Dans ce monde capitaliste où la
régression sociale généralisée offre un boulevard à
l’extrême-droite pour déverser sa haine et prospérer, honorer
nos camarades tombés sous les balles nazies et rappeler les valeurs
pour lesquelles ils se battaient, avant et pendant l’occupation,
est bien plus qu’un acte de commémoration.
C’est aussi l’occasion d’évoquer
les ressorts sociétaux, les contextes sociaux qui peuvent conduire à
l’horreur. C’est analyser la situation contemporaine et parler de
notre propre Résistance, de nos combats pour le progrès social et
contre toutes les discriminations, car comme le disait notre camarade
Lucie Aubrac, le verbe Résister doit toujours se conjuguer au
présent.
Programme des commémorations : ICI