9 octobre 2022

 Joué-lès-Tours : la hausse des charges gelée temporairement par Val Touraine Habitat



 Après une réunion entre Val Touraine Habitat, les associations de locataires et des représentants du collectif d'habitants, décision a été prise d'annuler la quittance de loyer de septembre et de revenir au tarif précédent. Une décision provisoire. 


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7 octobre 2022

 ALERTE : « Les APL ne suivent plus l’augmentation des loyers »



Selon une étude de l’Union sociale pour l’habitat (USH) publiée à l’occasion du Congrès HLM, l’évolution des aides au logement ne suivrait pas celle des loyers, accentuant les difficultés des plus modestes.  Baisse de 5 euros, absence de revalorisation… Depuis plusieurs années, le montant des aides personnalisées au logement (APL) plafonne alors que les loyers augmentent. 


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 Complémentaires retraite : travailler plus longtemps pour de plus petites retraites ?


 LES NÉGOCIATIONS DE LA RETRAITE COMPLÉMENTAIRE SE TIENNENT AUJOURD'HUI, JEUDI 6 OCTOBRE ENTRE SYNDICATS ET MEDEF, AVEC UN CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L'AGIRC-ARRCO, LA CAISSE DE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE OBLIGATOIRE DU PRIVÉ. LA CGT APPELLE À MANIFESTER DEVANT LE SIÈGE DE L'AGIRC-ARRCO À PARIS OÙ DEVRAIT SE DÉCIDER LE NIVEAU D’AUGMENTATION DU POINT RETRAITE.


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4 octobre 2022

 Camaïeu : 2 600 salariés plongés dans l’angoisse


 

Textile Les 511 magasins du groupe de prêt-à-porter ferment définitivement leurs portes après le placement en liquidation judiciaire de l’entreprise.  Ce samedi soir, à l’heure de la fermeture, les lumières des magasins Camaïeu se sont définitivement éteintes. Le tribunal de commerce de Lille a prononcé la liquidation judiciaire du géant nordiste du prêt-à-porter. Pour ses 2 600 salariés,


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1 octobre 2022

 Contre le budget "logement de misère" de l'Etat, rassemblement 7 Octobre 14H Bercy


 Le pouvoir d’achat des ménages est durement impacté par la hausse brutale des charges logement, la cherté du logement et les ponctions de l’état sur les APL, et dans les caisses des HLM et d’Action logement.  La hausse de loyer de 3,5% à partir du 1er octobre, la hausse des charges tout au long de l’année, et la hausse des charge collectives non protégées par le bouclier énergie (eau, lumière, ascenseurs, chauffage collectif) en HLM mais aussi dans le privé, menacent beaucoup de locataires et d’habitants déjà accablés par l’inflation :


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27 septembre 2022

 Action logement : une décision inacceptable et un affront au paritarisme


 Le gouvernement veut ponctionner Action Logement de 300 millions d'euros dans le projet de loi de finances pour 2023. Les partenaires sociaux, responsables paritairement de cet organisme qui gère l’ancien « 1 % logement » au profit du logement des salariés, ne peuvent accepter un tel prélèvement.


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26 septembre 2022

 Logement : les APL jouent de moins en moins leur rôle auprès des plus modestes


Selon une étude de l'Union Sociale pour l'Habitat, les aides personnalisées au logement ont insuffisamment suivi l'évolution des loyers ces dernières années. Au fil du temps, elles ont ainsi perdu de leur capacité à solvabiliser leurs bénéficiaires.


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Le rapport de l’Ancols qui charge le bailleur Vauclusien qui veut privatiser l'Office Public Vallis habitat



 Dans quelques jours, l’absorption de l’Office Public Vallis Habitat par la société privée Grand Delta Habitat sera proposée aux élus du Conseil Départemental. Pour justifier ce choix politique contesté, la Présidente du Département Dominique Santoni a pointé du doigt les défaillances de son Office Public et à contrario, a souligné le sérieux et la rigueur de gestion de Grand Delta Habitat. Cette perception manichéenne est répandue dans la presse locale et dans le microcosme politique Vauclusien. Elle s’est renforcée ces dernières années grâce à l’excellente notation de Grand Delta Habitat par l’agence controversée*, Standard & Poor’s. En 2018, la très officielle Agence nationale de contrôle du logement social (Ancols) a rendu un rapport sans concession sur le bailleur, qui bizarrement est passé totalement inaperçu. 

25 septembre 2022

PIERRE MADEC, ÉCONOMISTE : « ON ARRIVE DANS UNE FORME DIRECTE DE FINANCIARISATION DU LOGEMENT »


Si la notion de « pouvoir d’habiter » interroge avant tout la relation des citoyens à leur habitat, d’autres acteurs financiers occupent des places centrales dans l’écosystème global du logement, notamment au niveau de la construction.  Face à une crise qui dure depuis déjà des décennies, les objectifs sont de plus en plus ambitieux, et les besoins de financements toujours plus prégnants.  Alors que l’État, principal moteur des politiques de logement abordable, cherche à réduire ses propres investissements dans ce secteur, la question d’une financiarisation progressive du modèle économique de l’habitat social devient de plus en plus brûlante.


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24 septembre 2022

 Assurance-chômage, un enjeu pour tout le monde du travail



Un an à peine après la mise en œuvre d’une réforme violente de l’assurance-chômage, le gouvernement veut en imposer une nouvelle, sans même avoir évalué la précédente. Rappelons que seul·e·s 36 % des privé·e·s d’emploi sont indemnisé·e·s, un chiffre en chute libre. Rappelons que 6 à 8 millions de personnes sont privées d’emploi, alors que le droit au travail est inscrit dans la constitution. On est bien loin des « profiteurs » que nous dépeignent gouvernement et patronat. Pour contourner l’opposition unanime des organisations syndicales à un nouveau recul des droits, le gouvernement a annoncé une simple concertation, en lieu et place de la négociation prévue par la loi. De même pour le Parlement, dont le rôle se limitera à signer un chèque en blanc, en autorisant le gouvernement à légiférer par décret sur l’assurance-chômage. Un hold-up démocratique !

Le gouvernement veut pouvoir moduler la durée d’indemnisation en fonction du taux de chômage. L’objectif : baisser, une nouvelle fois, les durées d’indemnisation pour contraindre les privé·e·s d’emploi à accepter n’importe quel boulot, quel que soit le salaire ou la localisation géographique. Résultat : le déclassement pour les plus qualifié·e·s, le chômage et la précarité pour les autres. Une mauvaise réponse à une vraie question. Les difficultés de recrutement sont réelles, mais limitées. Elles concernent les secteurs marqués par des salaires faibles, des horaires atypiques et des conditions de travail difficiles (aides à domicile, chauffeurs de cars, BTP…). Ou des profils qualifié·e·s, dans la santé, le social ou l’informatique, pour lesquels la pénurie s’explique par un déficit d’anticipation en matière de formation et une attractivité en berne du fait de salaires trop faibles et d’une perte de sens… Surtout, ces difficultés de recrutement ponctuelles ne doivent pas occulter l’augmentation des licenciements, qui sont aujourd’hui 11 % plus élevés qu’en 2019 ! La mise en place de droits « contracycliques », variant en fonction de la conjoncture, vise donc à faire baisser les salaires et à dégager de nouvelles économies.

En 2022, les comptes de l’assurance-chômage sont pourtant excédentaires de 2,2 milliards ! Il s’agit d’une rupture avec le principe contributif, au fondement de l’assurance-chômage, qui garantit aux salarié·e·s qui perdent leur emploi le maintien de leur niveau de vie. Le résultat direct de la réforme de 2019, qui a remplacé les cotisations salariales chômage par la CSG. Comme l’a toujours dit la CGT, modifier le financement change la philosophie du système. On passe de droits acquis par les cotisations versées, le « salaire socialisé », à des prestations financées par l’impôt, la « solidarité nationale », et donc conditionnées, plafonnées et versées aux plus nécessiteux… que l’on pourra ensuite aisément montrer du doigt. La fabrique de ce que les libéraux appellent « l’assistanat ».

Cette modification de financement s’accompagne d’un changement démocratique : alors que les règles de l’assurance-chômage étaient définies par accord entre patronat et syndicat, elles seront désormais directement définies dans le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS), adopté par le Parlement ou par 49-3. Voilà ce que l’on appelle l’étatisation du système. C’est pour empêcher ce hold-up sur nos droits que la CGT revendique un financement par la cotisation. Plus le système est universel, mieux il protège les plus faibles. La preuve : intégrer les cadres sup qui gagnent plus de 13 000 euros à l’assurance-chômage en soumettant l’ensemble de leurs salaires à cotisation et en leur garantissant des allocations dégagerait 800 millions d’euros de ressources annuelles supplémentaires pour le régime ! 

Rendez-vous le 29 septembre pour exiger le retrait de cette réforme !

Par Sophie Binet, secrétaire générale de l’Ugict-CGT 

Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...