25 octobre 2022

 




Et c'est reparti pour... deux petits tours avant la grande explication attendue cet hiver sur la réforme des retraites. Ce vendredi, la CGT a fixé deux nouvelles dates pour des journées de grève et de mobilisation nationales et interprofessionnelles, les 27 octobre et 10 novembre, pour réclamer au patronat des augmentations de salaires et au gouvernement un changement de politique économique : augmentation du smic (la CGT exige 2 000 euros brut par mois)


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23 octobre 2022

AUX ORIGINES DE L’EFFONDREMENT DU SERVICE PUBLIC DE SANTÉ


Le système de santé français a longtemps fait office d’exemple à l’international, au début des années 2000 il était même considéré comme le meilleur au monde. A la suite d’une destruction incrémentale du fondement même de notre système de santé, quel que soit les majorités gouvernementales, celui-ci est dorénavant à l’agonie. Les déserts médicaux progressent et l’hôpital public est au bord de l’implosion du fait de la diminution du nombre de lits, l’introduction en force du Nouveau management public et la dégradation des conditions de travail entraînant le départ en masse de personnels soignants épuisés et écœurés.


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ON PEUT TOUT RECONSTRUIRE : TRAVAIL, POUVOIR, SOCIÉTÉ, FINANCE, ÉCONOMIE – Emmanuel Dockès


Emmanuel DOCKÈS est professeur de droit à l’université de Lyon, spécialiste du droit du travail. Il est également co-fondateur de l’université populaire de Lyon. Olivier Berruyer le reçoit aujourd’hui sur Élucid pour parler de son roman : « Voyage en misarchie: 


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21 octobre 2022

 Un PLFSS 2023 sans moyens qui va aggraver une situation déjà catastrophique !


Le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) pour 2023, en débat à l’Assemblée nationale, est relativement sans surprise puisqu’il s’inscrit dans l’objectif de 3 % du pacte de responsabilité imposé par le Gouvernement.


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Victoire pour l’indépendance de l’inspection du travail et le monde du travail !


COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUN UFSE ET CONFÉDÉRATION

  Aujourd’hui, le tribunal administratif de Nancy a annulé la sanction disciplinaire infligée à notre camarade Anthony Smith, inspecteur du travail. C’est une grande victoire pour le monde du travail et l’indépendance du travail garantie par l’Organisation Internationale du Travail ! Cette décision confirme le caractère purement politique de cet acharnement du gouvernement. En pleine première vague du Covid, quand le gouvernement estimait les masques inutiles, Anthony Smith n’a fait que son travail de protection de la santé et des droits des travailleuses et travailleurs. En l’occurrence, il exigeait des masques FFP2 et moyens de protection pour des aides à domicile.



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L'indexation des salaires sur les prix : l'exemple Belge


Thierry Bodson, président du syndicat Belge, FGTB, explique le fonctionnement de l'indexation automatique des salaires sur les prix.


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Près de Bernay. Mouvement de grève chez Brico Dépôt

Des salariés du magasin Brico Dépôt de Carsix (Eure) ont débuté un mouvement de grève ce jeudi 20 octobre pour demander une augmentation immédiate de leur rémunération. 


Derrière une banderole sur laquelle était inscrit le mot d’ordre « Brisons nos chaînes, les miettes, ça suffit », Lucie Bastien, hôtesse d’accueil et secrétaire du syndicat CGT au dépôt de Carsix, explique les raisons de ce mouvement :


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20 octobre 2022

        CGT Confédération Générale du Travail

18 octobre 2022




COMMUNIQUÉ DE PRESSE


Toujours plus mobilisés pour l’augmentation générale des salaires et pensions


Ce 18 octobre 2022, journée de mobilisation interprofessionnelle unitaire, pour l’augmentation des salaires, des pensions et minima sociaux, pour la défense de nos retraites et du droit grève, près de 180 manifestations de proximité ont permis à 300 000 personnes de se rassembler, partout en France. 450 à Gap, 2500 à Pau, 7000 à Bordeaux, 10 000 au Havre, 70 000 à Paris.


Dans les suites de la journée du 29 septembre, les salariés des raffineries ont décidé de la poursuite de leur mouvement face aux propositions insuffisantes de leur direction.


Leur haut niveau de mobilisation a contraint le gouvernement à recourir à des réquisitions absolument inacceptables portant atteinte au droit constitutionnel de grève. Les ministres comme les médias ont tenté en vain de discréditer ces grèves plus que légitimes. Les salariés ont donc aussi manifesté, ce jour, pour défendre le droit de grève de toutes et tous.


La question centrale, remise au cœur du débat par la CGT depuis des mois, l’augmentation générale des salaires, a donc mobilisé de nombreux salariés, issus de secteurs très différents : livreurs chez Amazon, aides à domicile en ADMR, ouvriers chez Nestlé Purina, agente clientèle à la SNCF, décoratrice au théâtre d’Annecy…


Leur point commun, c’est leur détermination à être entendu par le gouvernement et le patronat pour imposer un autre partage des richesses créées par leur travail. Leur message est clair : il faut arrêter d’enrichir le capital au détriment des salariés qui, eux, portent l’économie du pays.


Cela s’est vérifié avec des taux forts de grève, comme 95% chez VISKSE à Compiègne, 97% chez MAGNETI MARELLI, à Argentan, la fermeture de tous les accueils CAF en Haute-Garonne ou bien encore 60% de grévistes dans les lycées professionnels et bien d’autres.


Si les premières victoires nous remontent – avec, par exemple, les 50% de grévistes des transports Breger à Laval qui, dès leur premier jour de grève, ont obtenu une augmentation générale de 6,9% – nous devons enfoncer le clou pour mobiliser et gagner partout.


En effet, nos salaires, pensions et allocations ne suffisent plus, aujourd’hui, pour faire face aux différentes hausses : +8% dans l’alimentaire, +15% pour les transports et +22% pour l’énergie.


Pour faire face à nos besoins immédiats mais aussi pour financer nos retraites ou notre système de protection sociale, c’est bien le niveau de nos salaires qui compte.


À l’heure où les premières factures d’électricité vont arriver, la précarité gagne du terrain. L’urgence sociale ne semble pas être le logiciel de la majorité qui préfère durcir les conditions d’accès à l’assurance-chômage et refuse de taxer les superprofits.


Les solutions immédiates passent par l’augmentation générale des salaires, pensions et minima sociaux. Cela passe par la revalorisation immédiate du Smic à 2000 euros brut, la remise en place d’une échelle mobile des salaires et, a minima, une indexation des salaires et pensions sur l’inflation.


La CGT continue sans attendre à travailler au rassemblement de tous les travailleurs et travailleuses, pour donner des suites rapides à cette mobilisation d’ampleur et décider, avec eux, des modalités d’action à venir. Il est de notre responsabilité de gagner pour toutes et tous des augmentations générales de salaire conséquentes.


Montreuil, le 18 octobre 2022





19 octobre 2022

Toujours plus mobilisés pour l’augmentation générale des salaires et pensions


Ce 18 octobre 2022, journée de mobilisation interprofessionnelle unitaire, pour l’augmentation des salaires, des pensions et minima sociaux, pour la défense de nos retraites et du droit grève, près de 180 manifestations de proximité ont permis à 300 000 personnes de se rassembler, partout en France. 450 à Gap, 2500 à Pau, 7000 à Bordeaux, 10 000 au Havre, 70 000 à Paris.


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Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...