ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
5 février 2023
Le programme de la semaine prochaine : toutes les dates, tous les lieux
LA LUTTE CONTINUE POUR NOS RETRAITES !
MARDI 7 FEVRIER
L'Union Locale CGT de Coulommiers met à disposition des cars pour la manifestation parisienne (Opéra). Départ à 11h30 cours Gambetta face au Crédit agricole. Réservez par SMS au 06 73 34 65 02 en indiquant votre nom et le nombre de passagers et en précisant « MARDI ». Participation libre au car.
62 ans c'est déjà trop. 64 ans, c'est NON !
SAMEDI 11 FEVRIER
1) Manifestation dans les rues de Coulommiers. Départ à 10h00 depuis le parking de l'espace Lafayette (face au centre Joséphine Baker)
2) L'Union Locale CGT de Coulommiers met à disposition des cars pour la manifestation parisienne ( République). Départ à 11h00 cours Gambetta face au Crédit agricole. Réservez par SMS au 06 73 34 65 02 en indiquant votre nom et le nombre de passagers et en précisant «SAMEDI». Participation libre au car.
Union locale CGT de Coulommiers
10 bis rue de l'aître Espace Lafayette
77120 COULOMMIERS
ulcgtcoulommiers77@orange,fr
Retraites : comment fonctionnent les régimes des députés et des sénateurs, et seront-ils concernés par la réforme ?
Le régime de retraites des députés est aligné depuis 2018 sur le régime de la fonction publique d'Etat. De leur côté, les sénateurs disposent de leur propre caisse de retraite depuis 1905. Les parlementaires seront-ils logés à la même enseigne que le reste de la population ? Les députés réunis en commission des Affaires sociales à l'Assemblée ont validé l'article 1er de la réforme des retraites. Celui-ci prévoit la disparition de la plupart des régimes spéciaux, dont ceux de la RATP, des industries électriques et gazières et de la Banque de France.
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Réforme des retraites : à Paris, des manifestantes révoltées et déterminées
Pour la deuxième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, mardi 31 janvier, 2,8 millions de personnes ont manifesté en France, dont 500 000 à Paris, selon la CGT, alors que la police évoque 1,2 million de manifestants dans le pays et 87 000 dans la capitale. Au-delà des habituelles batailles de chiffres, le nouvel appel à la grève et à la manifestation lancé par l'intersyndicale a été particulièrement suivi. Dans le cortège parisien, jeune et dynamique, de nombreuses femmes ont défilé, après avoir appris dans l'étude d'impact diffusée par le gouvernement que le décalage de l'âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans risquait de les pénaliser particulièrement.
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Exportations : l’agriculture française en alerte rouge
Dès 2023, la France pourrait importer plus de produits agricoles qu’elle n’en exporte. Du jamais vu ! Problème : certaines importations ne respectent pas les normes sanitaires françaises. Pourtant championne en Europe avec une production très supérieure à celle de l'Allemagne, l'Italie ou l'Espagne, l'agriculture française est dans une situation de plus en plus alarmante? Tel est en tout cas le sombre constat formulé fin mai par les sénateurs du groupe d'études. « Agriculture et Alimentation »
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4 février 2023
Kookaï, Camaïeu, Pimkie… Pourquoi le prêt-à-porter français s’effondre ?
Après la crise du Covid-19 et dans un contexte d’inflation généralisé, plusieurs enseignes françaises de prêt-à-porter de moyenne gamme ont montré des difficultés. Après Kookaï, c'est GoSport qui a annoncé son placement en redressement judiciaire. Comment expliquer une telle situation ? Europe 1 fait le point.
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3 février 2023
Les organisations syndicales veulent durcir le rapport de force
Deux nouvelles mobilisations sont déjà prévues dans le cadre de l’intersyndicale, pour le mardi 7 et le samedi 11 février. Accélérer le tempo et élargir la contestation. Après une deuxième journée nationale d’action contre la réforme des retraites qui a drainé, mercredi 31 janvier, un nombre record de manifestants, les huit principaux syndicats de travailleurs et cinq mouvements de jeunesse veulent encore durcir le rapport de force avec le gouvernement. Ils ont annoncé deux nouvelles mobilisations pour le mardi 7 et le samedi 11 février.
Logement, un échec français
Plus de 4 millions de personnes sont mal logées en France, selon le dernier rapport de la Fondation Abbé-Pierre publié ce 1er février 2023.
On aborde toujours le dossier du logement par le mauvais bout, c’est-à-dire par les statistiques. Avant de se pencher sur les chiffres, il est important de se représenter les situations humaines. Les familles, les mères isolées, les enfants, les personnes âgées, les migrants. Les pièces surpeuplées, le mauvais sommeil, la crasse, les odeurs, le froid. Les fins de mois impossibles, les huissiers. La rue. Alors seulement, on peut commencer à se pencher sur le dernier rapport de la Fondation Abbé-Pierre, rendu comme chaque année le 1er février, jour anniversaire de l’appel de l’hiver 1954. Qu’y lit-on ? Que l’on compte en France 4,1 millions de personnes mal logées. Et qu’on estime à 330 000 le nombre de personnes sans domicile, soit plus du double qu’en 2012.
À lire aussi La Fondation Abbé-Pierre appelle le gouvernement à « faire du logement une priorité »
On peut certes se désoler de politiques publiques à courte vue ou trop souvent incantatoires. Mais cet échec n’est pas uniquement celui des gouvernements successifs. Il est celui de toute la communauté nationale. Il semble que nous souffrions d’une forme collective d’accoutumance. Comme si nous prenions le mal-logement pour une donnée, un état de fait contre lequel on ne pourrait rien. Comme si par exemple il n’y avait pas en France plus de 3 millions de logements vacants, dont plus de 100 000 directement habitables. Comme s’il était impossible d’orienter davantage l’énorme quantité d’épargne disponible vers la construction. Quand la Fondation Abbé-Pierre appelle à la « mobilisation générale », il ne s’agit pas d’un slogan : des particuliers aux associations, des bailleurs professionnels aux pouvoirs publics, tout le monde doit agir à son échelle. C’est à cette seule condition que la France peut espérer sortir un jour d’une forme de culture du mal-logement.
Fondation Abbé-Pierre : le nombre de personnes sans domicile a doublé en dix ans
Les faits
Selon le rapport annuel de la Fondation Abbé-Pierre publié mercredi 1er février, 330 000 personnes sont sans domicile en France, un nombre qui a plus que doublé en dix ans. Plus de 4 millions de personnes sont mal-logées, selon la même évaluation.
Sans abri, en hébergement d’urgence ou en centre pour demandeurs d’asile, les personnes sans domicile ont vu leur nombre augmenter de près de 130 % depuis 2012, date de la dernière étude de l’Insee à ce sujet, estime la fondation. « C’est encore une estimation assez conservatrice », a assuré lors d’une présentation à la presse le directeur des études de la fondation, Manuel Domergue.
Au total, 4,15 millions de personnes sont mal-logées, estime la fondation, qui calcule ce nombre à partir d’une enquête de l’Insee de 2013. Dans cette catégorie sont comptabilisées les personnes en hébergement contraint chez des tiers (y compris leur famille, pour les plus de 25 ans), ainsi que celles vivant dans un lieu beaucoup trop petit ou privé du confort de base (cuisine, toilettes, chauffage…). Une large part des « gens du voyage », subissant de mauvaises conditions d’habitat, entre également dans cette catégorie.
12 millions de personnes en situation de fragilité
Le « halo » du mal-logement, qui regroupe les situations de fragilité comme la précarité énergétique ou les impayés de loyer, concerne 12,1 millions de personnes, selon les calculs de la FAP à partir de données de 2013.
On y trouve les ménages « appauvris par des niveaux de loyer insoutenables », les personnes ayant eu froid chez elles faute d’avoir les moyens de se chauffer, celles obligées de vivre dans un logement trop petit, les locataires avec des impayés et les propriétaires dans une copropriété en difficulté.
Une bonne retraite pour tou·tes, plutôt qu’une rente pour le capital
C’est le travail qui doit financer la protection sociale et les retraites à travers les cotisations sociales. Avec sa réforme des retraites, le gouvernement prétend défendre un projet de justice, d’équilibre et de progrès social. Rien n’est moins vrai et nombreux sont les travailleuses et les travailleurs qui l’ont déjà compris, puisque 72% des français·es y sont désormais opposé·es, en progression de 13% sur deux semaines.
Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !
Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...
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