Des femmes traînées dans des escaliers du métro parisien, d’autres projetées au sol à coups de matraque, certaines attrapées par les cheveux. Le tout à grand renfort de gaz lacrymogènes, sous les huées des manifestantes, et la désapprobation des passants visiblement interloqués. Deux jours après la par Par Nicolas Chapuis et Cécile Bouanchaud
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