ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
9 septembre 2011
EMIRATES AIRLINES ET LE DROIT SYNDICAL
Machid, salariée de la compagnie aérienne Emirates, conseillère prud’homale et militante du syndicat du transport aérien (SATA), est convoquée, le 13 septembre, à un entretien préalable pour un éventuel licenciement. Le 19 août, la représentante de la CGT dans cette même entreprise, Nouha, était l’objet de la même procédure. Décidément, la compagnie Emirates, comme d’autres entreprises, veut absolument se débarrasser de la CGT.
Nous ne les laisserons pas faire ! RASSEMBLEMENT POUR SOUTENIR MACHID ET NOUHA, POUR REFUSER L’INADMISSIBLE DISCRIMINATION DONT ELLES SONT VICTIMES NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS CONCERNES. IL EN VA DU DROIT D’EXISTER ET DE S’ORGANISER DANS L’ENTREPRISE, CONFORMEMENT A LA LOI ET A LA CONSTITUTION ! MARDI 13 SEPTEMBRE A PARTIR DE 8 H 30 69, boulevard Haussmann PARIS 8ème Métro Saint Lazare
La grève pour les salaires touche 6 restaurants Léon de Bruxelles
La grève se poursuit au sein des restaurants Léon de Bruxelles et le mouvement s’amplifie avec un 6ème restaurant, l’établissement de République à Paris, dont le personnel s’est également mis en grève depuis hier soir. Les revendications des salariés qui portent essentiellement sur les salaires et les conditions de travail n’ont toujours pas donné lieu à l’ouverture de négociations. De nouveaux rassemblements sont organisés ce 7 septembre devant les 6 restaurants de la région Parisienne, plusieurs syndicats CGT de l’hôtellerie et la restauration sont venus apporter leur soutien aux salariés de Léon de Bruxelles. La fédération CGT du Commerce et des Services "appelle les salariés à poursuivre le mouvement et mettra tout en œuvre pour élargir les solidarités entre les salariés du secteur".
7 septembre 2011
Le partenariat public privé au service des actionnaires coule le service public hospitalier
Le départ précipité du Directeur du Centre Hospitalier Sud Francilien « remercié » par l’Agence Régionale de Santé, fait resurgir la situation catastrophique budgétaire de l’hôpital et la gabegie politicofinancière de la construction d’un site unique sous la forme d’un contrat juridique (bail emphytéotique) et d’un partenariat public/ privé.
Depuis le début du projet, la CGT avait démontré qu’une maîtrise d’ouvrage publique était la seule garantie pour la construction d’un établissement de santé de qualité et aux normes hospitalières, afin que soient assurés la prise en charge des patients et le développement du service public.
Un rapport de la Cour des Comptes régionale, en date du 20 Juillet 2010, considérait comme « très onéreuse », « juridiquement contraignante et financièrement aléatoire » toute cette opération.
Aujourd’hui, la situation s’accélère. L’établissement est pris dans un étau entre les restrictions financières imposées à l’établissement, le paiement des loyers à hauteur de 41 millions d’euros annuels et la pression permanente du groupe Eiffage, pour répercuter à la charge de l’établissement les 100 millions supplémentaires liés à des disfonctionnements (8000 réserves constatées par huissier) dont elle porte l’entière responsabilité.
Le coût de l’opération au terme du contrat avec cette entreprise, reviendra à plus de 1,8 milliards d’euros, à la seule charge des assurés sociaux et un déficit structurel pour l’établissement, compte tenu du prix du loyer.
Aujourd’hui, la Fédération CGT de la Santé et de l’Action Sociale dénonce la position de l’ARS lourde de conséquences car elle persiste à privilégier des intérêts privés au détriment du service public. L’ARS veut jouer d’autorité pour éviter la remise en cause du bail emphytéotique et du partenariat public privé.
La Fédération de la Santé et de l’Action Sociale exige :
La réappropriation publique du bail emphytéotique,
La restitution des sommes et intérêts indûment perçus par les groupes bâtisseurs et financiers,
La fin du partenariat public/privé,
Le retour à une maîtrise publique de l’exploitation du Site,
Le maintien de tous les emplois, afin de garantir aux usagers une prise en charge de qualité dans le service public.
En conséquence et compte tenu de l’urgence de la situation, la Fédération CGT de la Santé et de l’Action Sociale demande, dès aujourd’hui, un rendez-vous à Xavier BERTRAND Ministre de la Santé, qui n’a jamais daigné recevoir la CGT depuis sa prise de fonction.
Ce rendez-vous aura également pour objet d’aborder des sujets aussi brûlants que pressants, comme de l’hébergement social, les emprunts toxiques dont sont victimes de nombreux établissements publics et la situation de la psychiatrie.
Montreuil, le 07 Septembre 2011
Papeterie Chapelle Darblay Grand-Couronne (UPM)
Encore 1110 personnes
Alors que des salariés sont encore en congés, les dirigeants d’UPM France informent les représentants du personnel de tous les sites par une conférence téléphonique à 7h 40mn précises, ce matin, d’un nouveau plan de restructuration, suite à l’achat du groupe Myllykoski.
La production de papier UPM va baisser d’ 1,3 millions de tonnes (dont 110 000T de papier journal) le reste en magazine.
Et amène donc à supprimer 1110 emplois.
Dans le détail :
Fermeture définitive de l’usine UPM Myllykoski en Finlande à la fin de l’année 2011.
Moins 375 salariés, moins 3 machines, moins 600 000 tonnes de SC et LWC.
Fermeture définitive de l’usine UPM Albbruck en Allemagne à la fin de l’année 2011.
Moins 557 salariés, moins 3 machines, moins 600 000 tonnes de LWC.
Fermeture définitive de la PM3 de l’usine UPM Ettringen en Allemagne à la fin de l’année 2011.
Moins 66 salariés, moins 1 machine, moins 110 000 tonnes de Journal.
Transfert des lignes de découpe de l’usine d’UPM Albbruck vers l’usine UPM Plattling en Allemagne, courant 1er semestre 2010.
Ce matériel est financé par les cotisations des syndiqués CGT & UFICT CGT. mercredi 31 août 2011
Restructuration des postes redondants dans les ventes papier, la supply Chain et les fonctions globales.
Moins 112 emplois selon le plan de transition.
UPM France est touché à travers le site d’UPM Stracel par une vente pure et simple, moins 1 machine.
D’ici 12 mois, (encore l’été) pour une activité autre que le papier !
Que deviendront les 270 salariés si aucun projet n’aboutit ?
Un paradoxe puisque UPM reconnaît le potentiel du site surtout avec le projet Bio Carburant en cours.
L’usine est sacrifiée pour le gain de 280 000 tonnes, pour soulager le marché !!!
Pour ce qui concerne Chapelle Darblay, la direction actuelle se veut rassurante, mais n’oublions pas que 112 emplois sont concernés à travers Supply Chain et les fonctions globales, (administratifs)
L’objectif avoué est d’atteindre une économie de 200 millions d’euros à fin 2013, pour un retour à une rentabilité qualifiée de NORMALE à 10%, dixit la haute direction UPM.
A notre demande, une réunion du Comité Central d’ Entreprise se tiendra ce vendredi 2 septembre à Paris.
Votre syndicat CGT appelle à la vigilance, à la solidarité et à l’intransigeance face aux manipulations de nos dirigeants.
« Travailler plus, pour chômer plus ! » Pas question !
Dernière minute : les salariés de Stracel ont arrêté la production dès 8h ce matin pour réagir à cette nouvelle…….
5 septembre 2011
Fermeture de l'usine Fralib (Unilever): des salariés occupent l'usine
MARSEILLE — Des salariés de Fralib (Unilever) occupent depuis vendredi après-midi leur usine de Gémenos (Bouches-du-Rhône), dont la fermeture a été annoncée et le plan de sauvegarde de l'emploi validé le 21 juillet par la justice marseillaise, ont indiqué la direction et les salariés occupant les lieux.
La direction ayant "procédé au licenciement de 134 salariés depuis mercredi 31 août" et puisqu'elle "a affiché son intention de démantèlement de notre usine", "une centaine de salariés de Fralib réunis aujourd'hui en assemblée générale ont décidé l'occupation de l'usine tant que notre projet alternatif ne sera pas appliqué", a indiqué par téléphone à l'AFP Gérard Cazorla, secrétaire CGT du CE de Fralib faisant parti des occupants de l'usine. Des rotations pour assurer une présence 24H/24 vont être organisées, a-t-il dit.
Les salariés menacés se battent pour pérenniser le site et réclament que la marque Elephant, les machines et le savoir-faire leur soient cédés.
Pour la direction, il s'agit "d'un groupuscule d'environ 20 personnes" sur les 182 salariés du site, qui ont fermé les grilles de l'usine en début d'après-midi, empêchant les autres salariés, les prestataires et la direction de pénétrer dans l'enceinte du site.
"Cela représente à peine 10% des effectifs sachant qu'il y avait des gens qui ne sont pas du personnel, alors qu'aujourd'hui 57 personnes, soit plus de 30 % des effectifs ont déjà manifesté leur volonté de débuter leur congé de reclassement et 17 autres ont déjà retrouvé un emploi", a indiqué à l'AFP Sophie Jayet, directrice de la communication de Fralib.
Le géant anglo-néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques veut fermer l'usine de Gémenos, la seule en France à fabriquer les thés Lipton et infusions Eléphant, au motif d'une compétitivité insuffisante.
La cour d'appel d'Aix doit se prononcer le 19 octobre sur un jugement du tribunal administratif de Marseille qui a validé en juillet le plan de sauvegarde de l'emploi proposé par Unilever pour fermer Fralib.
Fermeture de l'usine Fralib (Unilever): des salariés occupent l'usine
(Info :AFP)
MARSEILLE — Des salariés de Fralib (Unilever) occupent depuis vendredi après-midi leur usine de Gémenos (Bouches-du-Rhône), dont la fermeture a été annoncée et le plan de sauvegarde de l'emploi validé le 21 juillet par la justice marseillaise, ont indiqué la direction et les salariés occupant les lieux.
La direction ayant "procédé au licenciement de 134 salariés depuis mercredi 31 août" et puisqu'elle "a affiché son intention de démantèlement de notre usine", "une centaine de salariés de Fralib réunis aujourd'hui en assemblée générale ont décidé l'occupation de l'usine tant que notre projet alternatif ne sera pas appliqué", a indiqué par téléphone à l'AFP Gérard Cazorla, secrétaire CGT du CE de Fralib faisant parti des occupants de l'usine. Des rotations pour assurer une présence 24H/24 vont être organisées, a-t-il dit.
Les salariés menacés se battent pour pérenniser le site et réclament que la marque Elephant, les machines et le savoir-faire leur soient cédés.
Pour la direction, il s'agit "d'un groupuscule d'environ 20 personnes" sur les 182 salariés du site, qui ont fermé les grilles de l'usine en début d'après-midi, empêchant les autres salariés, les prestataires et la direction de pénétrer dans l'enceinte du site.
"Cela représente à peine 10% des effectifs sachant qu'il y avait des gens qui ne sont pas du personnel, alors qu'aujourd'hui 57 personnes, soit plus de 30 % des effectifs ont déjà manifesté leur volonté de débuter leur congé de reclassement et 17 autres ont déjà retrouvé un emploi", a indiqué à l'AFP Sophie Jayet, directrice de la communication de Fralib.
Le géant anglo-néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques veut fermer l'usine de Gémenos, la seule en France à fabriquer les thés Lipton et infusions Eléphant, au motif d'une compétitivité insuffisante.
La cour d'appel d'Aix doit se prononcer le 19 octobre sur un jugement du tribunal administratif de Marseille qui a validé en juillet le plan de sauvegarde de l'emploi proposé par Unilever pour fermer Fralib.
Chômeurs: Bertrand prêt à discuter de droits rechargeables avec les syndicats
(Info :AFP)
PARIS — Xavier Bertrand, ministre du Travail, a affirmé dimanche qu'il souhaitait discuter avec les syndicats, qu'il va recevoir à partir du 13 septembre, de la possibilité pour les chômeurs de maintenir des droits à indemnisation non utilisés en cas de reprise du travail.
"Le vrai problème, c'est que notre système d'indemnisation n'encourage pas forcément le retour à l'emploi", a déclaré le ministre lors du "Grand Rendez-Vous" Europe 1/Aujourd'hui en France-Le Parisien/iTélé.
"Je souhaite mettre à l'ordre du jour avec les partenaires sociaux, que je vais recevoir individuellement à partir du 13 (...) un sujet que la CFDT a mis en avant et qui est celui des droits rechargeables" des chômeurs, a-t-il déclaré.
"Aujourd'hui, il faut travailler quatre mois pour être indemnisé, mais si vous reprenez un emploi pour deux mois, ça s'arrête", a expliqué Xavier Bertrand.
"La tentation peut être d'aller au bout de son chômage indemnisé avant de reprendre un emploi", a-t-il ajouté.
"Ce que je propose, c'est un compte avec des droits à indemnisation qui, même si on reprend une activité de courte durée, soient préservés", a déclaré le ministre en disant vouloir "en finir avec tout ce qui éloigne de la reprise d'activité".
Interrogé sur la polémique suscitée par les déclarations de Bruno Le Maire, en charge du programme de l'UMP pour 2012 et favorable à une baisse des indemnisations chômage les plus élevées, Xavier Bertrand a répondu que la priorité dans la lutte contre le chômage était autre: "il faut mettre davantage l'accent sur le retour à l'emploi et sur la formation plutôt que sur la seule question de l'indemnisation".
Selon lui, "il ne faut pas confondre les hautes rémunérations extravagantes et la situation de cadres".
Au sujet du plafond de 6.600 euros bruts, touché par un millier de cadres au chômage, le ministre a fait valoir que les cadres "cotisent également, et s'ils cotisent il y a la prestation".
Enfin, sur la question des chômeurs arrivant à 60 ans en fin de droits et qui ne vont pas pouvoir toucher de pension immédiatement du fait de la réforme des retraites, Xavier Bertrand a assuré vouloir agir.
"Nous allons dessiner avec les syndicats des solutions pour ces personnes", a-t-il dit.
Journalistes surveillés: la Presse Judicaire et le SNJ parties civiles aux côtés du Monde
(Info :AFP)
PARIS — L'Association de la Presse judiciaire (APJ) et le Syndicat national des journalistes (SNJ) ont annoncé vendredi qu'ils se constituaient parties civiles dans la plainte du journal Le Monde dont l'un des reporters a vu ses relevés téléphoniques examinés par le contre-espionnage français.
L'APJ, qui regroupe plus de 150 journalistes couvrant l'actualité judiciaire, "considère que ces méthodes, qu'elle avait dénoncées en son temps, portent atteinte au secret des sources et causent un préjudice collectif aux journalistes couvrant les affaires de justice".
"Les membres de la Presse judiciaire ne peuvent en effet tolérer que sur des dossiers sensibles le pouvoir en place cherche à identifier leurs informateurs afin, à terme, de tarir leurs sources et de tuer la liberté d'informer", selon l'APJ.
Le SNJ, première organisation de la profession, a annoncé lui aussi dans un communiqué son intention de se porter partie civile aux côtés du Monde et de ses confrères.
"Oui, la loi du 4 janvier 2010 sur la protection du secret de leurs sources a bien été violée et par ceux-là mêmes qui en sont les garants jusqu'au plus haut niveau", écrit le syndicat.
Le SNJ juge "accablant le bilan de la liberté d'information sous ce quinquennat". "Rien qu'en 2010, plus d'une dizaine d'affaires très graves qui, toutes, visaient des journalistes, sont restées impunies à ce jour: écoutes, saisies de fadettes, cambriolages, menaces de mort, insultes, diffamations et poursuites en justice, chaque fois ce qui était rapporté ne plaisait pas", dénonce le SNJ.
Le contre-espionnage a bien examiné, selon Le Monde, les appels d'un de ses journalistes pour identifier ses sources dans l'affaire Bettencourt, une pratique illégale que le ministre de l'Intérieur a confirmée et qui pourrait entraîner des mises en examen de responsables place Beauvau.
L'APJ "s'insurge que la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) ait eu recours dans cette affaire à des méthodes indignes d'un Etat de droit".
De son côté le syndicat national des journalistes CGT a appelé "la profession à réagir et à être solidaire des journalistes victimes d'un pouvoir qui viole la loi". "C'est la démocratie qui trinque quand on espionne et menace les journalistes", a estimé le syndicat.
3 septembre 2011
Alors que le pays a besoin de valeur ajoutée,le gouvernement augmente la taxe sur le sucre ajoutée !
P/ la CGT
Patrick ARNOULD
Secrétaire de l’union locale de Coulommiers
2 septembre 2011
Journée nationale d’action interprofessionnelle le mardi 11 octobre 2011
Communiqué CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires
Montreuil, jeudi 1er septembre 2011
Le gouvernement a annoncé le 24 août des mesures censées réduire « le déficit de la France ». Les organisations syndicales CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires en dénoncent le caractère injuste et inéquitable. La facture est principalement supportée par les salariés et les consommateurs. Le gouvernement ne remet pas en cause les niches fiscales dont on sait qu’elles n’ont aucune efficacité économique et sociale. La contribution des plus hauts revenus reste symbolique et n’est pas de nature à réduire les inégalités.
Pour relancer la croissance, en respectant les impératifs de développement durable, réduire les inégalités et maîtriser les déficits, une politique visant une autre répartition des richesses et favorisant le développement économique et social est incontournable.
Cela suppose des réformes structurelles importantes comme une réforme globale de la fiscalité intégrant une plus grande progressivité, une politique industrielle coordonnée au niveau européen, des services publics de qualité.
Cela appelle aussi des mesures urgentes :
• Abandonner la taxation des complémentaires santé ; supprimer les exonérations et la défiscalisation des heures supplémentaires ; conditionner toute aide publique à son efficacité sociale et économique, aux politiques sociales dans les entreprises.
• Mettre en œuvre la taxe sur les transactions financières.
• Faire de l’emploi, en particulier celui des jeunes, une priorité. Stopper les suppressions d’emplois dans la Fonction publique.
• Soutenir le pouvoir d’achat notamment des plus bas revenus et réouvrir les négociations salariales dans les entreprises et la Fonction publique pour réduire les inégalités notamment entre les femmes et les hommes.
Les organisations syndicales estiment indispensable l’intervention des salariés pour peser sur le gouvernement, le patronat, les débats parlementaires en cours et à venir.
Elles décident d’une journée nationale d’action interprofessionnelle le mardi 11 octobre 2011. Partout, le débat sur le contexte, les enjeux et les modalités (manifestations, rassemblements, arrêts de travail, etc.) est nécessaire pour construire cette journée. Les organisations se retrouveront le 15 septembre 2011.
Bernard Thibault sur France Info
Pour écouter cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.cgt.fr/Bernard-Thibault-sur-la.html
Le Mardi 11 octobre manifestons ensemble à Paris
L'UNION LOCALE C.G.T de COULOMMIERS
mettra autant de Bus qu'il conviendra
Le départ du car se fera sur le Parking de l’Aître face à l'UL CGT de Coulommiers
Nous vous invitons à prendre contact auprès :
de vos ELUS, et de votre UNION LOCALE CGT
Si vous le désirez, vous pouvez être des nôtres pour manifester à Paris.
Réservez vos places le plus tôt possible
Inscription par tél:
A l'Union Locale, les mardis et les jeudis de 13h45 à 18h15.
FIXE : 01 64 03 54 85 ou le : 09 65 04 53 58
fax : 01 64 20 97 84
Inscription par MAIL: ulcgtcoulommiers77@wanadou.fr/
OU LES MOBILES
06 73 34 65 02 (Patrick)
06 31 53 89 33 (Michel)
06 18 85 64 71 (Alain)
06 30 70 17 39 (Patrice)
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Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...
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