14 mars 2013

ATTEINTES AUX LIBERTES SYNDICALES

FLASH INFOS UD CGT 77

ATTEINTES AUX LIBERTES SYNDICALES
 
 
   19 MARS A 13h00                                                         20 MARS A 9H00
 Devant les portes de MESSER S.A.                              Devant le TGI de Meaux Zone Industrielle de Mitry / Compans 
         32 Rue Denis Papin
 
 
Non à la discrimination syndicale !
Non à la répression !
Non au harcèlement !
 
   
    Aujourd’hui, le syndicalisme est le seul moyen d’obtenir et de faire respecter nos droits dans les entreprises.
Les employeurs savent pertinemment, comme chez MESSER S.A. que les  élus  et  les  délégués  syndicaux  CGT  FONT  LEUR  TRAVAIL SYNDICAL
 
Ils défendent les intérêts des salariés.
 
Alors… ils les attaquent.
� Chez MESSER :
Françoise LUDWIKOWSKI : accusée de harcèlement de DRH (si, si, c’est possible).
� Chez MITRYCHEMS :
Sylvain  BERNARD :  Menacé  de  sanctions  (pouvant  aller  jusqu’au licenciement) pour refuser un poste.
� Dans de nombreuses entreprises :
D’autres  Camarades  voient  leurs  demandes  de  formation  refusée (soit disant pour « raisons de services »).

� Dans la fonction publique territoriale :
La  CGT  est  systématiquement  attaquée  par  certains  Maires  (y
compris la CSD et l’UL de Coulommiers, attaqués en diffamation par le Maire de la Ferté Gaucher).
Le 20 mars à 9h00, un rassemblement est prévu devant le TGI de
Meaux.

Maintenant, ça suffit ! 
 






Si tu veux tendre la joue droite (après la baffe sur la gauche) alors
ne vas pas à Mitry le 19, ni le 20 à Meaux.

Par contre, si tu ne veux pas prendre de gifles, alors ; soit là le 19
pour montrer à la Direction de Messer (et aux autres Directions) que la CGT ne veut pas SUBIR et le 20 devant le TGI de Meaux.
Ce  n’est  pas  la  CGT  qui  harcèle  les  employeurs,  par  contre,  le contraire…
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 ATTEINTES AUX LIBERTES SYNDICALES

       19 MARS A 13h00                                         20 MARS A 9H00
 Devant les portes de MESSER S.A.                Devant le TGI de Meaux
Zone Industrielle de Mitry / Compans 
         32 Rue Denis Papin

Non à la discrimination syndicale !
Non à la répression !
Non au harcèlement !
Aujourd’hui, le syndicalisme est le seul moyen d’obtenir et de faire
respecter nos droits dans les entreprises.
Les employeurs savent pertinemment, comme chez MESSER S.A. que
les  élus  et  les  délégués  syndicaux  CGT  FONT  LEUR  TRAVAIL
SYNDICAL.
Ils défendent les intérêts des salariés.
Alors… ils les attaquent.
� Chez MESSER :
Françoise LUDWIKOWSKI : accusée de harcèlement de DRH (si, si,
c’est possible).
� Chez MITRYCHEMS :
Sylvain  BERNARD :  Menacé  de  sanctions  (pouvant  aller  jusqu’au
licenciement) pour refuser un poste.
� Dans de nombreuses entreprises :
D’autres  Camarades  voient  leurs  demandes  de  formation  refusée
(soit disant pour « raisons de services »).
� Dans la fonction publique territoriale :
La  CGT  est  systématiquement  attaquée  par  certains  Maires  (y
compris la CSD et l’UL de Coulommiers, attaqués en diffamation par
le Maire de la Ferté Sous Jouarre).
Le 20 mars à 9h00, un rassemblement est prévu devant le TGI de
Meaux.
Maintenant, ça suffit !
Si tu veux tendre la joue droite (après la baffe sur la gauche) alors
ne vas pas à Mitry le 19, ni le 20 à Meaux.
Par contre, si tu ne veux pas prendre de gifles, alors ; soit là le 19
pour montrer à la Direction de Messer (et aux autres Directions) que
la CGT ne veut pas SUBIR et le 20 devant le TGI de Meaux.
Ce  n’est  pas  la  CGT  qui  harcèle  les  employeurs,  par  contre,  le
contraire…
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Transports : Pourquoi, à nouveau, une telle paralysie…depuis 3 jours ?



COMMUNIQUE DE PRESSE :de l'Union Interfédérale des Transports CGT
La neige et le froid ne sont que les révélateurs d’un système fragilisé par les politiques d’austérité qui se succèdent et qui, au nom du dogme libéral, favorisent les cortèges de sous-traitances, d’externalisation et privatisation, le désengagement de l’État –y compris sur la sûreté et la sécurité- transférant de multiples responsabilité sur les régions et départements, détruisant les synergies des logiques intégrées indispensables.


Décembre 2010 avait été marqué par des dysfonctionnements dans les transports (routes, rails, aéroports et aériens) d’une ampleur rarement vue.

Et voilà qu’en mars 2013, toute la partie Nord de la France revit le même scénario dramatique.

Certes, il y a des intempéries mais ceci n’explique pas tout ! D’autant plus que cet épisode hivernal était clairement annoncé, depuis plusieurs jours, par les services météorologiques qui ont parfaitement assumé leur mission.

C’est le système de transport qui est en cause !

En 2011, le précédent gouvernement avait refusé que les syndicats participent aux tables rondes pour tirer les enseignements de cette situation de fin 2010, méprisant ainsi les salariés des entreprises concernées mais aussi tous les «naufragés de ces intempéries» … et on mesure, aujourd’hui, le résultat.

Conseil d’Administration de la SNCF : « plus aucun train ne partira s’il n’est pas sûr d’arriver ». Ses promesses ne valent que pour ceux qui les croient, pour lui c’est l’amnésie collective qui fait foi, pour preuve le gouvernement actuel s’apprête à le reconduire dans ses fonctions.

LA CGT SE REFUSE A LAISSER FAIRE, IL FAUT TIRER EXPERIENCE POUR ? PLUS JAMAIS ÇA !!

Qu’il y ait des intempéries est une affaire de saison. Que notre système de transports ne puisse plus y faire face est une affaire d’organisation, de sous-investissements, de destruction et de manque de moyens. C’est le résultat des politiques publiques depuis 30 ans.

La casse du service public, les politiques de compétitivité financière systématiques -

pour satisfaire des actionnaires à qui la puissance publique a fait le choix de confier un secteur stratégique et d’intérêt général- viennent de montrer au grand jour leur limite et leur arrogance.

Qu’on le veuille ou non, ça ne marche pas bien !

Les usagers, les salariés du secteur, mais aussi l’économie du pays sont les perdants.

A la lumière de ces événements, un débat public objectif doit avoir lieu. Il ne saurait se réduire à un épisode saisonnier, il doit porter sur l’historique et se fixer l’objectif d’y remédier. 

C’est tous les jours que des dysfonctionnements ont lieu !

C’est tous les jours que les salariés souffrent de ne pouvoir rendre le meilleur service.

D’où la nécessité urgente de moyens supplémentaires en emplois qualifiés et stables, comme en matériels adaptés et disponibles, en matière premières pertinentes comme au niveau des stocks, en prévention et maintenance comme en curatif et réparation.

Mais de telles orientations ne peuvent aboutir si le gouvernement poursuit, un peu plus, dans l’engrenage mortel du Traité Budgétaire Européen, comme avec les nouvelles mesures d’austérité qui ressortent de la lettre de cadrage budgétaire de Matignon aux Ministres pouvant déboucher sur 5 milliards supplémentaires de coupes dans les dépenses publiques en 2014.

Nous le disons, clairement :

Intempéries certes, mais c’est le système qui est en cause !

Sans un changement de cap radical, les mêmes causes produiront les mêmes effets dès que les épisodes de froids hivernaux ou de chaleurs estivales reviendront.

Budget Transports 2013 : en peine sur l’investissement public qui pourtant joue un rôle déterminant pour l’environnement des entreprises et la mise à disposition des infrastructures nécessaires pour répondre aux besoins.

L’austérité aggrave la crise financière et va avoir raison des défis sociaux et écologiques qui sont immenses dans le secteur des transports.

Lire la suite en cliquant ci-dessous
http://www.cheminotcgt.fr/new_site/cheminotcgt_communiques/pdfjoints/114425_051212_lignesBudgetairesPLF2013.pdf


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