Action Logement : la participation au logement des salariés ne doit pas être détournée par l’Etat
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ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
"Je ne mange qu'une fois par jour" : des "nouveaux pauvres" racontent comment la pandémie les a fait basculer dans la précarité
Ils sont étudiant, chômeur, intérimaire, chauffeur de VTC... Avec le Covid-19, ils ont perdu leur filet de sécurité. Ils ont accepté de témoigner pour franceinfo. Ils ne font pas l'objet du décompte quotidien du ministère de la Santé. Ils ne sont pas passés par les services de réanimation. Souvent, même, ils n'ont pas été malades. Pourtant, eux aussi sont victimes de l'épidémie de Covid-19. Eux ? Ces "nouveaux pauvres", que la crise a jetés dans la précarité. ICI
Plan de relance : l'État récompensera les maires bâtisseurs
Face à la hausse persistante des prix de l'immobilier, le gouvernement décline son "quoiqu'il en coûte" au niveau local, en enjoignant les maires à construire plus de logements, "avec quelques étages" s'il le faut, comme l'explique la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon. Les élus qui bâtiront au-delà d'un certain seuil, qui reste à fixer, seront même récompensés par une aide financière.
« Le plan social de Nokia doit être contesté au-delà des mots »
Le secrétaire général de la CGT propose un « plan de rupture » pour relancer l’économie. Philippe Martinez recommande une implication plus forte de l’État dans l’économie, notamment pour éviter les plans sociaux comme chez Nokia à Lannion (22).
Temps de travail : les sophismes à rallonge du Medef
Un doux parfum de rentrée plane sur le pays. Le ciel se grise et le Medef veut que les Français travaillent plus. N’était la circulation toujours menaçante du coronavirus, on jurerait que tout est en ordre. Il faut croire que le« patron des patrons », Geoffroy Roux de Bézieux, n’a pas été si refroidi que ça par l’accueil timide réservé à son avant-dernier ballon d’essai, en plein confinement. « Il faudra bien se poser tôt ou tard la question du temps de travail, des jours fériés et des congés payés », avait-il lancé en avril, trouvant quelque écho au sein du gouvernement, mais se heurtant aussitôt à un mur syndical.
UNE AUGMENTATION POUR LES PREMIERS DE CORVÉE
Objectif : encourager la consommation
Améliorer le sort de nos concitoyens qui sont en première ligne dans la pandémie : c'était au printemps un engagement moral du président de la République. Partiellement tenu à l'endroit des soignants et des personnels du médico-social, qui ont bénéficié d'augmentations de traitements.
Mais pour les autres ? La caissière, le chauffeur de bus, l'éboueur, la cuisinière… Le versement de primes éphémères ne suffira pas à relever leur pouvoir d'achat !
L'État ne peut pas tout, c'est entendu.
Pour autant, dans un contexte incertain de crise sanitaire où les dirigeants économiques pétrifiés n'oseront guère booster les petits salaires, le gouvernement peut les aider en donnant un coup de pouce au smic, qui n'a été augmenté que d'un petit 1,2 % en janvier. Même Xavier Bertrand, le président des Hauts-de-France, convient que sur ce point Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, qui réclame cette augmentation, « n'a pas totalement tort ».
C'est dire. Certes, l'ancien ministre du Travail, tout occupé à préparer sa candidature à la présidentielle, préférerait une hausse du smic net, soit une énième baisse des cotisations sociales mais, au moins, il ouvre le débat.
Une certitude : cet argent-là ne dormira pas sur des comptes bancaires.
Dépensé, il soutiendrait la consommation des Français, et donc, l'activité du pays.
CGT, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, UNEF et UNL Une rupture profonde s’impose !
La rentrée sociale revêt un caractère tout à fait inédit à plus d’un titre. Aux conséquences humaines de la crise sanitaire, s’ajoutent des mesures régressives portées par le Gouvernement. Celles et ceux qui travaillent et produisent les richesses, dont les salariés qui ont été particulièrement exposés et mis à contribution pendant le confinement, sont les premiers à payer les velléités d’employeurs qui annoncent licenciements et délocalisations. Pendant ce temps, ils maintiennent le versement de dividendes pour les actionnaires et exigent de nouvelles exonérations de cotisations sociales et des baisses d’impôts.
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franceinfo : "Le masque devrait être gratuit à l'école et dans les entreprises", estime Philippe Martinez
Le secrétaire général de la CGT demande que des pauses supplémentaires soient accordés aux salariés qui exercent des métiers pénibles avec un masque. "Le masque devrait être gratuit, à l'école, dans les entreprises", a estimé Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, mercredi 26 août sur franceinfo, ajoutant qu'il faut selon lui que "la fourniture de masques soit en nombre suffisant dans les entreprises". Le gouvernement a annoncé que le port du masque en entreprise devient obligatoire à partir du 1er septembre, sauf dans les bureaux individuels, pour lutter contre l'épidémie de coronavirus.
La rentrée sociale de la CGT
Le 27 août 2020
Priorité à la santé, organisation du travail, redémarrage de l'économie, etc. Angeline Barth, dirigeante CGT, nous explique comment s'annonce la rentrée.
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Mes droits syndicaux en Très Petite Entreprise
Comment défendre ses droits lorsqu'on travaille dans une petite entreprise ? Qui contacter en cas de problème ? Comment se syndiquer ? NVO Droits répond aux questions des salariés des TPE.
Livre blanc Salariés des très petites entreprises
visitez le site de la CGT dédié aux TPE : cgt-tpe.fr !
Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...