L’État
vient de débloquer 300 millions d’euros pour que les hôpitaux
puissent continuer d’honorer les emprunts « toxiques » qui ont
fait exploser leur endettement. La fédération CGT Santé et Action
sociale dénonce les conséquences de cet endettement sur le
fonctionnement des services hospitaliers. Elle rappelle que ces
remboursements s’appuient parfois sur les banques, et d’autres
fois directement sur le budget de la sécurité sociale : « L’État
paye les banques avec nos cotisations sociales. »
Dans
un communiqué du 26 février 2015, le syndicat explique que ces 300
millions d’euros débloqués par l’État ne sont pas les
premiers,