Entre 1959 et aujourd’hui la part de la richesse nationale consacrée au financement des retraites a été multipliée par 2,5 (passant de 5,4 % à 13, 8%). L’effort à produire sur les 25 prochaines années est sans commune mesure : le financement de nos propositions ne requiert, que 6,32 points de PIB soit 10,5 points de cotisation sur salaire brut supplémentaire en 25 ans. Concrètement, il faudrait prélever, chaque année pendant 25 ans, 10,50 euros de plus pour un salaire mensuel brut de 2500 euros dont 6,30 financés sur la « part patronale » de la cotisation.
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