27 août 2022

Groupe Renault : attaque sans précédent sur le statut des salariés


Renault dénonce 13 de ses accords d’entreprise !

Le 21 juillet, la direction Renault France a annoncé qu’elle dénonçait de manière unilatérale 13 des accords signés par les organisations syndicales, sous prétexte de créer un socle social commun, à l’image de ce qui existe dans d’autres multinationales.  C’est une attaque sans précédent sur le statut des salariés !  La Fédération CGT Métallurgie soutient la CGT du groupe Renault qui revendique un statut de haut niveau, comme nous avons soutenu le projet industriel porté par nos camarades. Renault et l’état actionnaire doivent porter et mettre en avant un statut exemplaire pour les salariés et non le contraire !

Lire le communiqué de presse : ICI  





 Non à la fin de la production chez COMPIN à Evreux !


Evreux, le 26 août 2022 / COMMUNIQUE DE PRESSE
COMPIN, fabricant historique de sièges ferroviaires, basé à Evreux, est un maillon essentiel de l’industrie ferroviaire. Depuis 120 ans, les salariés de COMPIN conçoivent et fabriquent les sièges de trains, bus, métros, TGV, tramways qui transportent les voyageurs en France et dans le monde entier.

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Les retraités renforcent leurs revendications


 4% pour les retraites du régime général.

 Durant sa campagne présidentielle le Président Emmanuel MACRON, avait promis « d’indexer » les retraites. Cela laissait entendre que le niveau de retraite suivrait l’évolution des prix à la consommation de manière à préserver le pouvoir.

Lire le tract de rentrée  ICI



26 août 2022

  2022


 C'est la rentrée. Dans les allées du supermarché, devant les paniers vides, la moutarde me monte au nez. Les cartables ne sont pas encore bouclés mais déjà, le président siffle la fin de la récré.  Avec le blanc seing de la droite et l'extrême droite, il compte bien nous soumettre à une nouvelle cure d'austérité.  La stratégie est émoussée. En instrumentalisant les crises et le chantage à la dette, il entend achever la casse du système social français.




25 août 2022

la CGT et Solidaires appellent à une journée de grèves interprofessionnelle le jeudi 29 septembre 2022 qui sera notamment axée sur les salaires. toutes et tous dans la rue




En raison des mesures gouvernementales annoncées sur le pouvoir d’achat qui sont en dessous de la situation de paupérisation de la population, 

En raison de l’annonce de la poursuite d’une politique qui va à l’encontre du droit des travailleur-euses, de la possibilité d’avoir des indemnisations chômages justes, 

En raison de l’annonce d’une poursuite d’une réforme des retraites injuste qui exige de travailler plus, ainsi que la poursuite d’une fiscalité qui assèche les comptes de l’État au profit des grandes entreprises et au détriment des services publics (santé, éducation...) et du financement de la transformation écologique, 



Les 10 mesures phares de la CGT pour les salaires et le pouvoir d’achat

Le projet de loi du gouvernement portant sur les mesures urgentes censées protéger le pouvoir d’achat ne dit rien sur les questions centrales du moment : salaires, SMIC, minima de branches, et ce paquet de mesures est du saupoudrage au regard du niveau d’inflation actuel (5,2% sur un an) et futur (entre 8 et 10% d’ici la fin de l’année 2022). On n’attendait rien du gouvernement et nous sommes servis !


Lire les 10 mesures phares de la CGT : cliquez sur le lien ci-dessous

https://www.cgt.fr/petition/les-10-mesnures-phares-de-la-cgt-pour-les-salaires-et-le-pouvoir-dachat



Je soutiens la CGT je signe la pétition





23 août 2022

 Loi sur le pouvoir d’achat : des mesures facultatives plutôt qu’une augmentation générale des salaires


Refusant une augmentation générale des salaires, la loi pouvoir d'achat se limite à des mesures facultatives laissées pour l’essentiel au bon vouloir des employeurs.  Avec la prime de partage de la valeur, le développement de l'intéressement, la négociation de branche sur les bas salaires et le déblocage de l'épargne salariale, l'écueil principal de la loi pouvoir d'achat est de ne prévoir aucune mesure générale, obligatoire et suffisante.

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22 août 2022

 Rentrée sociale Partis et syndicats, machines à en découdre


 Inflation, réforme de l’assurance chômage, retraites… La rentrée sociale sera explosive. A gauche comme chez les syndicats, tous en sont certains. «Je sens que ça bout, tous les éléments sont là», gage Aurélie Trouvé, députée insoumise (Nupes), issue de l’organisation altermondialiste Attac. L’Insee prévoit un pic d’inflation autour de 7 % à la rentrée, de quoi gonfler le prix des fournitures scolaires et de l’essence. La réponse du gouvernement ? 

 

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18 août 2022

 Encadrement à la baisse des loyers et plafonnement de la quittance1 à 20 % du revenu des ménages



Ce que prévoit le gouvernement L’indice de référence des loyers évolue selon la moyenne trimestrielle de l’indice des prix à la consommation (IPC) hors tabac et hors loyers2 . Selon les estimations, cet indice augmentera de 5 % au cours de l’année 2022. En principe, cela signifie que les bailleur·se·s pourraient augmenter les loyers de 5 % par rapport au loyer pratiqué fin 2021. Cependant, le gouvernement a décidé que cette hausse des loyers ne pourrait pas dépasser 3,5 % annuels jusqu’à juillet 2023. Si cela représente 1,5 point d’augmentation de moins par rapport aux prévisions, c’est largement insuffisant. C’est en réalité un gel complet des loyers qui aurait été souhaitable et une politique du logement qui contribue à leur baisse et permette à tou·te·s de se loger.

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 Les méga-feux, révélateurs de l'abandon de la sécurité civile


 La forêt flambe en Gironde et dans beaucoup d’autres départements. Si le dérèglement climatique est l’élément déclencheur de ces incendies, le manque d’effectifs et de matériel limitent la capacité à faire face. Dans la seule nuit du 9 au 10 août, le feu a détruit 5 600 ha de forêt en Gironde, à cause de la reprise de l’incendie qui en avait déjà ravagé 14 000 mi-juillet et couvait depuis dans la tourbe.

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Une généraliste licenciée par un centre de santé pour « manque de rentabilité »


 Un médecin au chômage, c’est peu banal. C’est pourtant la situation de la Dr Angélique Roby. Cette généraliste de 43 ans a été licenciée il y a 10 jours par le centre de santé Saint-Vincent-de-Paul qui l’employait depuis avril 2021 à Le-Buisson-de-Cadouin (Dordogne). Confrontée à de grosses difficultés financières, cette structure gérée par une association à but non lucratif, qui emploie 8 infirmières et 10 aides-soignantes, a été contrainte de se séparer de son unique médecin pour motif économique.

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PS : Le plus pauvre n'échangerait pas sa santé pour de l'argent, mais le plus riche donnerait tout son argent pour la santé.( l'argent passe avant la santé )




Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !  La CGT Action Logement vous convie à une petite pause rev...