28 mars 2014

Loi Florange : Le conseil constitutionnel choisit le droit de propriété face au droit de travailler


La loi Florange était censée obliger le propriétaire à céder son site plutôt que de le fermer sous peine de sanction.

La loi votée en février dernier, n’oblige en réalité, le propriétaire qu’à démontrer ses bonnes intentions en matière de recherche de reprises. Le groupe UMP à l’assemblée nationale a jugé en osmose avec le patronat cette disposition trop contraignante et a déposé un recours devant le conseil constitutionnel.
Pour en savoir plus cliquez ci-dessous
http://www.cgt.fr/Le-conseil-constitutionnel-choisit.html

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Molex (Villemur-sur-Tarn) La justice tranche : les licenciements étaient injustifiés


Les salariés de Molex ont obtenu jeudi des prud’hommes de Toulouse la reconnaissance par la justice du travail que la fermeture de l’usine du géant américain et leur licenciement étaient dépourvus de justification économique. "On a toujours dit que la raison économique n’était pas justifiée, aujourd’hui la justice nous donne raison", a lancé le délégué CGT de l’usine Guy Pavan devant les anciens salariés de Molex rassemblés pour le jugement.
Lire la suite en cliquant ci-dessous
http://www.cgt.fr/La-justice-tranche-les.html


France Télévisions : Préavis de grève intersyndical pour le 2 avril

L’intersyndicale de France Télévisions a déposé jeudi 27 mars un préavis de grève pour le 2 avril, à l’occasion d’un comité central d’entreprise. Les syndicats CGT, CFDT, SNPA-CGC, FO et le SNJ, veulent préserver la rédaction de la filiale spécialisée AITV, agence d’image spécialisée sur l’Afrique et s’opposer à l’externalisation du sous-titrage des journaux de France 2.

Le groupe France Télévisions veut ramener ses effectifs à 9.750 personnes en moyenne en 2015 pour obtenir l’équilibre des comptes malgré la baisse annoncée de la dotation publique.



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25 mars 2014


Motion 


Monsieur le directeur,

Depuis que la section CGT LECLERC-SODIFER a fait l’imminence de candidature de Pierre Doré aux prochaines élections professionnelles, vous avez décidé de payer notre camarade pour qu’il reste chez lui, nous exigeons son retour immédiat à son poste de travail.
Une fois de plus vous entravez le droit syndical pourtant constitutionnel.
C’est parce qu’il a décidé de rejoindre la CGT de votre établissement qu’il se retrouve dans cette situation.
Nous ne pouvons tolérer de tels agissements à l’encontre de notre organisation syndicale qui n’ont qu’un seul but, faire de lui un exemple et ainsi faire peur aux salariés qui voudraient se présenter sur la liste CGT dans le cadre des prochaines élections.



Si vous persistez dans votre décision, sachez que notre syndicat (syndicat CGT ……………………………….) soutiendra toutes les initiatives et actions qui seront organisées, et y participera si nécessaire pour obtenir la réintégration de notre camarade.


Notre syndicat solidaire de la section syndicale CGT LECLERC-SODIFER et l’Union locale CGT de Coulommiers et sa région soutiendra également toutes les actions qu’ils intenteront à votre encontre.



Pour le syndicat :……………………………...



Nom :………………………………………….


Responsabilité :………………………………



Signature :…………………………………….






LETTRE OUVERTE


Monsieur le PDG,

Je m’adresse à nouveau à vous, mais cette fois-ci sous la forme d’une lettre ouverte,

afin d’alerter l’ensemble de mes collègues de la situation que je subis depuis plusieurs

mois.

Je suis entré dans l’entreprise en septembre 2011 et j’ai travaillé aux rayons DPH

jusqu’en été 2013. Je me suis investi dans mon travail et mon responsable était satisfait.

Néanmoins, j’ai rapidement ressenti une pression exercée par mon supérieur et la

direction. Je l’ai acceptée car je tiens beaucoup à ma place au sein de l’entreprise.

On nous interdit de parler aux délégués CGT, on nous fait comprendre qu’il faut

choisir le « bon camp » pour rester dans les bonnes grâces de la direction. Beaucoup de

collègues subissent cette loi du silence au quotidien et acceptent qu’on ne respecte pas

leurs droits de salariés, par peur de représailles.

Eh bien, ils ont dans un sens raison d’avoir peur puisque j’en ai fait l’expérience. En

effet, à partir de septembre 2013, j’ai été affecté en épicerie. J’ai plongé peu à peu dans

une spirale de souffrance quotidienne : reproches incessants, consignes impossibles à

respecter matériellement, culpabilisation… La liste est trop longue pour être donnée ici.

Pourquoi ai-je été ainsi piégé ? Parce que j’avais donné des signes de quelqu’un qui

pouvait soutenir certains représentants du personnel ? Parce que 2 ans d’ancienneté c’est

trop long ici ? Parce que je paraissais être quelqu’un de vulnérable ou à l’inverse

quelqu’un qui ne saurait pas supporter les injustices sans broncher ? Je l’ignore.

Bref, le 4 janvier 2014, j’ai pris la parole en réunion pour exprimer mes difficultés

car je ne pouvais plus tenir. Depuis, j’ai subi 3 entretiens préalables au licenciement et je

suis interdit d’accès à l’entreprise depuis le 18 février 2014, jour de l’imminence de ma

candidature aux prochaines élections professionnelles. L’omerta qui règne a sans doute

déjà permis que les collègues me croient parti, licencié ou en arrêt de travail.

 
Je ne demande qu’une seule chose : reprendre mon travail auprès de mes collègues.

Je pense qu’il faut que ceux qui ont peur profitent des élections pour s’exprimer. Ma

volonté n’est nullement de nuire à l’entreprise, bien au contraire. Je nourris encore

l’espoir, peut-être utopique, que l’esprit de famille convivial affiché par la direction peut

réellement régner au sein de notre magasin. Nous avons des richesses et un potentiel à

exploiter ensemble, dans le respect des droits et de la dignité de chacun.

Je vous prie de croire, M. le PDG, en mes sentiments respectueux et en mon profond

dévouement.

M. DORE Pierre

Le 19 mars 2014





Récapitulatif des atteintes aux droits syndicaux
Pierre DORE est employé commercial chez SODIFER (magasin E. LECLERC de La Ferté-sous-Jouarre) depuis septembre 2011.

Il subit depuis plusieurs mois un acharnement de la part de la direction de l’entreprise. Il en est à son troisième entretien préalable au licenciement en 2 mois.
  1. Le 4 janvier 2014, Pierre Doré a pris la parole lors d’une réunion en présence du PDG, du directeur, de son responsable et d’autres salariés. Il a fait état de ses très mauvaises conditions de travail et des agissements de son responsable. Il a dénoncé le fait que son responsable lui avait demandé de casser la figure au délégué syndical Cgt Nicolas Sgorlon.
Le PDG lui a répondu que la porte était ouverte et que lui-même en viendrait bien aux mains avec ce délégué.
  1. Le 6 janvier 2014, SODIFER adresse à Pierre Doré une convocation à entretien préalable.
  1. Le 9 janvier 2014, Pierre Doré fait un droit d’alerte.
  1. Le 14 janvier 2014, SODIFER lui adresse un courrier d’intimidation, remettant en cause la légitimité de son droit d’alerte.
  1. Le 15 janvier 2014 : premier entretien préalable. On lui reproche des griefs sur ses rayons vides alors qu’il faisait des remplacements de collègues dans d’autres rayons
  1. Aucune sanction n’est prononcée à la suite de cet entretien
  1. Le 18 février 2014, la section Cgt fait l’imminence de candidature de Pierre Doré aux prochaines élections professionnelles. Le directeur en prend connaissance par courriel à 7h12.
  1. Le jour même à 10h, le directeur lui notifie une nouvelle convocation à entretien préalable et lui demande de quitter l’entreprise sur le champ, en le plaçant en dispense de travail payée
  1. Le 19 février 2014, Pierre Doré fait un second droit d’alerte.
  1. Le 20 février 2014, Nicolas Sgorlon exerce son droit d’alerte de délégué du personnel.
  1. Le 25 février 2014, le PDG de SODIFER adresse un courrier à Nicolas Sgorlon l’informant qu’il n’accéderait pas à sa demande d’enquête et remettant en cause le droit d’alerte DP.
  1. Le 28 février 2014 : deuxième entretien préalable. On reproche à nouveau à Pierre Doré des griefs fallacieux.
  1. Le 5 mars 2014, l’inspection du travail reconnaît le statut de salarié protégé suite à l’imminence de candidature et en informe l’employeur.
  1. Le 6 mars 2014, SODIFER adresse à Pierre Doré une nouvelle convocation pour un troisième entretien préalable.
  1. Le 18 mars 2014, troisième entretien préalable et toujours les mêmes griefs.
  1. Le 20 mars 2014, affichage au tableau syndical Cgt d’une lettre ouverte rédigée par Pierre Doré.
  1. Le 21 mars 2014, lors de la réunion CE, le PDG de SODIFER demande au délégué syndical de retirer la lettre ouverte sous peine de poursuivre Pierre Doré en justice pour diffamation.

29 mars 2014, Mobilisons pour le droit au logement :Toutes les raisons pour les salariés et la CGT d’y participer


L’UD CGT 77

invite les syndiqués et syndicats

à participer à la

MANIFESTATION À 14H30

PLACE DE LA REPUBLIQUE À PARIS


De 1998 à 2013 les expulsions ont presque triplé, les jugements d’expulsion ont augmenté de 60%, le nombre de sans logis a doublé. C’est aussi le triste record recensé de 453 morts de la rue, sur un banc ou un parvis

En savoir plus cliquez ci-dessous
http://www.cgt.fr/Mobilisons-pour-le-droit-au.html


Message de l'UD CGT 77 - cliquez ci-dessous
http://webmail22.orange.fr/webmail/fr_FR/download/DOWNLOAD_READ_PDF.html?IDMSG=62995&PJRANG=2&NAME=CGT+29+MARS+2014+CGT++CGT.pdf&FOLDER=INBOX



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24 mars 2014

Atteintes aux libertés syndicales a LECLERC de la Ferté Sous Jouarre


FLASH INFOS: UD CGT 77

&

UL CGT Coulommiers


Melun, le 24/03/2014


Soyons solidaires avec les camarades CGT
du LECLERC de la Ferté Sous Jouarre


Depuis que la CGT Leclerc de la Ferté Sous Jouarre a déclaré l’imminence de la candidature de Pierre Dore, celui-ci est mis au placard.


Actuellement dispensé de travailler (payé à rester chez lui), Pierre est victime de l’acharnement de son employeur qui cherche à faire un exemple et ainsi faire peur aux salariés qui voudraient rejoindre la CGT.


L’UD CGT 77 invite à faire des motions de soutien afin de gagner le respect du droit syndical dans l’entreprise.


En pièces jointes :
 - Un exemple de motion,
 


- La lettre ouverte de Pierre Dore à son employeur,


- Un récapitulatif des atteintes aux droits syndicaux.

Lire les 3 courriers en cliquant ci-dessous
https://ulcgt-coulommiers.blogspot.com/b/post-preview?token=DChA_EQBAAA.2BTxymBXwVFE2Ksz4iVdXQ.u3Gv2naGt8XblvVtoZmiGQ&postId=959398408983581843&type=POST


- La motion est à envoyer à :


- L’employeur : sebastien.robert@scapest.fr

 

- L’Union Locale de Coulommiers- N° fax : 01.64.20.97.84


Mail : ulcgtcoulommiers77@wanadoo.fr


  • L’Inspection du Travail – 3ème section - N° fax : 01.64.41.28.00.






 


23 mars 2014

Touche pas à mon APL


Les aides au logement étaient recalculées chaque année au 1er janvier en tenant compte du loyer du mois de juillet précédent et du barème revalorisé au 1er janvier en fonction de l’IRL. Dans sa rédaction finale, l’article 121 de la loi
de Finances 2014, indique
« le mot janvier est remplacé par le mot octobre »
En savoir plus cliquez ci-dessous
http://cgt.logement.over-blog.com/article-touche-pas-a-mon-apl-123063983.html


Si nous voulons que le gouvernement revienne en arrière, il faut réagir avec force !
cliquez ci-dessous
 
http://www.lacnl.com/Petition/Petition.php


Loi Alur : des changements
à l’allure mitigée


Devant une crise du logement sans précédent, et en tant que porte-parole des habitants, la Confédération Nationale du Logement (CNL) a été très attentive au projet de loi ALUR et s’est particulièrement mobilisée durant les débats parlementaires pour tenter de faire aller plus loin ce projet de loi.
En savoir plus cliquez ci-dessous
http://cgt.logement.over-blog.com/article-loi-alur-des-changements-a-l-allure-mitigee-123064018.html


22 mars 2014

Accord à l'arraché sur de nouvelles règles d'indemnisation pour 2,2 millions de chômeurs


Après des discussions laborieuses, le texte présenté la nuit dernière par le patronat, qui instaure notamment un système de "droits rechargeables" mais durcit le régime des cadres, seniors et intermittents pour dégager des économies, a recueilli un premier avis positif de trois syndicats (CFDT, FO, CFTC). La CGT et la CFE-CGC s'y sont opposés.
Pour en savoir plus cliquez ci-dessous
http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/p-1911-redir.htm?&rub=7&xml=newsmlmmd.urn.newsml.afp.com.20140322.37bbf589.edc1.4575.985e.d0693b4110b3.xml



Accord sur l'assurance chômage : ce qui
va changer pour les demandeurs d'emploi


Voici les principales mesures actées, qui ne remettent toutefois pas en cause le montant des allocations et les principes de base de l'assurance chômage (ouverture de droits au bout de 4 mois de travail, selon la règle du "un jour travaillé = un jour indemnisé").
Pour en savoir plus cliquez ci-dessous
http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/p-1911-redir.htm?&rub=7&xml=newsmlmmd.urn.newsml.afp.com.20140322.d6feb683.ee93.4375.a08b.236350389223.xml#


 

20 mars 2014

La manifestation du 18 mars 2014, en PHOTOS

Pour la manifestation du 18 mars, les actifs de la région Coulommiers ont encore brillé par leur absence
 

cliquez sur l'image pour agrandir















19 mars 2014

Les syndicats tirent la sonnette d’alarme : la relance est remise en cause par la baisse des salaires

L’austérité ne fonctionne pas ; il est urgent d’ouvrir une nouvelle voie pour l’Europe. C’est l’avertissement lancé aujourd’hui à Bruxelles par les dirigeants syndicaux lors d’un sommet syndical sans précédent.
« Au cours des cinq dernières années, les salaires réels ont chuté dans la plupart des pays de l’UE », affirme Bernadette Ségol, Secrétaire générale de la Confédération Européenne des Syndicats (CES).
Lire la suite en cliquant ci-dessous
http://www.etuc.org/fr/presse/les-syndicats-tirent-la-sonnette-d%E2%80%99alarme-la-relance-est-remise-en-cause-par-la-baisse-des


4 AVRIL 2014 : Journée d’action Européenne à Bruxelles


Les salariés ne sont pas responsables de la « crise » :
 ils en sont victimes !


Les inscriptions doivent se faire dès maintenant auprès de l’UL CGT de Coulommiers.

10 bis Rue DE L'AITRE,

Espace Lafayette,

77120 COULOMMIERS
TEL : 01 64 03 54 85 ou le : 09 65 04 53 58

les mardis et jeudis de 13h45 à 18h15


Mobile : Patrick : 06 73 34 65 02 / Alain : 06 18 85 64 71

Michel : 06 31 53 89 33 / Pierre : 06 70 33 73 34


OU auprès de Mary à l’UD 77


La Confédération Européenne des Syndicats a voté une résolution concernant un plan d’investissement de 2 % du PIB européen, soit 260 milliards d’euros par an pendant 10 ans.


Ce plan d’investissement vise « une nouvelle voie pour l’emploi » pour sortir de la crise, en mettant fin à l’austérité et en développant des investissements ambitieux afin de retrouver une croissance forte capable de créer 11 millions d’emplois en particulier pour les jeunes.


La Confédération Européenne des Syndicats appelle donc à une journée d’action
le 4 avril prochain.


Il s’agit de défendre la revendication d’une nouvelle orientation sociale et économique pour la politique de l’Union Européenne.


Les politiques d’austérité, la privatisation des Services Publics, la baisse des salaires et des pensions, ne fait qu’aggraver la situation des salariés.


Il est temps d’impulser un plan ambitieux à l’échelle européenne :

- Mettre fin au dumping social,


- Mettre en œuvre un plan d’investissement durable,


- Coopérer pour lutter contre la fraude et l’évasion fiscales,


- Favoriser des Services Publics de qualité sur le long terme,


- La promotion, le respect et le développement des normes sociales européennes afin de lutter contre les emplois précaires et promouvoir les emplois de qualité,


- Le renforcement du dialogue social, des négociations collectives.


La Commission Exécutive de l’Union Départementale de Seine-et-Marne du 11 mars dernier a décidé que quatre départs collectifs en cars pourraient être organisés sur le département :


- Chelles et Coulommiers,


- Melun, Sénart et Nangis,


- Montereau et Nemours,
  • Pontault-Combault, Mitry Mory
    et Marne-La-Vallée.


Un appel à la souscription et à la solidarité est adressé aux Unions Locales, aux Professions et aux Syndicats qui pourraient aider au financement de cette journée d’action.


Le coût approximatif des cars pour la manifestation à Bruxelles du 4 avril prochain serait d’environ 12 000 €, chaque structure doit prendre sa part, à la hauteur de ses moyens, à l’organisation de cette journée contre l’austérité et pour une réponse alternative à la logique du capital.


Contre l’austérité, un changement de cap est nécessaire et nous le dirons avec l’ensemble des Syndicats Européens le 4 avril.





Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...