La
mise en œuvre de la taxe poids lourds décidée sous le gouvernement
Sarkozy est au cœur d’une levée de boucliers des entreprises
bretonnes qui l’accusent d’être la cause des licenciements
annoncés dans les grands groupes agroalimentaires bretons. Faisant
feu de tout bois, les patrons, soutenus par les édiles de la droite
qui ont eux mêmes voté cette taxe, tentent de détourner la
légitime colère des salariés dont les emplois sont menacés.
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Le combat des bonnets rouges
n’est pas celui des salariés
La fronde antifiscale organisée en sous-main, voire ouvertement par le patronat et les élus de l’UMP en Bretagne n’a que peu à voir avec les intérêts des salariés dont le mécontentement légitime est aujourd’hui instrumentalisé. Pour les trois organisations syndicales bretonnes CGT, Solidaires et FSU, "les initiateurs de la manifestation du 2 novembre à Quimper ne portent pas les revendications des salariés."
De fait, les syndicats de salariés appellent à un rassemblement à Carhaix le même jour pour porter leurs exigences, s’opposer aux fermetures d’entreprises et aux suppressions d’emploi.
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De fait, les syndicats de salariés appellent à un rassemblement à Carhaix le même jour pour porter leurs exigences, s’opposer aux fermetures d’entreprises et aux suppressions d’emploi.
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