24 décembre 2021

 

Ce qui change en décembre 2021

Publié le 23 décembre 2021 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

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Coup de pouce exceptionnel du chèque énergie, dose de rappel obligatoire pour garder son passe sanitaire, dose de rappel pour tous les adultes, nouvelles règles d'indemnisation de l'assurance chômage, nouveau protocole sanitaire en entreprise et pour faire du sport, augmentation du plafond des chèques-cadeaux d'entreprises... Ce qu'il faut savoir sur l'actualité administrative de décembre 2021.


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Covid-19 : revalorisation des heures supplémentaires à l'hôpital


À partir du 20 décembre 2021, la rémunération des heures supplémentaires réalisées à l'hôpital pendant l'épidémie du Covid-19 par les agents relevant de la fonction publique hospitalière est multipliée par deux. Annoncées par le Premier ministre le 17 décembre 2021, cette mesure est détaillée dans des textes parus au Journal officiel le 19 décembre 2021.


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22 décembre 2021

 L'Union Locale CGT de Coulommiers



Vous souhaite à toutes et à tous de bonnes fêtes de fin d’année et vous présente ses meilleurs vœux ainsi qu’à tout vos proches et de vous retrouver en 2022 pour une nouvelle année de luttes et de conquêtes sociales.




Toutes nos pensées vont  à tous ceux qui souffrent et se trouvent dans des situations difficiles.

A tous ceux qui ne peuvent profiter de moments apaisés…

A tous nos Camarades de la La fonction public de la santé qui vont assurer leurs fonctions avec dévouement auprès des patients pendant ces périodes de fêtes.








19 décembre 2021

Logement social : la loi SRU menacée par le projet 3DS ? 


 

Sous les radars médiatiques, au Sénat se joue actuellement une discussion autour d'un projet de loi important dit 3DS, pour différenciation, décentralisation, déconcentration et simplification des relations entre l'État et les collectivités. Et il est question de la loi SRU, pierre angulaire du logement social en France. Un dispositif certes prolongé, qui pourrait voir son rayonnement, déjà contrasté, encore un peu plus limité. Décryptage des enjeux, avant le vote des députés le 4 janvier prochain, par Magda Maaoui, docteure en urbanisme de l'université de Columbia


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  Des milliards pour les Mulliez, rien pour les travailleurs : grève nationale pour les salaires à Auchan


 

Plusieurs débrayages, barrages filtrants de ronds-points et blocages ont rythmé la journée du vendredi 17 décembre dans une trentaine d’hypermarchés Auchan. Le mouvement appelé par l’intersyndicale CFDT-CGT-FO avait pour mot d’ordre principal, l’augmentation des salaires. La mobilisation arrive alors que se déroule les Négociations Annuelles Obligatoires (NAO). Celles-ci, initialement prévues en mars, ont été avancées par la direction qui cherche notamment à étouffer la colère grandissante des travailleurs.


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ET SI ON REVENAIT SUR LES EXONÉRATIONS DE COTISATIONS SOCIALES ?


Les premières exonérations de cotisations sur les bas salaires sont apparues il y a près de trente ans. Destinées à soutenir l’emploi, celles-ci se sont généralisées au point où une entreprise ne paye presque plus de cotisations patronales sur un salaire au niveau du Smic, ce qui coûte la bagatelle de 66 milliards d’euros pour les finances publiques. Est-ce à l’État de payer cette facture ? Ne serait-il pas temps de revenir sur ces exonérations en exigeant que les entreprises garantissent collectivement l’ensemble des cotisations et ce, sans effet négatif sur l’emploi ? C’est possible en établissant une Sécurité économique, complémentaire de la Sécurité sociale, qui mettrait hors-marché une partie de la production privée pour garantir un socle de revenus, cotisations sociales inclues, à celles et ceux qui la réalisent.


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18 décembre 2021

Prenez 2 minutes pour lire la lettre de cette dame de 94 ans

CHAPEAU MADAME ET RESPECT !!!!!

A 94 ans cette brave dame a la tête sur les épaules et sait compter

Elle a aussi très bonne mémoire en citant tous les intervenants gouvernementaux successifs qui l'ont trahis.

 Très bien résumée la situation


De 1956 à nos jours : 65 ans d'imagination fiscale… et surtout de mensonges.


Je me présente. Je m’appelle Micheline Sany. Je suis née en 1927 et je vous le dis tout net : à force de tirer sur l’élastique, la corde va péter !


En 1956, quand Guy Mollet a instauré la vignette pour « fournir un revenu minimum à toutes les personnes âgées de 65 ans et plus », bon… moi j’avais à peine 30 ans et j’étais très fière de pouvoir venir en aide aux anciens.


En plus, Paul Ramadier, le ministre des Affaires économiques, avait affirmé que ça serait une taxe temporaire… Bah, il a duré quarante-quatre ans le temporaire ! Pendant quarante-quatre ans j’ai payé cette vignette ! Alors merci !


Surtout que les anciens n’en ont presque jamais vu la couleur, vu qu’au bout de trois ans, le Premier ministre, Michel Debré, a annoncé que le produit de la vignette serait finalement « acquis au budget de l’État… », qui le reverserait au Fonds national de solidarité. Enfin, en partie… Enfin, en petite partie… Que les vieux se fassent dépouiller comme ça, ça a fait du foin, pendant toutes ces années. Mais ça n’a jamais rien changé.


 Ensuite en 1991, quand ils ont créé la CSG, la contribution sociale généralisée pour financer la branche famille, en remplacement des cotisations patronales d’allocations familiales, bon… sans râler, j’ai payé !


Surtout que ça ne devait durer que cinq ans. « Une contribution transitoire » qu’ils disaient… et puis 1,1 %, c’était supportable. Seulement vingt-sept ans plus tard, elle transite toujours la CSG !

Et elle a grimpé à 9,2 % pour les salariés et 8,3 % pour les retraités. Par étapes, bien sûr, c’est moins voyant.

En 1993, elle est passée de 1,1 à 2,4 %. Pour alimenter en plus le Fonds de solidarité vieillesse. Y’avait pas déjà la vignette pour ça ? Chuuuuut, arrêtez d’être insolents !


En 1997, elle augmente encore pour financer, en plus, la branche maladie : on en est à 3,4 %.


En 1998, toujours pour la branche maladie, elle passe à 7,5 %, etc., etc.



Bref, la protection sociale ne s’est pas redressée, et ce qui devait être temporaire est devenu… un impôt de plus.


Ah bah oui ! La CSG, ça rapporte plus que l’impôt sur le revenu aujourd’hui.


Si on vous demande combien vous payez d’impôts par an, vous savez le dire. Mais si on vous demande combien vous payez de CSG, vous savez ?

Chez moi on disait : « C’est tout un art de plumer l’oie sans la faire crier.» Alors qu’il y aurait de quoi hurler.

Et puis en 1996, rebelote avec la CRDS, la « contribution à la réduction de la dette sociale ».


J’ai payé. (Mais j’avoue, j’ai râlé.)


À cette époque, les déficits sociaux s’élevaient à un montant estimé entre 30 et 38 milliards d’euros.


Oui, parce que nous, si on se trompe de dix euros dans notre déclaration de revenus, on risque une amende, mais eux, un flou de 8 milliards, ils ont le droit… Toujours est-il qu’ils avaient tout bien calculé : en treize ans, tout serait remboursé.


La CRDS devait disparaître le 31 janvier 2009.


Mais voilà-t’y pas qu’en septembre 1997, le gouvernement Jospin annonce 13 milliards d’euros supplémentaires de dettes, qui correspondaient aux déficits sociaux non financés des années 1996 à 1998.


 Alors, ils ont tout bien recalculé, finalement pour tout éponger il fallait prolonger… jusqu’au 31 janvier 2014.


Mais voilà-t’y pas qu’en 2004, le plan de redressement de la Sécurité sociale concocté par Philippe Douste-Blazy annonce 50 milliards d’euros supplémentaires de dette à rembourser.

 Alors, ils ont tout bien re-recalculé… et ils ont vu que finalement, la Trinité était la meilleure date pour arrêter la CRDS. Donc, on la paye toujours…


Et puis, en 2004 , Raffarin a inventé la « journée de solidarité », vouée à « l’autonomie des personnes âgées ».

Moi, ça va, j’étais déjà à la retraite, mais vous, vous avez travaillé… sans être payés !


 Et en 2013, une nouvelle taxe pour les retraités. CASA, ça s’appelle. C’est la « contribution additionnelle de solidarité à l’autonomie », 0,3 % sur les retraites, pensions d’invalidité, allocations de préretraite.

C’est-à-dire qu’ils font payer les vieux pour que les vieux soient autonomes !


C’est pas du bon foutage de gueule, ça ? Et on continue. En 2013, toujours, M. Jean-Marc Ayrault nous gèle les retraites complémentaires…

Et comme ça ne s’arrête jamais, maintenant, parce que j’ai 1 247 euros de revenu fiscal par mois, j’ai une augmentation monstrueuse de la CSG : 25 % d’augmentation !


Ah ben oui, on nous a dit 1,7 % , mais c’est pas 1,7 % de ce qu’on payait, c’est le taux qui augment de 1,7 %


Bref, nous les vieux, on est passés de 6,6 % à 8,3 % de CSG , ça nous fait 25 % dans les dents....enfin celles qui nous restent.


Et maintenant, la cerise sur le pompon : on nous annonce que nos retraites vont être revalorisées de 0,3 %.


Cinq fois moins que l’augmentation dont on aurait dû bénéficier si le code de la Sécurité sociale avait été simplement respecté, puisqu’il prévoit que les pensions soient revalorisées du montant de l’inflation moyenne sur l’année pour éviter toute dégradation du niveau de vie.

Et l’inflation prévue d’après l’Insee est de 1,6 %

Et Bruno Le Maire ose dire sur RTL : « Mais ils ne seront pas perdants, leur pension de retraite continuera à être revalorisée. » Il croit qu’on est tous gâteux ou quoi ?


Je n’ai que mon certificat d’études, mais y’a pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre qu’une hausse de 0,3 % des pensions, quand les prix augmentent de 1,6 %, revient à une baisse du pouvoir d’achat.


D’après le baromètre de l’institut Elabe, publié le 6 septembre, 72 % des retraités déclarent ne pas avoir confiance dans le chef de l’État, alors qu’ils étaient 44 % en janvier et 35 % lors de son élection. On se demande vraiment pourquoi Un type qui pour se faire élire déclarait chez Jean-Jacques Bourdin en décembre 2016 : « L’engagement que je prends ici devant vous, c’est que, avec moi, toutes les petites retraites auront leur pouvoir d’achat protégé. »

Et sur RMC encore, en février 2017 : « Je ne veux pas, moi, faire d’économies sur le dos ni des retraités, ni de celles et ceux qui sont à quelques années d’aller à la retraite. »



Et au 20 heures de France 2 en mars 2017 : « Je ne touche pas à la retraite de celles et ceux qui sont aujourd’hui retraités. Leur retraite sera préservée. Il n’y aura pas de perte de pouvoir d’achat, c’est essentiel ! »


Alors je pose la question : 72 % qui n’ont pas confiance, comment est-ce possible ?

Comment peut-il se trouver encore 28 % de retraités qui lui fassent confiance ? …

Toute ma vie, j’ai payé pour aider les vieux et maintenant que je suis vieille, il faut que je paye pour aider les jeunes ? Que vont-ils nous inventer encore ??


 N'hésitez pas à diffuser largement cette petite analyse....de la situation réelle.

 


 La dette publique de la France s’alourdit encore !


Les finances publiques de la France peinent à s’améliorer. La dette publique est ressortie à 116,3% du produit intérieur brut (PIB) à fin septembre, contre 114,8% à la fin juin, a rapporté l’Insee. L’endettement public de la France, qui s’est fortement creusé depuis début 2020 à cause de la crise sanitaire, avait culminé à la fin du premier trimestre 2021 à 118,1% du PIB. Le gouvernement table sur une dette publique de 115,3% à la fin 2021, et veut ramener l’endettement public à 113,5% en 2022, selon les prévisions du budget pour l’an prochain.


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Un gros NIET de Roselyne Bachelot-Narquin pour toute réponse à l’urgence sociale dans les écoles d’architecture


 Le 6 octobre dernier, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires et CFTC-UNSA –représentatives au niveau national –demandent l’ouverture d’une négociation relative à l’évolution des rémunérations des enseignants contractuels à temps incomplet des écoles d’architecture.





 

CODE DE LA JUSTICE PENALE DES MINEURS UN OBSERVATOIRE POUR MIEUX ANALYSER SES CONSEQUENCES POUR LES ENFANT


Depuis l’annonce d’une réforme de la justice pénale des enfants par voie d’ordonnance, à la fin de l’année 2018, nos institutions et organisations, réunies au sein du Collectif Justice des Enfants, ont porté la nécessité d’un débat approfondi sur cette question, laquelle ne peut d’ailleurs être dissociée de celle de la protection de l’enfance. Nous, professionnel.le.s de l’enfance, de la justice des enfants et associations intervenant auprès des familles et des jeunes, avons revendiqué un véritable code de l’enfance, regroupant tous les textes concernant les enfants, au civil comme au pénal et non un code réduit à la justice pénale des mineurs.  Dans cet objectif, nous avons porté des propositions communes, à toutes les étapes de l’élaboration du texte, en faveur notamment de la fixation d’un véritable seuil d’âge de responsabilité pénale, et d’une diminution des procédures rapides et des mesures coercitives, pourvoyeuses d’incarcération.


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Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !  La CGT Action Logement vous convie à une petite pause rev...