pour leur implication présumée dans l'agression d'un huissier venu
constater des "dégradations" sur le site.
Présence
policière autour des usines
Dans
ce contexte tendu, les services de renseignement de la police ont
reçu récemment comme instruction de suivre "au plus près"
les entreprises en difficulté afin d'anticiper une éventuelle
"radicalisation" de mouvements sociaux. Une note de
service, datée du 30 janvier et transmise aux directeurs
départementaux de la sécurité publique, souligne "les risques
d'incidents" ou d'éventuelles "menaces sur l'outil de
production en cas de radicalisation d'un conflit". Ces
explosions sociales, "il faut essayer de les comprendre, mais on
ne peut pas les admettre", a justifié mardi le ministre
socialiste de l'Intérieur. "On peut essayer de comprendre les
raisons qui poussent des hommes et des femmes au désespoir",
mais "on ne peut pas casser l'outil de travail", a-t-il
dit.
A
l'usine Renault à Flins, en région parisienne, "il y a de plus
en plus de présence policière autour de l'usine avec plusieurs
voitures banalisées", témoignait mardi Ali Kaya, délégué
syndical. "La police a contacté des délégués syndicaux",
a-t-il ajouté. Le secrétaire général de la CGT, premier syndicat
de France, Bernard Thibault s'est inquiété mardi d'éventuelles
présences des forces de police sur les sites connaissant des
conflits sociaux, appelant à les "éviter" car celles-ci
seraient "vécues comme des provocations". "Certains
commentateurs extérieurs s'émeuvent de la tournure que peuvent
prendre certains conflits sociaux", a-t-il déclaré, mais "il
faut se rendre à l'évidence: on ne va pas continuer à avoir
plusieurs millions de nos concitoyens exclus du travail et que tout
ça se fasse dans la plus grande discrétion et le plus grand
silence".
8 février 2013
PRESSTALIS: le syndicat du Livre CGT répond à l’article du « Figaro » du 7 février 2013
Lire
la réponse du syndicat de la FILPAC – CGT, en cliquant ci-dessous
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