Info: Collectif Logement CGT
Cécile Duflot devait rencontrer ce mardi 17 juillet en fin de journée des représentants de l'UESL Action Logement. Une rencontre prévue de longue date, mais qui devait voir son ordre du jour affiné. Action Logement a en effet annoncé la veille, lundi 16 juillet, craindre un nouveau prélèvement sur ses ressources de la part du gouvernement, ce qui, selon lui, le "priverait définitivement de ses moyens financiers".
Tout est parti d'un article publié sur Le Figaro.fr, lundi après-midi, annonçant que Jérôme Cahuzac, ministre du Budget, envisagerait de "ponctionner", en 2013, 1,8 milliard d'euros sur le budget d'Action Logement. "Les discussions budgétaires sont en cours. Aucun arbitrage n'a été tranché", assurait à l'AFP, mardi matin, le ministère du Logement.
Pour rappel, le précédent gouvernement avait prévu de prélever, entre 2012 et 2014, 3,25 milliards d'euros (1,2 milliard en 2012, 1,1 en 2013 et 950 millions en 2014) sur les fonds d'Action Logement. Or le budget d'Action Logement est en constante réduction (près de 4 milliards d'euros en 2009, 3,6 milliards en 2010, 3,450 milliards en 2011 et 2012), due à une collecte moindre auprès des entreprises et d'une baisse des remboursements des prêts aux salariés.
L'UESL croit a avoir trouvé l'argument politique imparable : "nul ne comprendrait, qu'au lendemain de la grande conférence sociale, le gouvernement décide de mettre, ainsi, fin à la gestion paritaire dans le secteur du logement".
.
ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
18 juillet 2012
14 juillet 2012
La CGT : Jean-Pierre Mercier, à la tête de la mobilisation des PSA Aulnay
Info:AFP du 13/07/2012
AUTOMOBILE - Le leader CGT essaie de faire entrer ses «camarades» de Rennes, Poissy et Sochaux dans la lutte contre la fermeture du site...
«Une lutte contre une fermeture d'usine, c'est un marathon, pas un sprint». Avec son sens de la formule, Jean-Pierre Mercier, leader CGT à l'usine PSA d'Aulnay, jongle avec les journalistes et incarne la mobilisation des salariés sur le site qui fermera en 2014.
Au lendemain de l'annonce, jeudi, de la
fermeture de l'usine historique de PSA Peugeot-Citroën, qui emploie
3.300 personnes, il enchaîne les directs. BFM TV à 13H00? «Pas
possible, j'ai déjà France 24».
«Les médias, pour moi, ça a vraiment
démarré il y a un an», lors de la publication par la CGT d'un
document confidentiel, annonçant la fermeture du site d'Aulnay.
«Mais je préfère vraiment être dans l'atelier».
Quand cet homme de 44 ans, yeux bleus,
cheveux poivre et sel, petites lunettes grises, monte sur une
estrade, le silence se fait. Avec les journalistes, il partage sa
réflexion sur la stratégie pour mener la «lutte» contre PSA.
«Une grève illimitée serait une
erreur tactique: ça nous épuiserait rapidement financièrement et
ça aurait un pouvoir de nuisance limité», martèle le leader CGT,
2e syndicat à PSA Aulnay.
On est une bombe sociale, politique»
«Nous seuls, on ne pourra pas empêcher la fermeture, (...) il faut que les camarades de Rennes, Poissy, Sochaux entrent dans la bataille». «On est une bombe sociale, politique, et ça, on va l'utiliser», dit Jean-Pierre Mercier, tout en rejetant la violence. «On n'a même pas fait brûler un pneu» depuis le début du conflit. «Il faut être plus intelligent».
«On apprend des Total, des Molex, des
Contis (de l'usine Continental, ndlr) que j'ai suivis de très près»,
dit-il. «Il y a eu deux documentaires sur les Contis. On les a
visionnés plusieurs fois au syndicat, pour apprendre où ils se sont
cassés le nez et leur succès». «C'est pas le fait qu'ils aient
cassé la sous-préfecture (de Compiègne, en avril 2009, ndlr) qui a
fait plier, mais leur mobilisation constante», affirme-t-il.
«Interdire les licenciements»
Né en 1968, «un très bon cru»,
Jean-Pierre Mercier a le syndicalisme et la politique dans la peau.
«J'ai très tôt baigné là-dedans». Son père, ouvrier
électricien devenu technicien, était à la CGT et au PCF, avant de
rejoindre François Mitterrand en 1976.
Lui a adhéré à la CGT en 1998. Il se
souvient de son chef anti-CGT, qui, au moment de la signature du CDI,
deux ans plus tôt, avait lâché: «Monsieur Mercier, je le connais.
En 30 ans, j'ai jamais fait rentrer de brebis galeuse, c'est pas avec
lui que je vais commencer». «Je me suis dit que j'allais le faire
payer».
Aujourd'hui, il est délégué syndical
à plein temps, mais assure passer 1% de son temps à la fédération
et 99% à l'atelier. Les militants de la CGT, à PSA Aulnay, «c'est
des copains». Avec la fédération, il décrit «des relations
correctes».
Depuis ses 18 ans, quand «un militant
lui a fait découvrir les idées marxistes», Jean-Pierre Mercier est
aussi encarté à Lutte ouvrière (LO). Porte-parole de la candidate
Nathalie Arthaud pendant la présidentielle, il s'est présenté aux
législatives dans la circonscription de Montreuil-Bagnolet
(Seine-Saint-Denis), où il vit depuis 2008. Son score: 0,72% des
voix.
Mais il n'en démord pas: «Il faut
interdire les licenciements». Que va-t-il faire en 2014, lui qui est
entré à PSA Aulnay comme ouvrier cariste en ferrage en 1996, après
un bac obtenu de justesse et des petits boulots, de la manutention à
éboueur? Il veut rester «un militant ouvrier d'atelier».
12 juillet 2012
Les syndicats de PSA "dégoûtés", sous le choc d'annonces "dramatiques"
INFO :
Les
syndicats de PSA Peugeot Citroën, qui a annoncé jeudi la fermeture
de l'usine d'Aulnay en 2014 et un plan de 8.000 suppressions de
postes en France, ont qualifié ces décisions de "dramatiques"
ou exprimé leur "dégoût", la CGT parlant "de crime
social" au sujet d'Aulnay.
Jean-Pierre
Mercier, délégué CGT, a dénoncé "douze mois de mensonge"
de la part de la direction à propos de l'usine de
Seine-Saint-Denis. "La lutte va démarrer maintenant",
a-t-il dit, estimant qu'"en temps de crise économique, c'est un
crime social de fermer une usine".
Pour la CGT la guerre est déclarée a estimé Jean-Pierre Mercier, délégué CGT de PSA, pour qui "en temps de crise économique, c'est un crime social de fermer une usine, de sacrifier Aulnay au nom de la rentabilité". "En septembre, une grande bataille va commencer", a-t-il ajouté.
"On est en droit de demander au gouvernement d'intervenir", il est "passif", a-t-il jugé. M. Mercier a accusé la direction de "sacrifier Aulnay" pour "plus de rentabilité et plus de bénéfices à la famille Peugeot".
Le président du directoire, Philippe Varin, "a déclaré la guerre aux salariés. Nous sommes déterminés à sauver nos emplois, nous sommes prêts à aller jusqu'au bout. En septembre, une grande bataille va commencer", a prévenu l'élu CGT.
Suppressions d’emplois industriels
Bernard
Thibault réagit aux annonces de PSA
•Pierre
Weill recevait Bernard Thibault dans la matinale de France Inter ce
12 juillet. Le secrétaire général de la CGT réagit aux annonces
de PSA qui arrête la production à l’usine d’Aulnay et la
suppression de 8.000 emplois en (...)•
Cliquez
sur les liens ci-dessous pour écouter
M. Don s'est dit convaincu "que la stratégie de montée de gamme va amplifier et accélérer les pertes d'emplois sur le territoire, des emplois perdus à jamais". Et, selon lui, "la baisse des effectifs en recherche et développement est gravissime et n'augure rien de bon pour l'avenir". "L'Etat a ses responsabilités. Si l'état financier le justifie, il faudrait que l'Etat intervienne pour faire partir certains salariés à la retraite".
Pour Pierre Contesse (FO Rennes), c'est "une catastrophe". Rennes est "déjà une usine sinistrée", "cela va être très dur. On va essayer d'accompagner les gens le plus possible".
Chez les salariés, c'est
"la colère", a rapporté de son côté Anne Valleron,
déléguée centrale CFE-CGC, "on est extrêmement choqués par
l'ampleur du plan".
A Aulnay, "les
salariés sont laminés, certains pleurent" (...) c'est vraiment
difficile", a raconté sur BFMTV Tania Sussest, déléguée SIA.
"Cela fait un an que la direction nous ment, qu'elle nous dit
que la fermeture d'Aulnay ce n'est pas d'actualité, et là cela
tombe avant les vacances", s'est-elle indignée.
10 juillet 2012
Les rouages du système
INFO : de GERARD FILOCHE INSPECTEUR DU TRAVAIL
Éternelle
histoire de l'arroseur arrosé ou comment on peut se faire liquider
quand on est liquidateur en chef
Pas facile le boulot de
DRH. Entre le marteau et l'enclume, entre les exigences de salariés
et celles des actionnaires. Ainsi le cas de Mme Durand : cela
faisait presque 15 ans qu'elle officiait dans cette entreprise
pharmaceutique d'origine familiale assez féroce avec son personnel,
1250 salariés.
Un siège hypercentralisé
avec 30 établissements sur tout le territoire : le CE, le CHSCT,
tout se tient à Paris. Mme Durand est grande prêtresse du
personnel, communicante, omniprésente, elle sait terroriser les
salariés juste ce qu'il faut avec demi-sourire et ton ferme.
L'esprit maison incarné, c'est elle. Naturellement, elle appelle
tous les salariés « mes collaborateurs ». Quand il faut changer
les horaires, adapter les postes de travail , mater le syndicat,
régler un conflit ou licencier, elle fait. En plein CHSCT, elle
rabroue le médecin du travail qui ose signaler devant l'inspecteur
du travail que dans une des annexes les équipes de conditionnement
font plus de 10heures de travail effectif par jour : « Ce n'est pas
votre rôle, docteur ! »
Oui, mais la société
connaît des vicissitudes, elle est reprise, rachetée encore. Deux
plans « sociaux » se succèdent, un premier de 150, un second de
80 suppressions d'emplois. Mme Durand les « exécute » sans états
d'âme, veillant à ne pas donner prise au syndicat, ni à
l'inspection, ni aux prud ' hommes. Le nouveau patron, lui, a des
méthodes américaines, il connaît rien au fonctionnement des CE,
commet des impairs, obligeant sa DRH à rattraper ses « gaffes »
juridiques.
Et c'est au tour de Mme
Durand de demander rendez- vous dans le bureau de l'inspecteur du
travail où elle s'effondre en larmes : « Je suis arrivée à 8
heures, Monsieur l'inspecteur, ils m'ont convoquée aussitôt et, en
2minutes,ils m'ont dit que j'étais licenciée. » « On n'est pas
d'accord avec la façon dont vous tenez le CE, nos désaccords sont
exprimés dans cette lettre, veuillez la signer, tous vos préavis et
droits seront payés, vous quittez-la maison à l'instant, vous
prenez vos affaires et vous partez. »
Mme Durand poursuit : «
J'étais suffoquée, j'ai eu du mal à rester digne.
Prendre mes affaires?
Mais les- quelles ? Tout est à moi ici. Tout, vous comprenez ? J'ai
choisi la couleur des moquettes, des murs, l'agencement des bureaux,
la place de chacun, c'est ma maison, mon entreprise, ma vie, j'y
passais 12 heures par jour, et en 2 minutes, comme ça, dehors, je
pars sans retour ? Je ne suis pas une oie blanche, Monsieur
l'inspecteur, moi aussi j'ai licencié des gens, mais je leur
parlais, je respectais les humains, du moins je le croyais, qu'est-ce
que vous me conseillez, Monsieur l'inspecteur ? » De comprendre,
enfin, le système dont vous étiez un des rouages.
4 juillet 2012
Licenciements abusifs: Sapin promet une loi «d'ici la fin de l'année»
EMPLOI - Le ministre s'est dit «favorable» à un alourdissement de leur coût pour les patrons dans ce cas de figure...
Pour lire la suite,
cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.20minutes.fr/economie/965725-licenciements-abusifs-sapin-promet-loi-d-fin-anneeAUGMENTATION DES TARIFS DE L'ENERGIE
Info : Collectif logement C.G.T.
UN GRAND COUP DE POUCE AUX TARIFS DE L'ENERGIE
POUR UN PETIT COUP DE POUCE AU SMIC
Le départ en vacances rime avec la « Dolce Vita ». Comme chaque année, le début de l’été déclenche un cortège de hausse des tarifs. Si le ministère accepte l’augmentation des prix de l’énergie, il servira la « Dolce Vita » des actionnaires de GDF-Suez mais pas les salariés consommateurs qui ont enregistré une perte de leur pouvoir d’achat de plus de 1 %.
Une hausse de 5 % serait inacceptable pour les salariés consommateurs. En effet, le prix du gaz sur le marché de gros a reculé d’un quart de sa valeur. Une baisse qui devrait largement couvrir la « hausse » des coûts logistiques.
Pour l’électricité, les tarifs des abonnements resteront pour l’instant inchangés. En revanche, la taxe de Contribution au Service Public de l’Électricité (CSPE) sera relevée de 1,1 % selon l’application de la loi de finance rectificative pour 2012.
En parallèle, la Commission de Régulation de l’Énergie a imposé, par publication au Journal Officiel, une hausse du Tarif d’Utilisation des Réseaux Publics d’Électricité (TURPE), autrement appelé tarif d’acheminement, de 1,8 % au 1er août. Gardons en tête que sur une facture EDF, la consommation réelle d’électricité ne représente qu’environ 66 % du montant, les taxes et contributions en occupent 17 % ainsi que l’abonnement.
Ainsi, le nouveau gouvernement qui a promis le changement ne doit pas répondre aux dogmes néolibéraux qui renforceraient encore le pouvoir des actionnaires, alors qu’en 2010 les dividendes versés par les sociétés telles que GDF-Suez avaient atteint les 309 milliards d’euros.
Pour l’INDECOSA-CGT, l’accès à l’énergie électrique, au gaz et à l’eau est un droit inaliénable. Nous exigeons que l’accès aux KWH et des mètres cubes nécessaires à l’usage d’un logement pour une première tranche de revenus familiaux soit garantie comme droit fondamental et pris en charge solidairement. C’était une des nombreuses promesses du candidat Hollande.
C’est pour le rendre possible qu’INDECOSA-CGT revendique que la gestion du gaz, de l’électricité et l’eau soit assurée par un grand Pôle Public de l’Énergie.
30 juin 2012
Droit au logement opposable : Le Sénat dresse un bilan très critique
Info :Collectif logement C.G.T.
L'application
du Droit au logement opposable, qui permet aux familles les plus
démunies de se faire reloger plus facilement, doit faire face à de
nombreuses incohérences et faiblesses. C'est le constat d'un rapport
du Sénat rendu public ce jeudi. Un rapport du Sénat pointe jeudi de
nombreuses incohérences et faiblesses dans l'application du Droit au
logement opposable MaxPPP/PHILIPPON JOELA l'heure de la fin de
l'année scolaire, c'est le moment des bilans. Mais en politique
aussi, il est temps de faire les inventaires.
Pour
lire la suite cliquez sur le lien ci-dessous
http://cgt.logement.over-blog.com/article-droit-au-logement-opposable-le-senat-dresse-un-bilan-tres-critique-107619642.html29 juin 2012
Soutien à virginie pour harcèlement. Agent à la Police Municipale, de la Ferté gaucher
INFO: UL CGT
le jeudi 28 juin, pour soutenir Virginie ils sont venus de Nangis, Lorrez, Quincy, Noisiel, Champs, Lagny, Dammarie les lys, Ozoir, Varennes, la Ferté Gaucher, et 6 camarades de l'Union Locale CGT de Coulommiers.
une délégationa été
recue par Hervé Crapart adjoint au maire, la CGT a exprimés leurs
revendications avec force et détermination.
Des tracts ont été
distribués sur la souffrance au travail en direction des agents de
la collectivité et à la.population.
Affaire à suivre
27 juin 2012
NOUS VOULONS TRAVAILLER DANS LA DIGNITE
INFO: UL CGT de Coulommiers
LE
HARCÈLEMENT MORAL ÇA SUFFIT !
A la Ferté-Gaucher, nous
ne voulons plus avoir peur, nous voulons travailler dans la dignité, dans de bonnes
conditions physiques et mentales.
La collectivité doit remplir ses obligations de protection de ses agents.
La collectivité doit remplir ses obligations de protection de ses agents.
Trop, trop d'agents ont dû
partir de la police municipale de la Ferté-Gaucher épuisés ou
détruits. 14 agents ont quitté ce service, depuis 2006.
Les atteintes directes à
la personne en tant qu'individu, vie privée, santé, discrédit,
doivent cesser.
Qu'attend le Maire pour
agir !
Où en est l'enquête administrative ?
Comment peut-on REmettre
un agent en souffrance dans le même service, qui plus est, seul dans
un local isolé. Alors que la loi oblige l'employeur à prendre
toutes les dispositions nécessaires en vue de prévenir les
agissements constitutifs de harcèlement moral.
Que cherche la Mairie de la Ferté-Gaucher ?
Ce climat met en danger la mission même de service public de la collectivité.
Aucune organisation du
travail ne peut fonctionner correctement sans la coopération des
intelligences et le respect de l'autre.
Agir pour préserver la
santé au travail, les conditions de travail en respectant l'être
humain, travailler autrement et être bien au travail, améliorer et
respecter la qualité de vie de chacune et chacun, sont des
préoccupations majeures de la CGT et des personnels.
Le harcèlement moral au
travail est utilisé souvent sciemment comme un mode de management
visant à individualiser et à «user » certains travailleurs pour
leur faire
commettre une faute
professionnelle qui permettra de les sanctionner ou de les licencier
au moindre coût. Il est devenu une véritable stratégie de
l'employeur ou de groupes.
En effet, pour certains,
il est important de briser les résistances individuelles et
collectives.
L'imagination humaine est
sans limite lorsqu'il s'agit d'entrer en rivalité avec une autre
personne pour maintenir ou étendre son pouvoir, exercer une nouvelle
responsabilité, ou obtenir des avantages matériels.
Quand la réussite
représente pour certaines personnes la principale valeur, les
personnes honnêtes apparaissent comme faibles ou ringardes, et la
perversité, la barbarie, les tortionnaires, deviennent roi.
Comment s'étonner alors
que les auteurs des agissements et actes de harcèlement moral
prospèrent dans notre société, nos administrations et
entreprises ?
On créé ainsi une
société où chaque être humain est un adversaire potentiel qui
peut
prendre votre place.C'est donc un phénomène de société, un véritable problème de santé publique,
que nous
devons COMBATTRE de toutes nos forces !
Il est
grand temps que la collectivité de la Ferté-Gaucher respecte la
dignité humaine et la loi.
La CGT et la CGT des Territoriaux de Seine et Marne
ne
laisseront pas les salariés vivre au temps des petits seigneurs !
L'agent des territoriaux de La Ferté-Gaucher à le
soutien de
l'Union Locale CGT de Coulommiers
_______________________
Communiqué
de Presse :
de la C.S.D. CGT 77
de la C.S.D. CGT 77
(
Coordination Syndicale Départementale )
SOUFFRANCE AU TRAVAIL A LA FERTE-GAUCHER
Depuis 2006, 14 agents ont
quitté la Police Municipale, de la Ferté gaucher, épuisés ou
détruits. En novembre 2011, un agent décide de rompre le silence et
porte plainte pour harcèlement moral. Reconnu en accident de
travail, la médecine préventive demande son reclassement.
Après deux rendez vous avec la municipalité notre organisation syndicale obtient le reclassement de l'agent au service culturel. L'agent y travaillera quelques semaines puis subitement on lui demande de réintégrer le service le la police municipale.
Pourquoi cet acharnement? Que cherche-t-on ? Ou en est l'enquête administrative ?
Nous demandons un rendez-vous au Maire, le 28 juin.
Un rassemblement est prévu devant la mairie à partir de lOh ce jour là.
Coordination
Syndicale Départementale CGT 77
BLOG : http://csd77.over-blog.com
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