17 octobre 2014

Mobilisation du 16 octobre 2014 : en photos

Le 16 octobre 2014, des milliers de manifestants ont défilé de Nation à République à Paris, à l'appel de la CGT, pour exprimer leur opposition aux politiques d'austérité et défendre la protection sociale, notre système de santé, nos retraites, nos droits en tant que privé-e-s d'emploi et retraité-e-s. Des prises de paroles ont été organisées place de la République..

Pour la Seine-et-Marne, près de 400 manifestants se sont mobilisés pour porter les attentes des salariés, retraités et privés d’emploi du département.

A Coulommiers 9 retraités et 2 actif se sont mobilisés

Des appels à la grève ont été effectués dans les collectivités territoriales, la santé, la Poste mais aussi dans le privé, notamment chez Keraglass et Corning à Nemours.

A noter, le bon score des territoriaux de Champs-Sur-Marne qui atteignent 70 % de grévistes, dont de nombreux cadres et une bonne présence à la manifestation.
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Etienne Chouard "La situation n'est pas catastrophique pour ceux qui financent les élus"

Dépêchez-vous de la regarder et de la diffuser autour de vous avant qu'elle soit censurée.
Un point de vue rafraîchissant. A faire suivre !
Un bref éclair de lumière dans le marigaud des " médias ". En plus avec ce temps l'on peu prendre 5 mn.
FRANCE 2 au nom de la propriété intellectuelle a supprimé l’accession à cette vidéo ! le comble pour un service public. Alors partager sans retenue. Il n'y a pas de crise, tout se passe... comme prévu.
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16 octobre 2014

Un locataire de 64 ans met fin à ses jours quelques heures avant son expulsion


C’est avec indignation et colère que Droit Au Logement apprend, le suicide de M. Gilles L., locataire de 64 ans, à La Rochelle,
Il savait que l’expulsion conduit à la destruction de sa vie sociale et à la mort lente dans la rue. Il a préféré se donner la mort. Aujourd’hui l’espérance de vie dans la rue est de 15 ans et l’âge moyen de décès d’un sans abri est de 48 ans.
Lire la suite sur : http://cgt.logement.over-blog.com/article-un-locataire-de-64-ans-met-fin-a-ses-jours-quelques-heures-avant-son-expulsion-124795142.html

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15 octobre 2014

Comme c’est bon d’être parmi les mieux payés et les moins imposables : Pourquoi les ministres n'ont diffusé ni revenus, ni feuilles d'impôts

Réponse : les "multi-élus", député-maire, etc. se sont auto-dispensés de la progressivité de l'impôt.
Les élus français : durs avec les gueux, cléments avec eux-mêmes !
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SOUFFRANCE AU TRAVAIL : SA CAUSE, LA RECHERCHE DU PROFIT












Lundi 13 octobre, plusieurs militants de l’URE-CGTR ont assisté à la conférence de Gérard Filoche, ancien inspecteur du travail, sur la « souffrance au travail ». Celle-ci a eu du succès puisque l’amphithéâtre Geneveaux de la fac de Saint Denis était plein.

Filoche a tenu à remettre de suite « les pendules à l’heure » sur un certain nombre de points. Non la classe ouvrière n’a pas disparu. Au contraire, ces dernières décennies, elle n’a cessé de se développer. Au lendemain de la dernière guerre mondiale, les salariés représentaient 55% de la population active. Aujourd’hui ils en représentent 93 % ! Les patrons ne donnent pas de travail aux salariés, ce sont ces derniers qui vendent leur force de travail aux patrons qui l’achètent au prix le plus bas possible.

La force de travail des salariés n’est pas un coût ou une charge pour les patrons, elle est la seule à créer de la richesse. Le contrat de travail symbolise le lien de subordination du salarié vis-à-vis de son patron. Le salarié n’est pas libre. Le patron a par contre tous les pouvoirs : déterminer le salaire, le temps de travail, l’embauche ou le licenciement.

Parler de « collaborateurs » au sujet des salariés est donc un abus de langage destiné à camoufler l’inégalité de droits entre le patron et le salarié. Le patron peut licencier son « collaborateur » salarié sous n’importe quel prétexte, le salarié n’a aucun pouvoir de le faire si son patron ne respecte pas le droit du travail ou est convaincu de détourner l’argent de l’entreprise par exemple.

Filoche a aussi rappelé quelques chiffres révélateurs de la souffrance au travail dans les entreprises françaises. Ainsi chaque année, 650 salariés y trouvent la mort, 700 y sont accidentés, 4500 s’y retrouvent handicapés, 650 000 doivent s’arrêter en maladie pour cause de mauvaises conditions de travail.

Il a aussi dénoncé l’offensive patronale contre le Code du Travail sous prétexte que celui-ci empêcherait les patrons d’embaucher. S’il n’y a pas plus d’embauche, c’est parce que les patrons, visant le maximum de profits, réduisent au minimum les effectifs de leurs entreprises, abusent des heures supplémentaires qu’ils ne paient souvent pas (une sur deux en moyenne !). S’ils veulent détricoter le Code du Travail, ce qu’ils ont commencé à faire entre 2004 et 2008 avec la loi de modernisation de l’emploi de Sarkozy ou avec l’ANI de Hollande, c’est pour avoir encore plus les coudées franches pour exploiter les travailleurs, pas pour créer de l’emploi.

Il s’est aussi insurgé contre l’idée que les 35 heures étaient une entrave au redémarrage de l’économie. En 70 ans, le temps de travail a diminué de moitié, or pendant le même laps de temps, la production a fortement augmenté, le pays s’est enrichi, la mortalité a diminué. Il a aussi dénoncé les propos des dirigeants patronaux, affirmant que la précarité est naturelle. Depuis ses débuts, l’humanité n’a eu de cesse de lutter contre la précarité… de la cueillette en inventant l’agriculture, contre la précarité de la chasse en inventant l’élevage, contre la précarité de la santé en inventant la Sécurité sociale. Ceux qui veulent nous imposer des conditions d’existence plus précaires veulent nous faire revenir plusieurs siècles en arrière.


Et les travailleurs et leurs organisations doivent s’y opposer de toutes leurs forces en défendant, au contraire, un programme et des mesures qui correspondent à leurs besoins : augmentation des salaires et des retraites, maintien des acquis sociaux, interdiction des licenciements, partage du travail entre tous, diminution du temps de travail. Cela fait partie du combat que mène la CGTR !

Projet de loi relatif à la désignation des conseillers prud'hommes


Le Gouvernement est autorisé, dans les conditions prévues à l'article 38 de la Constitution et dans un délai de dix-huit mois à compter de la promulgation de la présente loi, à prendre par ordonnance les dispositions relevant du domaine de la loi prévoyant la désignation des conseillers prud'hommes en fonction de l'audience des organisations syndicales de salariés définie au 5° de l'article L. 2121-1 du code du travail et de celle des organisations professionnelles d'employeurs définie au 6° de l'article L. 2151-1 du même code. Ces dispositions déterminent, dans le respect de l'indépendance, de l'impartialité et du caractère paritaire de la juridiction
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Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...