« Ceci n’est pas un logement » : en Seine-Saint-Denis, la préfecture affiche les propriétaires contre l’habitat indigne
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« Ceci n’est pas un logement » : en Seine-Saint-Denis, la préfecture affiche les propriétaires contre l’habitat indigne
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🔎 Synopsis : Pouvait-on gagner la bataille contre le coronavirus avec un hôpital public à bout de force ? Depuis des années, l’exécutif supprime des milliers de lits. Les soignants tirent le signal d’alarme, sans être entendus. En 2018, Emmanuel Macron lâchait à des infirmières épuisées : « Il n’y a pas d’argent magique ».
Malgré les milliards promis par le ministre de la Santé dans le cadre du Ségur, l’enveloppe accordée chaque année aux hôpitaux ne leur permet pas de faire face aux besoins de soins croissants des Français.
Les maisons de retraites sont gérées par des consortiums mafieux
Ce sont des consortiums mafieux qui organisent pour leur propre compte la marchandisation du grand âge et de ses souffrances. Qui pourrait se permettre de négliger la rentabilisation de cette niche intermédiaire entre la vie et la mort ?
Accidents du travail : moins d'accidents... déclarés ?
Pour chaque nouvel accident du travail mortel, il interpelle la ministre du Travail.
Ces chiffres officiels ont considérablement baissé depuis les années 50, où ils étaient quatre fois plus élevés. Pourtant ils sont bien inférieurs à la réalité.
Tout d'abord ils ne prennent en compte ni les fonctionnaires ni les travailleurs indépendants.
Par ailleurs, cette diminution est « largement due à une sous-déclaration des employeurs. » dénonce Jérôme Vivenza, qui représente les salariés au sein du Comité national de prévention et de santé au travail.
Quand un accident du travail survient, c'est à l'employeur de le déclarer à la Caisse Primaire d'Assurance Maladie (CPAM) sous 48 heures.
Toutefois, s'il n'accomplit pas cette démarche, le salarié peut déclarer lui-même cet accident dans un délai de 2 ans.
Bien souvent, « l'employeur fera tout pour que le salarié ne le déclare pas » dénonce Jérôme Vivenza.
Les petites entreprises quant à elles sont tenues par les contrats que leur font signer leurs donneurs d'ordre à ne pas dépasser un certain nombre d'accidents du travail.
Dans la plupart des cas, observe Jérôme Vivenza, « si on demande aux collègues pourquoi il y a eu un accident, ils nous répondent « on savait que ça arriverait un jour. ». » Il plaide donc en faveur d'un respect du droit d'expression et d'action des travailleurs sur leur travail.
ORPEA : DES FORTUNES AMASSÉES SUR LA MALTRAITANCE DES PERSONNES ÂGÉES
Loire-Atlantique : face aux négociations « insuffisantes », les grévistes de Tipiak ne lâchent rien
Après une semaine de grève, les salariés de Tipiak Pontchâteau restent mobilisés après trois réunions de négociation avec la direction qui avancent à petit pas.
Profits des entreprises : les sociétés de plus de 50 personnes doivent reverser une partie de leurs bénéfices à leurs salariés
Malgré la crise, plusieurs grandes entreprises françaises ont réalisé d’énormes profits l’an dernier. Alors à l’avenir, ces profits vont-ils systématiquement bénéficier aux salariés ?
«200 balles ou pas de Rafale !» : le bras de fer des salariés de Dassault en Haute-Savoie
Des salariés de Dassault Aviation à Argonay (Haute-Savoie) retardent depuis plusieurs semaines la production pour réclamer une revalorisation salariale.
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Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...