Le 19 mars, le ministère du Travail a présenté oralement, sans remettre de document et avec deux mois de retard sur le calendrier annoncé, les grandes lignes du volet « assurance chômage » de son projet de loi. Lors des négociations, la CGT a défendu une logique de confiance envers les demandeurs d’emploi (pour rappel, la fraude représente 0,4 %), notamment en proposant 10 nouveaux droits et, en premier lieu, pour rendre effectif le « droit au Travail » que la France a ratifié dans les traités internationaux.
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