Malgré des indices montrant une dissimulation au fisc français, le tribunal correctionnel de Paris dit n’avoir pas suffisamment de preuves pour condamner la famille Wildenstein et ses conseillers.
Sa décision peut « heurter », a reconnu le président Olivier Géron. Mais le tribunal correctionnel de Paris n'en a pas moins décidé la relaxe générale pour l'ensemble des prévenus de l'affaire Wildenstein , les héritiers de la famille de marchands d'art et leurs conseillers, ce jeudi 12 janvier. Une décision surprenante. « Le tribunal a parfaitement conscience que cette décision peut heurter le sens commun » alors que « les membres de la famille Wildenstein ont pris soin de dissimuler » une partie de leur patrimoine dans des trusts et que « cette volonté très clair de dissimulation (...) révèle une claire intention d'évasion fiscale », a expliqué Olivier Géron, dont le ton de voix s'est soudain fait dur.
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