18 décembre 2021

Prenez 2 minutes pour lire la lettre de cette dame de 94 ans

CHAPEAU MADAME ET RESPECT !!!!!

A 94 ans cette brave dame a la tête sur les épaules et sait compter

Elle a aussi très bonne mémoire en citant tous les intervenants gouvernementaux successifs qui l'ont trahis.

 Très bien résumée la situation


De 1956 à nos jours : 65 ans d'imagination fiscale… et surtout de mensonges.


Je me présente. Je m’appelle Micheline Sany. Je suis née en 1927 et je vous le dis tout net : à force de tirer sur l’élastique, la corde va péter !


En 1956, quand Guy Mollet a instauré la vignette pour « fournir un revenu minimum à toutes les personnes âgées de 65 ans et plus », bon… moi j’avais à peine 30 ans et j’étais très fière de pouvoir venir en aide aux anciens.


En plus, Paul Ramadier, le ministre des Affaires économiques, avait affirmé que ça serait une taxe temporaire… Bah, il a duré quarante-quatre ans le temporaire ! Pendant quarante-quatre ans j’ai payé cette vignette ! Alors merci !


Surtout que les anciens n’en ont presque jamais vu la couleur, vu qu’au bout de trois ans, le Premier ministre, Michel Debré, a annoncé que le produit de la vignette serait finalement « acquis au budget de l’État… », qui le reverserait au Fonds national de solidarité. Enfin, en partie… Enfin, en petite partie… Que les vieux se fassent dépouiller comme ça, ça a fait du foin, pendant toutes ces années. Mais ça n’a jamais rien changé.


 Ensuite en 1991, quand ils ont créé la CSG, la contribution sociale généralisée pour financer la branche famille, en remplacement des cotisations patronales d’allocations familiales, bon… sans râler, j’ai payé !


Surtout que ça ne devait durer que cinq ans. « Une contribution transitoire » qu’ils disaient… et puis 1,1 %, c’était supportable. Seulement vingt-sept ans plus tard, elle transite toujours la CSG !

Et elle a grimpé à 9,2 % pour les salariés et 8,3 % pour les retraités. Par étapes, bien sûr, c’est moins voyant.

En 1993, elle est passée de 1,1 à 2,4 %. Pour alimenter en plus le Fonds de solidarité vieillesse. Y’avait pas déjà la vignette pour ça ? Chuuuuut, arrêtez d’être insolents !


En 1997, elle augmente encore pour financer, en plus, la branche maladie : on en est à 3,4 %.


En 1998, toujours pour la branche maladie, elle passe à 7,5 %, etc., etc.



Bref, la protection sociale ne s’est pas redressée, et ce qui devait être temporaire est devenu… un impôt de plus.


Ah bah oui ! La CSG, ça rapporte plus que l’impôt sur le revenu aujourd’hui.


Si on vous demande combien vous payez d’impôts par an, vous savez le dire. Mais si on vous demande combien vous payez de CSG, vous savez ?

Chez moi on disait : « C’est tout un art de plumer l’oie sans la faire crier.» Alors qu’il y aurait de quoi hurler.

Et puis en 1996, rebelote avec la CRDS, la « contribution à la réduction de la dette sociale ».


J’ai payé. (Mais j’avoue, j’ai râlé.)


À cette époque, les déficits sociaux s’élevaient à un montant estimé entre 30 et 38 milliards d’euros.


Oui, parce que nous, si on se trompe de dix euros dans notre déclaration de revenus, on risque une amende, mais eux, un flou de 8 milliards, ils ont le droit… Toujours est-il qu’ils avaient tout bien calculé : en treize ans, tout serait remboursé.


La CRDS devait disparaître le 31 janvier 2009.


Mais voilà-t’y pas qu’en septembre 1997, le gouvernement Jospin annonce 13 milliards d’euros supplémentaires de dettes, qui correspondaient aux déficits sociaux non financés des années 1996 à 1998.


 Alors, ils ont tout bien recalculé, finalement pour tout éponger il fallait prolonger… jusqu’au 31 janvier 2014.


Mais voilà-t’y pas qu’en 2004, le plan de redressement de la Sécurité sociale concocté par Philippe Douste-Blazy annonce 50 milliards d’euros supplémentaires de dette à rembourser.

 Alors, ils ont tout bien re-recalculé… et ils ont vu que finalement, la Trinité était la meilleure date pour arrêter la CRDS. Donc, on la paye toujours…


Et puis, en 2004 , Raffarin a inventé la « journée de solidarité », vouée à « l’autonomie des personnes âgées ».

Moi, ça va, j’étais déjà à la retraite, mais vous, vous avez travaillé… sans être payés !


 Et en 2013, une nouvelle taxe pour les retraités. CASA, ça s’appelle. C’est la « contribution additionnelle de solidarité à l’autonomie », 0,3 % sur les retraites, pensions d’invalidité, allocations de préretraite.

C’est-à-dire qu’ils font payer les vieux pour que les vieux soient autonomes !


C’est pas du bon foutage de gueule, ça ? Et on continue. En 2013, toujours, M. Jean-Marc Ayrault nous gèle les retraites complémentaires…

Et comme ça ne s’arrête jamais, maintenant, parce que j’ai 1 247 euros de revenu fiscal par mois, j’ai une augmentation monstrueuse de la CSG : 25 % d’augmentation !


Ah ben oui, on nous a dit 1,7 % , mais c’est pas 1,7 % de ce qu’on payait, c’est le taux qui augment de 1,7 %


Bref, nous les vieux, on est passés de 6,6 % à 8,3 % de CSG , ça nous fait 25 % dans les dents....enfin celles qui nous restent.


Et maintenant, la cerise sur le pompon : on nous annonce que nos retraites vont être revalorisées de 0,3 %.


Cinq fois moins que l’augmentation dont on aurait dû bénéficier si le code de la Sécurité sociale avait été simplement respecté, puisqu’il prévoit que les pensions soient revalorisées du montant de l’inflation moyenne sur l’année pour éviter toute dégradation du niveau de vie.

Et l’inflation prévue d’après l’Insee est de 1,6 %

Et Bruno Le Maire ose dire sur RTL : « Mais ils ne seront pas perdants, leur pension de retraite continuera à être revalorisée. » Il croit qu’on est tous gâteux ou quoi ?


Je n’ai que mon certificat d’études, mais y’a pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre qu’une hausse de 0,3 % des pensions, quand les prix augmentent de 1,6 %, revient à une baisse du pouvoir d’achat.


D’après le baromètre de l’institut Elabe, publié le 6 septembre, 72 % des retraités déclarent ne pas avoir confiance dans le chef de l’État, alors qu’ils étaient 44 % en janvier et 35 % lors de son élection. On se demande vraiment pourquoi Un type qui pour se faire élire déclarait chez Jean-Jacques Bourdin en décembre 2016 : « L’engagement que je prends ici devant vous, c’est que, avec moi, toutes les petites retraites auront leur pouvoir d’achat protégé. »

Et sur RMC encore, en février 2017 : « Je ne veux pas, moi, faire d’économies sur le dos ni des retraités, ni de celles et ceux qui sont à quelques années d’aller à la retraite. »



Et au 20 heures de France 2 en mars 2017 : « Je ne touche pas à la retraite de celles et ceux qui sont aujourd’hui retraités. Leur retraite sera préservée. Il n’y aura pas de perte de pouvoir d’achat, c’est essentiel ! »


Alors je pose la question : 72 % qui n’ont pas confiance, comment est-ce possible ?

Comment peut-il se trouver encore 28 % de retraités qui lui fassent confiance ? …

Toute ma vie, j’ai payé pour aider les vieux et maintenant que je suis vieille, il faut que je paye pour aider les jeunes ? Que vont-ils nous inventer encore ??


 N'hésitez pas à diffuser largement cette petite analyse....de la situation réelle.

 


 La dette publique de la France s’alourdit encore !


Les finances publiques de la France peinent à s’améliorer. La dette publique est ressortie à 116,3% du produit intérieur brut (PIB) à fin septembre, contre 114,8% à la fin juin, a rapporté l’Insee. L’endettement public de la France, qui s’est fortement creusé depuis début 2020 à cause de la crise sanitaire, avait culminé à la fin du premier trimestre 2021 à 118,1% du PIB. Le gouvernement table sur une dette publique de 115,3% à la fin 2021, et veut ramener l’endettement public à 113,5% en 2022, selon les prévisions du budget pour l’an prochain.


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Un gros NIET de Roselyne Bachelot-Narquin pour toute réponse à l’urgence sociale dans les écoles d’architecture


 Le 6 octobre dernier, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires et CFTC-UNSA –représentatives au niveau national –demandent l’ouverture d’une négociation relative à l’évolution des rémunérations des enseignants contractuels à temps incomplet des écoles d’architecture.





 

CODE DE LA JUSTICE PENALE DES MINEURS UN OBSERVATOIRE POUR MIEUX ANALYSER SES CONSEQUENCES POUR LES ENFANT


Depuis l’annonce d’une réforme de la justice pénale des enfants par voie d’ordonnance, à la fin de l’année 2018, nos institutions et organisations, réunies au sein du Collectif Justice des Enfants, ont porté la nécessité d’un débat approfondi sur cette question, laquelle ne peut d’ailleurs être dissociée de celle de la protection de l’enfance. Nous, professionnel.le.s de l’enfance, de la justice des enfants et associations intervenant auprès des familles et des jeunes, avons revendiqué un véritable code de l’enfance, regroupant tous les textes concernant les enfants, au civil comme au pénal et non un code réduit à la justice pénale des mineurs.  Dans cet objectif, nous avons porté des propositions communes, à toutes les étapes de l’élaboration du texte, en faveur notamment de la fixation d’un véritable seuil d’âge de responsabilité pénale, et d’une diminution des procédures rapides et des mesures coercitives, pourvoyeuses d’incarcération.


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Elections 2021 départements interministériels de la Fonction publique d'Etat


La CGT première organisation dans les DDETS, DDETS-PP et les DR·I·EETS.



 Avec près de 26 % des suffrages exprimés en moyenne, la CGT est à l’issue des élections du 14 décembre 2021, la première organisation syndicale sur l’ensemble des DDETS, DDETS-PP et DR·I·EETS.


DREETS : Directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités


DR·I·EETS : Direction régionale · et interdépartementale · de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités


DDETS : Directions départementales de l’emploi, du travail et des solidarités


DDETS–PP : Directions départementales de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations


Bravo à toutes et tous les camarades qui se sont investis sur cette campagne.


C'est un travail collectif qui a porté ses fruits et qui en appelle d'autres en vue des élections professionnelles en décembre 2022.

Au ministère de l'intérieur également les agents doivent porter le plus haut possible la CGT pour défendre ensemble les salaires, les emplois, les conditions de travail !


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17 décembre 2021

 


 


 Melun le 17 décembre 2021


27 janvier 2022 Manifestation et grève

À l'appel de la CGT, FO, la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse, le monde du travail est à nouveau appelé à se mobiliser, par la grève et la manifestation lors d'une journée d'action nationale le 27 janvier 2022.

L’action interprofessionnelle sera déclinée en Île-de-France par une manifestation à Paris 14h. Un meeting parisien à partir de midi le même jour est en discussion avec les autres organisations syndicales (à confirmer donc).

D'ores et déjà travaillons à la mise en mouvement des salariés, retraités et privés d'emploi, Charge à nous d'impulser partout des assemblées générales et gagner la grève.

Faites connaître vos assemblées générales par retour de mail ud@cgt77.fr



 COMMUNIQUE

Salaires : le 27 janvier, l’heure est désormais à la mobilisation de toutes et tous!

Personne ne peut ignorer le contexte social et économique, les augmentations des produits de première nécessité, de l’énergie comme de l’alimentation et finalement du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes, actifs, demandeurs d’emploi et retraités.

Personne n’ignore que seuls les salaires, les pensions et les aides et allocations continuent de stagner ou même de baisser au regard de l’inflation, de décrocher par rapport aux qualifications dans le privé comme dans le public.

Si, dans de certains secteurs et entreprises des mobilisations et des négociations ont permis d’obtenir des revalorisations de salaires, trop souvent encore les négociations sont au point mort ou les propositions des employeurs loin du compte.

Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL ne peuvent s’en satisfaire et n’entendent pas en rester là !

Sans augmentation du point d’indice et du SMIC il n’y aura aucune avancée pour lessalarié.e.s dont les mínima de branches sont actuellement en dessous du salaire de base minimum.

Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL contestent dans le même temps que le gouvernement ait maintenu sa réforme de l’assurance chômage qui aura pour conséquence d’enfermer de trop nombreux salariés dans des emplois à faible salaire, à temps partiel ou en CDD.

Les retraité.e.s très massivement mobilisé.e.s attendent toujours une réponse pour une augmentation immédiate de leur pension, retraite de base et retraite complémentaire, dont la dernière revalorisation a été plafonnée à un niveau très inférieur à l’inflation.

La jeunesse confrontée à une grande précarité de vie et de travail, à la pauvreté accentuée par la crise sanitaire, économique et sociale doit obtenir une réponse à l’encontre des réformes libérales, de l’éducation, de la formation, de l’assurance chômage décidées par le gouvernement.

Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL soutiennent les actions et mobilisations organisées dans les jours et semaines qui viennent pour exiger des augmentations de salaires et défendre les emplois et conditions de travail et appellent à une mobilisation interprofessionnelle sur les salaires et l’emploi le jeudi 27 janvier 2022.

Il est urgent et indispensable d’agir toutes et tous ensemble par la grève et les manifestations pour l’augmentation immédiate de tous les salaires du privé comme du public, des allocations pour les jeunes en formation et en recherche d’emploi, ainsi que d’améliorer les pensions des retraité.e.s.

Montreuil le 17 décembre 202








 

Joyeuses fêtes de fin d'année : Quoi qu’il arrive : Noël !



Les fêtes de fin d'année en point de mire…



Vendredi, dernier jour de la semaine. Vivement ce soir, début de quelques jours de vacances.


Période étrange : l’habituelle légèreté enfantine des sapins décorés troublée par un quotidien incertain, étouffée de médias frappés de virus, inquiétée par cet air d’accordéon que nous re-joue le pouvoir.


Fatigués… Nous le sommes, tant cette année aura été difficile.


Sur tous les fronts pour faire entendre la voix de ceux qui veulent être reconnus et avoir un avenir.


Mobilisés pour tisser des liens entre les luttes qui éclatent partout dans le pays pour que les réponses aux besoins exprimés deviennent incontournables.


Les fêtes de fin d'année en point de mire : un moment pour souffler et reprendre des forces 


Nous en aurons bien besoin… car déjà l’urgence du présent libère la volonté unitaire dessinant une perspective de rentrée mouvementée.


Le 27 janvier tous ensemble pour manifester et jusque-là toutes les rencontres et les débats qu’il nous faudra initier pour enfin se faire entendre.


Joyeuses fêtes de fin d'année à toutes et tous !





  Élections professionnelles : la CGT RATP redevient le 1er syndicat


Avec 2285 voix supplémentaires par rapport à 2018, la CGT RATP est arrivée en tête aux élections professionnelles, le 26 novembre dernier. La CGT redevient la première organisation syndicale. Un succès confirmé cette semaine avec l’élection des administrateurs aux caisses de retraite de la RATP.



Souffrance et manque de reconnaissance : à Mérignac, les agents municipaux en grève pour la dignité


Ce mardi, les agents municipaux dans l’animation, la restauration et les ATSEM étaient mobilisées à Mérignac suite à l’appel de la CGT et de FO. . Près de 150 travailleurs étaient présents sur la place de la mairie pour dénoncer leurs conditions de travail. Une mobilisation dans la lignée des grèves qui ont émergé depuis quelques semaines dans le secteur du social.




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Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...