spéculation
Les groupes du CAC 40 qui ont vu leurs
bénéfices augmenter de
manière spectaculaire ce dernier semestre doivent leur richesse à
une politique fiscale bienveillante.
La
fanfare accompagnant la marche des profits va crescendo. Se moquant
avec morgue des ersatz des sourdines fiscales.
Avec
38,3 milliards d’euros de bénéfices cumulés, les 36 premiers
des 40 plus grands groupes de France cotés au CAC 40 ont dépassé
les profits qu’ils avaient réalisés sur la même période en
2014.