Privatisation. Le terme semble presque banal, tant les institutions internationales, européennes et même nationales n’ont que ce mot à la bouche ces dernières décennies. Constitutives de l’ADN du capitalisme néolibéral, les privatisations deviennent des incontournables dans l’agenda notamment des cures d’ajustement imposées au Nord comme au Sud. Ce contexte permet aux institutions créancières qui imposent les privatisations, de ne plus les justifier par le seul registre idéologique de « L’État n’a pas, par définition, vocation à gérer des entreprises », mais aussi (et surtout) par celui de l’impératif économique de dégager des ressources financières pour le remboursement des dettes.
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