Le 3 avril, les 12 aides-soignantes (soit ¼ du personnel) se déclarent grévistes. Au départ, l’épuisement, voir déjà pour certaines le burn-out : plus question de cautionner les dysfonctionnements ! Maltraitées par la direction, elles ne peuvent envisager de maltraiter les résident(e)s. Dans ces petites structures, il n’existe ni CE ni CHSCT (le rêve de Macron…).
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