Au micro d'Europe 1, le leader de la CGT a justifié le mouvement lancé vendredi par son syndicat, en invoquant des conditions de sécurité catastrophiques. Malgré ses blessures, le conducteur est descendu s’occuper des passagers, et il a empêché que le train qui arrive en face ne vienne les percuter", rapporte-t-il. "C’est la mise en avant des conditions de travail des agents de la SNCF."
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