La CGT 77, Appel au Rassemblement pour le logement MELUN Place St Jean samedi 26 mars – 11h00

Avec la fin de la trêve hivernale le 31 mars, 30 000 familles sont menacées d’expulsions, elles viendront s’ajouter aux 300 000 personnes déjà à la rue ou mal logées !
Aujourd’hui, et demain, nous marchons pour l’arrêt des expulsions locatives, pour l’installation d’un moratoire des expulsions des lieux de vie informels (squats, bidonvilles…) sans solution et pour l’arrêt des coupures d’énergie.

Aujourd’hui et demain, nous marchons pour un logement pour toutes et tous, abordable, stable, décent et écologique.

Aujourd’hui et demain, nous marchons pour une baisse des loyers et des prix de l’énergie, l’encadrement des loyers et du foncier, pour la hausse des APL, pour l’arrêt de la vente et de la destruction des logements sociaux.

Aujourd’hui et demain, nous marchons pour l’arrêt de la gentrification des centres villes, pour l’encadrement des « Airbnb », pour une taxation des plus-values de la spéculation, pour une sanction des bailleurs fraudeurs.

Parce que sans logement, pas de santé, pas de travail, pas de vie sociale, pas de citoyenneté… Nous continuerons de marcher et de clamer :
« UN TOIT, C’EST UN DROIT ! »

SIGNATAIRES

ATTAC 77- SOLIDAIRES 77- SUD PTT 77- MRAP 77 - CDAFAL 77- LDH 77- RESF 77- CGT 77 - CSF DAMMARIE LES LYS- FSU 77- DAL 77

 

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La CGT 77, Appel au Rassemblement pour le logement MELUN Place St Jean samedi 26 mars – 11h00

Avec la fin de la trêve hivernale le 31 mars, 30 000 familles sont menacées d’expulsions, elles viendront s’ajouter aux 300 000 personnes déjà à la rue ou mal logées !
Aujourd’hui, et demain, nous marchons pour l’arrêt des expulsions locatives, pour l’installation d’un moratoire des expulsions des lieux de vie informels (squats, bidonvilles…) sans solution et pour l’arrêt des coupures d’énergie.

Aujourd’hui et demain, nous marchons pour un logement pour toutes et tous, abordable, stable, décent et écologique.

Aujourd’hui et demain, nous marchons pour une baisse des loyers et des prix de l’énergie, l’encadrement des loyers et du foncier, pour la hausse des APL, pour l’arrêt de la vente et de la destruction des logements sociaux.

Aujourd’hui et demain, nous marchons pour l’arrêt de la gentrification des centres villes, pour l’encadrement des « Airbnb », pour une taxation des plus-values de la spéculation, pour une sanction des bailleurs fraudeurs.

Parce que sans logement, pas de santé, pas de travail, pas de vie sociale, pas de citoyenneté… Nous continuerons de marcher et de clamer :
« UN TOIT, C’EST UN DROIT ! »

SIGNATAIRES

ATTAC 77- SOLIDAIRES 77- SUD PTT 77- MRAP 77 - CDAFAL77- LDH77- RESF 77- CGT 77 - CSF DAMMARIE LES LYS-

FSU 77- DAL77

 

Un convoi syndical CGT pour l'Ukrainiens Depuis le 24 février, les bombardements et les combats ont déjà fait plusieurs milliers de victimes civiles, dont près d’une centaine d'enfants et des milliers de blessé·e·s. Les civils sont des cibles de guerre. La CGT condamne l'invasion de l'Ukraine par les armées russes, en violation de la souveraineté ukrainienne et de la charte des Nations Unies. La responsabilité de la guerre en cours incombe à Vladimir Poutine et à son régime. Sa décision fait basculer les relations internationales dans une période instable et dangereuse. Le rétablissement d’une paix durable en Europe passe par un retrait immédiat des troupes russes du sol ukrainien et le retour à la diplomatie afin de dégager une solution respectueuse des droits des peuples. Dans ce contexte alarmant, la CGT affirme sa solidarité :  ICI

Atteindre le plein emploi… avec la précarité pour seul horizon

Avec un taux de chômage qui s’établit désormais à 7,4 %, le plein emploi est le nouvel objectif que la France doit se fixer, assure-t-on à l’Élysée. Mais de quel emploi parle-t-on ?   L’annonce a ravi Élisabeth Borne. Le nombre de chômeurs au sens du Bit a diminué en France au quatrième trimestre 2021 : 189 000 de moins qu’au trimestre précédent, pour atteindre le chiffre de  2,2 millions.

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Presse et édition : entre les mains d’un seul ?

 

Actionnaire principal de Vivendi, Vincent Bolloré a constitué un empire médiatique, appelé encore à grandir après l’Opa sur le groupe Lagardère. Des voix s’élèvent pour enrayer ce processus.  Stop ou encore ? Souvent utilisée avec facilité, l’expression retrouve tout son sens dès lors qu’elle interroge la stratégie de Vincent Bolloré visant à constituer un immense empire médiatique. 

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Météo Macron : soleil pour les puissants, tempêtes pour les petits

Comme un symbole !    Le jour où des milliers de salariés, retraités et privés d'emploi défilent dans la rue, dans l’unité syndicale, pour réclamer les moyens de vivre dignement de leur travail, Monseigneur le Candidat Macron annonce son programme pour les cinq années à venir…   Un projet qui puise son inspiration dans l’électrochoc social imposé au Royaume-Uni par Margaret Thatcher dans les années 80.   Son “en même temps” fétiche révèle sa signification réelle : une stratégie au service des puissants qui piétine, une fois de plus, ceux victimes d'injustices économiques et sociales.   Sous le slogan d’une “France plus forte”, il met tout en œuvre pour favoriser la loi de la jungle.   Tant pis pour ceux qui n’ont pas les moyens de suivre : ceux qui ne pourront s’offrir la possibilité de partir en retraite avant 65 ans, sont-ils condamnés à mourir au travail ? Et pour étouffer toute contestation, il joue sur la corde sensible de la culpabilité : "ne venez pas vous plaindre, ailleurs, d’autres meurent sous les bombes".   Mais son rêve de détruire tout ce qui symbolise le commun se heurte à la réalité, aux besoins du plus grand nombre.   Aussi, la CGT œuvre à faire de cette contradiction une force en s’appuyant sur le vécu de chacun et en le confrontant aux propositions alternatives.   Cette action quotidienne n'est pas toujours facile, mais, démultipliée sur les lieux de travail, elle fera grandir le rapport de force pour imposer un autre monde.

Pétition / Salaires, carburants, ISF : pour des mesures sociales et fiscales visant justice et efficacité.   Des mesures urgentes s’imposent pour répondre à la volonté de vivre dignement de son travail dans notre pays et à la volonté de justice sociale.     Signez la pétition

 SAMEDI 26 MARS, JOURNEE EUROPEENNE D'ACTION UN LOGEMENT POUR TOUT E-S ! Manifestation PARIS/IDF 15H PLACE DE LA BOURSE

 Depuis des années, les politiques du logement renforcent le logement cher, amplifient la crise du logement, la financiarisation du logement social et les inégalités sociales. E. Macron, soutient le logement cher et s’en est pris aux plus modestes : Économies sur le dos locataires et des mal logées : baisse des APL, suppression des aides à la construction HLM, ponction dans les caisses des HLM …. au profit des investisseurs et des plus riches : Suppression de l’ISF, baisses d’impôts, cadeaux fiscaux… 

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  EHPAD : Un secteur sous tension

La crise sanitaire a durement touché les EHPAD  Face à la surcharge de travail et à la pénurie de personnel, les établissements doivent s’organiser, se réinventer, mutualiser leurs efforts. La réduction de la pénibilité physique et des situations d’épuisement professionnel reste un enjeu majeur de prévention mais également d’image.

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  L’OMS travaille discrètement à l’établissement d’une dictature techno-sanitaire

14 mars 2022 

 Bien évidemment et comme trop souvent lorsqu’il s’agit de décisions très importantes qui vont présider à l’avenir de millions d’individus, la presse a conservé une discrétion de violette au sujet de ce processus qui vise effectivement à renforcer les capacités d’intervention de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en cas de nouvelles pandémies, et à lui donner toute une panoplie de droits plus ou moins coercitifs supranationaux. Oui, vous avez bien lu : l’idée est à terme de placer l’OMS au-dessus des États souverains et de leurs dirigeants que leurs peuples auraient éventuellement désignés de façon plus ou moins démocratique (et avec plus ou moins de bidouilles électorales).

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 Le logement en pleine mutation

 Le premier Forum de « l’Humanité » était consacré, le 14 février dernier, à la question du logement. Ministres, élus de terrain, syndicalistes et professionnels s’y sont retrouvés pour débattre de l’avenir d’un secteur décisif pour le bien-être des populations.

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