Communiqué de presse des organisations syndicales du Siège
CFDT – FO – CGT- CFTC – SUD
Plus de 200 agents avec les organisations syndicales du Siège CFDT – FO – CGT- CFTC – SUD se sont rassemblées contre le démantèlement du Siège AP-HP le jeudi 18 février en assemblée générale.
La Direction Générale de l’AP-HP s’attaque au Siège.
Sous couvert d’économies, elle va éliminer la richesse, la compétence reconnue internationalement et l’unicité de l’AP-HP :
Avec l’alibi du projet MOSI –(Modernisation du Siège) elle prévoit la délocalisation des locaux et des personnels,
La suppression d’environ 600 postes d’agents est annoncée.
Elle nous assène par un discours mensonger sur un « déficit financier » la justification de ce démantèlement.
La Direction Générale met en place les externalisations de certains services « rentables » qui permettent actuellement à l’AP-HP de s’autofinancer. C’est l’élimination pure et simple du Siège.
C’est inacceptable, alors que celui-ci a une plus-value, un vrai savoir-faire !.
Le démantèlement du Siège, symbole de l’unicité de l’AP-HP, remet en cause le statut de tous les personnels.
Les organisation syndicales du Siège CFDT – FO – CGT- CFTC – SUD du Siège AP-HP refusent la destruction du Siège et exigent le maintien de ce dernier, de toutes ses fonctions, de tous ses services et de ses emplois.
Les organisations syndicales du Siège CFDT – FO – CGT- CFTC – SUD du Siège AP-HP appellent à une nouvelle assemblée générale le jeudi 11 mars 2010.
Paris, le 18 février 2010
ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
19 février 2010
16 février 2010
LE 23 MARS 2010. JOURNEE DE GREVE ET DE MANIFESTATIONS DANS TOUT LE PAYS
COMMUNIQUE COMMUN CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA
Lors du sommet social qui s’est tenu aujourd’hui, le président de la République s’est limité à annoncer une série de rendez-vous. Les organisations syndicales continuent de manifester leur profonde inquiétude sur l’emploi, le pouvoir d’achat et les retraites.
Le gouvernement n’a apporté aucune réponse concrète sur l’emploi, les salaires, le pouvoir d’achat, les conditions de travail et les politiques publiques. Il renvoie la question des chômeurs en fin de droits à une concertation avec le secrétaire d'État à l’emploi.
Alors que les organisations syndicales ont récemment dénoncé les atteintes au statut général des fonctionnaires, le gouvernement ne dit rien non plus sur le malaise dans la Fonction publique. Au nom de la révision générale des politiques publiques, il supprime des emplois au détriment des missions des services publics.
La dégradation des conditions de travail et de l’emploi touche les salariés du privé comme du public.
Concernant les retraites, avec un projet de loi annoncé dès septembre 2010, le calendrier reste très serré. Les organisations syndicales affirment leur volonté d’agir pour que le débat sur les retraites, prenne en compte l’ensemble des questions tant au niveau du privé que du public, notamment le niveau des pensions, l’emploi, le financement, la pénibilité, le code des pensions et la réduction des inégalités.
Les rendez-vous fixés par le président de la République et les négociations avec le patronat doivent être l’occasion d’apporter des solutions favorables aux salariés. La situation économique et sociale nécessite l’intervention convergente des salariés du public comme du privé, des retraités, des privés d’emplois, pour porter avec force leurs attentes et défendre leurs intérêts communs.
C’est pourquoi les organisations syndicales décident d’une mobilisation inter-professionnelle unitaire afin de peser sur ces différents rendez-vous. Elles décident ensemble d’une journée qui donne lieu à des grèves et des manifestations dans tout le pays le 23 mars.
Les organisations syndicales réaffirment que la sortie de crise passe par des mesures en faveur de l’emploi, des salaires et pensions, une fiscalité plus juste, des politiques publiques en faveur d’une relance économique respectueuse des impératifs écologiques.
Le 15 Février 2010
Lors du sommet social qui s’est tenu aujourd’hui, le président de la République s’est limité à annoncer une série de rendez-vous. Les organisations syndicales continuent de manifester leur profonde inquiétude sur l’emploi, le pouvoir d’achat et les retraites.
Le gouvernement n’a apporté aucune réponse concrète sur l’emploi, les salaires, le pouvoir d’achat, les conditions de travail et les politiques publiques. Il renvoie la question des chômeurs en fin de droits à une concertation avec le secrétaire d'État à l’emploi.
Alors que les organisations syndicales ont récemment dénoncé les atteintes au statut général des fonctionnaires, le gouvernement ne dit rien non plus sur le malaise dans la Fonction publique. Au nom de la révision générale des politiques publiques, il supprime des emplois au détriment des missions des services publics.
La dégradation des conditions de travail et de l’emploi touche les salariés du privé comme du public.
Concernant les retraites, avec un projet de loi annoncé dès septembre 2010, le calendrier reste très serré. Les organisations syndicales affirment leur volonté d’agir pour que le débat sur les retraites, prenne en compte l’ensemble des questions tant au niveau du privé que du public, notamment le niveau des pensions, l’emploi, le financement, la pénibilité, le code des pensions et la réduction des inégalités.
Les rendez-vous fixés par le président de la République et les négociations avec le patronat doivent être l’occasion d’apporter des solutions favorables aux salariés. La situation économique et sociale nécessite l’intervention convergente des salariés du public comme du privé, des retraités, des privés d’emplois, pour porter avec force leurs attentes et défendre leurs intérêts communs.
C’est pourquoi les organisations syndicales décident d’une mobilisation inter-professionnelle unitaire afin de peser sur ces différents rendez-vous. Elles décident ensemble d’une journée qui donne lieu à des grèves et des manifestations dans tout le pays le 23 mars.
Les organisations syndicales réaffirment que la sortie de crise passe par des mesures en faveur de l’emploi, des salaires et pensions, une fiscalité plus juste, des politiques publiques en faveur d’une relance économique respectueuse des impératifs écologiques.
Le 15 Février 2010
12 février 2010
Mise à mort de la médecine du travail
APPEL CONTRE LE PROJET DARCOS
de mise à mort de la médecine du travail
A l’heure de la sous déclaration massive des accidents du travail, de l’augmentation des maladies professionnelles et des suicides au travail (comme cela a été révélé à France Télécom), à l’heure de la hausse des accidents cardiaques et vasculaires liés au stress et à la souffrance au travail, à l’heure où dérivent les méthodes de management et leurs exigences dévorantes de productivité, faut-il affaiblir ou renforcer la médecine du travail ?
http://petition.non-mort-medecine-travail.net
de mise à mort de la médecine du travail
A l’heure de la sous déclaration massive des accidents du travail, de l’augmentation des maladies professionnelles et des suicides au travail (comme cela a été révélé à France Télécom), à l’heure de la hausse des accidents cardiaques et vasculaires liés au stress et à la souffrance au travail, à l’heure où dérivent les méthodes de management et leurs exigences dévorantes de productivité, faut-il affaiblir ou renforcer la médecine du travail ?
http://petition.non-mort-medecine-travail.net
8 février 2010
2010 : l'année de tous les dangers
L'année 2009 n'a pas failli à la tradition des licenciements et fermetures d'entreprises, tout cela,sur fond de crise financière. Le patronat utilise toujours les mêmes arguments pour justifier leurs difficultés économiques et leurs stratégies de délocalisations. Il use et abuse du moins disant social en tirant vers le bas les acquis sociaux des salariés et vers le haut leurs prétentions revendicatives pour moins de charge et plus d'aides de l'Etat, pour soit disant préserver l'emploi. On connait le résultat.
Sarkozy nous dit que 2010 sera l'année de la baisse du chômage ; il ne risque pas de se tromper puisqu'un million de chômeurs seront en fin de droit cette année et ne seront plus comptabilisés dans les rangs du chômage. 2010 sera une année charnière pour l'avenir de nos retraites. Le MEDEF soutenu par le gouvernement ne cache pas ses intentions de repousser encore l'âge de la retraite tout en durcissant l'accès à une retraite à taux plein. Quant à la pénibilité tant
espérée par les salariés, le patronat refuse catégoriquement d'en faire un droit collectif. Pourtant, ce thème aurait du être réglé depuis des années. L'emploi, le pouvoir d'achat et les retraites sont les priorités du gouvernement durant l'année 2010. ça tombe bien pour nous aussi !
Pour la CGT
Patrick Arnould
Secrétaire de l'union locale de Coulommiers
Communiqué de presse
Sarkozy nous dit que 2010 sera l'année de la baisse du chômage ; il ne risque pas de se tromper puisqu'un million de chômeurs seront en fin de droit cette année et ne seront plus comptabilisés dans les rangs du chômage. 2010 sera une année charnière pour l'avenir de nos retraites. Le MEDEF soutenu par le gouvernement ne cache pas ses intentions de repousser encore l'âge de la retraite tout en durcissant l'accès à une retraite à taux plein. Quant à la pénibilité tant
espérée par les salariés, le patronat refuse catégoriquement d'en faire un droit collectif. Pourtant, ce thème aurait du être réglé depuis des années. L'emploi, le pouvoir d'achat et les retraites sont les priorités du gouvernement durant l'année 2010. ça tombe bien pour nous aussi !
Pour la CGT
Patrick Arnould
Secrétaire de l'union locale de Coulommiers
Communiqué de presse
26 janvier 2010
A tous les retraités(es) syndiqués CGT
Cher (e) Camarade
La section des retraités Multipro de l'Union Locale de Coulommiers vous présente ses meilleurs vœux de santé et de bonheur dans un monde de paix et de justice sociale à l'occasion de cette nouvelle année.
Une date à retenir le :
Mercredi 03 Février 2010 à 16h00
Ce jour, vous êtes cordialement invités à l'assemblée générale des retraités qui se tiendra à l'Union Locale dans la salle de l'hôtel de l'Orme Chaumont 6 rue Ernest Dessaint. à Coulommiers.
Ordre du jour : Situation actuelle
Remise des FNI
Pot de l’Amitié
Salutations Fraternelles
P/la section des retraités Alain Kerhleus
14 janvier 2010
BRODARD GRAPHIQUE : le 13 janvier 2010
FIN DE LA GRÈVE
Résultats du vote:
- 13 bulletins "OUI à la reprise du travail "
- 67 bulletins " NON à la reprise du travail "
- 71 bulletins " OUI à la reprise du travail avec les heures de grèves payées "
un nouveau directeur qui doit gérer l'entreprise jusqu'au mois de mai si tout va bien !
Merci à tous pour votre soutien
Résultats du vote:
- 13 bulletins "OUI à la reprise du travail "
- 67 bulletins " NON à la reprise du travail "
- 71 bulletins " OUI à la reprise du travail avec les heures de grèves payées "
un nouveau directeur qui doit gérer l'entreprise jusqu'au mois de mai si tout va bien !
Merci à tous pour votre soutien
SOUTENEZ LES SALARIES DE BRODARD le 12 janvier 2010
Les grévistes remercient l'Union locale des Syndicats C G T de Coulommiers et sa région pour leur don de 600 euros qui permettra aux élus de continuer la lutte car, même si le travail reprend, la lutte n'est pas terminée.
Pour celles et ceux qui veulent contribuer à la caisse de soutien, ENVOYEZ VOS CHÈQUES A: L'UNION LOCALE CGT DE COULOMMIERS, 6 RUE ERNEST DESSAINT, EN MENTIONNANT AU DOS " SOLIDARITÉ AVEC LES GRÉVISTES DE BRODARD GRAPHIQUE "
Pour celles et ceux qui veulent contribuer à la caisse de soutien, ENVOYEZ VOS CHÈQUES A: L'UNION LOCALE CGT DE COULOMMIERS, 6 RUE ERNEST DESSAINT, EN MENTIONNANT AU DOS " SOLIDARITÉ AVEC LES GRÉVISTES DE BRODARD GRAPHIQUE "
8 janvier 2010
Les salariés de Brodard Graphique et la Nouvelle Brochure dans les rues de Coulommiers
Une mobilisation à la hauteur, avec l'Union Locale CGT de Coulommiers de nombreuses personnes ont participé au rassemblement sur le site Brodard, suivie d'une manifestation dans le centre ville de Coulommiers pour soutenir les salariés en grève depuis lundi 4 janvier.
Brodard: Discours du Secrétaire de l'UL de Coulommiers le 8 janvier 2010
Action Brodard Graphique du 8 janvier 2010. 5ème jour de grève.
Prise de parole de Patrick Arnould,UL de Coulommiers
Délocalisations, fermetures d’entreprises, transferts d’activités, plans sociaux, remise en cause des acquis sociaux sont devenus monnaie en France. Depuis 1997, environs 3200 emplois relevant de l’industrie ont été rayés des environs de Coulommiers. Et ça continue avec l’annonce programmée de 93 licenciements chez Brodard et Graphique entraînant dans son sillage les salariés de la « Nouvelle Brochure ».
Cette entreprise dépendante du groupe Maury est un des fleurons de l’imprimerie française. Déjà touché par divers plans de restructuration, il est fort à parier que dans ces conditions c’est toute l’entreprise qui risque de connaître le pire dans les mois à venir, alors qu’elle est dotée d’un matériel et d’une technicité humaine de pointe qui n’est plus à démontrer.
Tout cela pour l’avidité de quelques donneurs d’ordre encouragés par une directive Européenne dite « de concurrence libre et non faussée ».
Voila ! Les conséquences d’une idéologie ultra-libérale pour laquelle notre chère République, au nom de la liberté d’entreprendre pour les employeurs, souvent s’oppose aux droits au travail des citoyens. Alors Messieurs les politiques, et ceux qui en ce moment ont à charge de diriger le pays. Il serait temps que vous soyez investis du même rôle pour lequel les travailleurs nous mandatent « défendre les intérêts individuels et collectif des salariés », il en va de même pour vous en ce qui concerne vos concitoyens, mais trop souvent vous oubliez, que ce sont eux, qui produisent les richesses !!!
Je n’ose imaginer déjà les conséquences désastreuses sur les familles qui seront touchées par les licenciements. Je n’ose imaginer mes camarades de la CGT, représentants les salariés aux différentes institutions représentatives du personnel quant –ils apprendront les noms de leurs collègues et compagnons de longue date qui subiront de plein fouet leurs licenciements.
Dans ces moments là, beaucoup de salariés, les hommes comme les femmes sont sous le choc et n’arrivent pas à exprimer leur stupeur. Croyez-moi, Ça ne vous laisse pas indifférents et cela réveille en vous la colère devant un tel mépris du capitalisme sauvage et aveugle qui anéantit tant de salariés entraînant avec eux leurs familles. La folie de ce capitalisme ne connaît ni frontières et n’épargne aucune activité, elle ne connaît pas la morale et ce contre fou d’être ou non patriote.
Alors, nous avons un devoir, une responsabilité, TOUS, en tant que citoyens, militants : C’est de peser d’une façon significative sur la classe politique, nos gouvernants qui depuis trop longtemps sont aux ordres d’un capitalisme de plus en plus féroce.
Ok, nous sommes dans une économie mondialisée, plus de frontière, chacun peut y venir faire ses courses et même les plus sombres… Mais il appartient aux gouvernants de tenir leurs rôles de régulateurs car dans cette logique, si elle ne s’arrête pas, la France deviendra une friche industrielle et notre système de protection sociale basé sur la solidarité volera en éclats.
Il y en a marre d’entendre les politiques dire: Ah mais c’est une entreprise privée, nous ne pouvons rien y faire. Il y en a marre, de ces entreprises qui viennent nous piquer nos savoir-faire, nos richesses, nos emplois pour les transférer dans d’autres pays pour exploiter d’autres salariés et se faire encore et toujours plus de fric.
Et on nous fait croire que la lutte des classes est finie ? NON ! Cela n’a jamais été aussi vrai. D’un côté les hyper riches et les riches et de l’autre, des travailleurs, des retraités de plus en plus pauvres avec des exclus du monde du travail de plus en plus nombreux, voilà la réalité d’aujourd’hui !
Alors OUI les salariés de Brodard ont raison d’exprimer leur colère, OUI ils ont raison de la faire savoir aux médias, OUI les salariés de la presse et du labeur ont raison de vouloir s’unir pour lutter. OUI, les citoyens ont raison d’être solidaire.
J’y vois là un élan de solidarité que nous devons poursuivre et qui est la marque d’une grande organisation syndicale où les mots fraternité et solidarité prennent tout leur sens.
Il n’y a pas de fatalité ! L’avenir ça ne se subit pas, ça se construit…plus que jamais, ceux qui vivent, sont ceux qui luttent pour rester debout.
Prise de parole de Patrick Arnould,UL de Coulommiers
Délocalisations, fermetures d’entreprises, transferts d’activités, plans sociaux, remise en cause des acquis sociaux sont devenus monnaie en France. Depuis 1997, environs 3200 emplois relevant de l’industrie ont été rayés des environs de Coulommiers. Et ça continue avec l’annonce programmée de 93 licenciements chez Brodard et Graphique entraînant dans son sillage les salariés de la « Nouvelle Brochure ».
Cette entreprise dépendante du groupe Maury est un des fleurons de l’imprimerie française. Déjà touché par divers plans de restructuration, il est fort à parier que dans ces conditions c’est toute l’entreprise qui risque de connaître le pire dans les mois à venir, alors qu’elle est dotée d’un matériel et d’une technicité humaine de pointe qui n’est plus à démontrer.
Tout cela pour l’avidité de quelques donneurs d’ordre encouragés par une directive Européenne dite « de concurrence libre et non faussée ».
Voila ! Les conséquences d’une idéologie ultra-libérale pour laquelle notre chère République, au nom de la liberté d’entreprendre pour les employeurs, souvent s’oppose aux droits au travail des citoyens. Alors Messieurs les politiques, et ceux qui en ce moment ont à charge de diriger le pays. Il serait temps que vous soyez investis du même rôle pour lequel les travailleurs nous mandatent « défendre les intérêts individuels et collectif des salariés », il en va de même pour vous en ce qui concerne vos concitoyens, mais trop souvent vous oubliez, que ce sont eux, qui produisent les richesses !!!
Je n’ose imaginer déjà les conséquences désastreuses sur les familles qui seront touchées par les licenciements. Je n’ose imaginer mes camarades de la CGT, représentants les salariés aux différentes institutions représentatives du personnel quant –ils apprendront les noms de leurs collègues et compagnons de longue date qui subiront de plein fouet leurs licenciements.
Dans ces moments là, beaucoup de salariés, les hommes comme les femmes sont sous le choc et n’arrivent pas à exprimer leur stupeur. Croyez-moi, Ça ne vous laisse pas indifférents et cela réveille en vous la colère devant un tel mépris du capitalisme sauvage et aveugle qui anéantit tant de salariés entraînant avec eux leurs familles. La folie de ce capitalisme ne connaît ni frontières et n’épargne aucune activité, elle ne connaît pas la morale et ce contre fou d’être ou non patriote.
Alors, nous avons un devoir, une responsabilité, TOUS, en tant que citoyens, militants : C’est de peser d’une façon significative sur la classe politique, nos gouvernants qui depuis trop longtemps sont aux ordres d’un capitalisme de plus en plus féroce.
Ok, nous sommes dans une économie mondialisée, plus de frontière, chacun peut y venir faire ses courses et même les plus sombres… Mais il appartient aux gouvernants de tenir leurs rôles de régulateurs car dans cette logique, si elle ne s’arrête pas, la France deviendra une friche industrielle et notre système de protection sociale basé sur la solidarité volera en éclats.
Il y en a marre d’entendre les politiques dire: Ah mais c’est une entreprise privée, nous ne pouvons rien y faire. Il y en a marre, de ces entreprises qui viennent nous piquer nos savoir-faire, nos richesses, nos emplois pour les transférer dans d’autres pays pour exploiter d’autres salariés et se faire encore et toujours plus de fric.
Et on nous fait croire que la lutte des classes est finie ? NON ! Cela n’a jamais été aussi vrai. D’un côté les hyper riches et les riches et de l’autre, des travailleurs, des retraités de plus en plus pauvres avec des exclus du monde du travail de plus en plus nombreux, voilà la réalité d’aujourd’hui !
Alors OUI les salariés de Brodard ont raison d’exprimer leur colère, OUI ils ont raison de la faire savoir aux médias, OUI les salariés de la presse et du labeur ont raison de vouloir s’unir pour lutter. OUI, les citoyens ont raison d’être solidaire.
J’y vois là un élan de solidarité que nous devons poursuivre et qui est la marque d’une grande organisation syndicale où les mots fraternité et solidarité prennent tout leur sens.
Il n’y a pas de fatalité ! L’avenir ça ne se subit pas, ça se construit…plus que jamais, ceux qui vivent, sont ceux qui luttent pour rester debout.
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