Le
23 juillet, le Conseil constitutionnel a approuvé avec des
modifications mineures une loi de surveillance électronique
réactionnaire, qui légalise l’espionnage de masse et la rétention
des données électroniques sans l’autorisation d’un juge. La
loi, qui met en place l’infrastructure de surveillance d’un état
policier en France, a été adoptée en dépit de nombreuses
critiques de groupes de droits de l’homme.
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